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lundi 26 mai 2014

Spot it !

Titre dédramatisant pour un mal qui peut, pourtant, être très handicapant dans la vie sociale d’un individu : l’acné. En France, environ 15 millions de personnes sont atteintes d’acné, soit environ 23% de la population française (quasi un quart, oui oui !). Bien sûr, on compte beaucoup d’adolescents, mais également 20% de femmes adultes (25% de la population féminine est touchée). Car oui, l’acné n’est pas qu’une maladie de la jeunesse. J’emploie le terme de « maladie » car oui, selon les dictionnaires médicaux, l’acné est « une maladie chronique qui touche les follicules pilo-sébacés ». Il faut savoir qu’il existe en gros 4 types d’acnés : l’acné légère, l’acné modérée, l’acné sévère et l’acné très sévère.
Outre les surnoms méchants et humiliants (calculette, mercerie, pizza et j’en passe), l’acné peut vraiment être un facteur de mal-être social pour beaucoup, que ce soit chez les adolescents ou les adultes.

Au court de ce très long post, je vais partager avec vous mon expérience, les différents traitements que j’ai pu utiliser, mes avis et mes ressentis quant à ces traitements, mais également quant aux traitements qui m’ont été proposés.


Mon histoire

Jusqu’à mes 14-15 ans, j’avais une jolie peau, de type normal, sans réelles imperfections ou rougeur, hormis en grosse période de stress, ou pendant mon ovulation/mes règles (oui, parlons sans tabou et sans langue de bois, après nous, nous sommes là pour ça). Je m’estimais assez chanceuse, puisque certains de mes amis ont eu de l’acné assez tôt (genre 5ème, quoi). Vers 14 ans, les premiers boutons ont commencé à apparaître, d’abord quelques-uns sur le front, et ensuite, peu à peu, également sur le nez et le menton. Voilà, l’acné est apparue.
Au début, je n’ai touché à rien, je nettoyais juste avec précaution ma peau et je me démaquillais soigneusement (à l’époque, je mettais uniquement un peu de mascara).

Vers 15-16 ans, la plupart de mes amis avaient une peau nickel, leur acné leur avait enfin foutu la paix. Pour ma part, ça commençait à peine, et même si mon acné était (et l’est toujours) de la catégorie de l’acné modérée, il commençait sincèrement à me taper sur le système : en plus d’être inesthétique (surtout lorsque vous vouez une passion au maquillage…..), il était parfois douloureux.

Justement, il faut savoir que mon acné n’est pas du genre gros bouton rouge avec petit point blanc (de ce style-là, j’en ai vraiment très rarement), mais plutôt sous forme de petits boutons, un peu sous-cutanés, parfois appelés points blancs.  Evidemment, ce genre de ‘trucs’ rendent la peau mixte à grasse, ayant tendance à « luire » en fin de journée. Sexy hein !


Mes premiers pas chez la dermato

J’ai testé des tas de produits de différentes marques (Payot, Yves Rocher, Neutrogena, etc), mais les effets n’étaient que superficiels et surtout, très temporaires. Alors en juin 2012 (j’avais alors 17 ans), j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai ravalé vite fait bien fait ma fierté, et j’ai consulté (pour la première fois) une dermatologue. Pour diverses raisons, le contact n’est pas passé avec cette femme. Elle m’a prescrit un antibiotique (la Toléxine, ou du zinc en cas de soleil) et une crème à appliquer localement, le soir, la Différine. Comme j’y suis allée en juin, je n’ai commencé mon traitement qu’en septembre-octobre 2012 (la Toléxine est strictement interdite en cas de soleil).

Photo prise au naturel, sans aucun maquillage. Comme vous pouvez le voir, les boutons sont surtout localisés sur le front
J’ai fait de manière très assidue ce traitement jusqu’en janvier 2013, en gros. Les résultats étaient très prometteurs, mais malheureusement, dès l’arrêt de la Toléxine, les boutons revenaient, et de manière encore plus agressive qu’ils ne l’étaient au début. Enorme déception.


Nouvelle dermato, même traitement en plus dosé

Lorsque mon ordonnance de Toléxine est arrivée à son terme (renouvelable pour 6 mois), j’ai décidé de retourner chez la dermato, sachant quels étaient les effets de l’arrêt du traitement. Mais en même temps, j’ai changé de dermato. Celle-ci (qui est ma dermato actuelle) est jeune, patiente, très proche de ses patients et prend le temps avec chacun. Elle a posé des tas de questions, tant sur mes antécédents médicaux que sur mon environnement personnel (études, centres d’intérêt, etc). Cette mise en confiance a été très agréable et profitable.

Elle m’a donc prescrit une nouvelle fois de la Toléxine (mais dosée à 100, et non pas à 50 comme l’ancienne dermato), de la Différine, encore une fois, mais aussi une crème apaisante de chez Laroche Posay : la compensatrice Effaclar H, qui est parfaite pendant ce genre de traitement qui a tendance à assécher la peau et à provoquer de très désagréables sensations de plaques de sécheresse (surtout au coin de la bouche et aux narines). En parallèle, ma dermato m’a clairement conseillé d’utiliser la crème Effaclar Duo (toujours de Laroche Posay) le matin. C’est un crème qui assainit la peau et contribue à la disparition des boutons. Malheureusement, au début, je ne la supportais pas (immenses plaques de sécheresses en forme de dendrite).
Idem, très bon traitement, jusqu’à ce qu’on arrête la Toléxine.


Désir d’arrêter la Toléxine

Comme dit précédemment, la Toléxine est un antibiotique. A l’origine, cet antibactérien est prescrit en cas d’infections pulmonaires, génitales et même… contre le choléra ! Je ne fais pas du tout partie de ces tarés contre les antibiotiques, mais après environ 1 an à la Toléxine, je me suis dit qu’il était inutile de me gaver d’antibiotiques pour de « simples » soucis de peau.
Comme vous le savez certainement, à force de consommer des antibios à tout va, on développe une antibio-résistance ce qui peut avoir de graves conséquences dans le cas où vous devez absolument être traités pour une maladie : votre organisme sera insensible à l’antibiotique, et certaines maladies ne pourront plus être traitées efficacement. C’est le cas par exemple pour la tuberculose, la méningite ou le tétanos.

Bref, je ne suis pas là pour vous faire un cours de physiopathologie, mais vous comprenez certainement pourquoi j’ai voulu arrêter. Lorsque j’en ai parlé avec ma dermato (qui s’appelle Fabre, ce qui peut être tout de même un comble pour une dermato hihi), elle a décidé de changer mon traitement.


Traitement actuel (depuis janvier 2014)

Actuellement, je ne prends plus de médicaments oraux, mis à part du zinc, mais celui-ci ne m’a pas été prescrit par ma dermatologue : je le prends de moi-même, puisque le zinc est réputé comme étant bon pour la peau, mais aussi les ongles et les cheveux, donc je n’ai absolument rien à perdre.

Mon nouveau traitement consiste en une alternance tous les soirs de 3 crèmes différentes : un soir de Différine, un soir de Ketrel et un soir de Eclaran. Bien sûr, certaines de ces crèmes étant très dosées, il arrive qu’un soir par semaine (voire 2, je l’avoue), je laisse ma peau tranquille et je me mets juste une bonne crème hydratante (l’Effaclar H mentionnée plus haut) qui m’aide à lutter contre l’inconfort des traitements dermatologiques. Le jour, je mets soit l’Effaclar Duo, que j’arrive actuellement à supporter, soit l’Effaclar Mat, toujours de chez Laroche Posay, qui hydrate tout en évitant que la peau brille en fin de journée.

Côté résultats, je suis déçue, puisque je me bats toujours contre mes boutons. Le traitement fonctionne de manière chronique : je peux être 1 mois tranquille et ensuite en payer les représailles pendant 3 mois. La plaie, mais c’est comme ça.


Et Roaccutane ?

Vous connaissez certainement Roaccutane, ce traitement hyper efficace mais aux effets secondaires désastreux, aux conditions lourdes et aux conséquences parfois fatales. J’en ai vaguement parlé avec ma dermato, mais elle a clairement stipulé qu’il était inutile pour mon degré d’acné d’envisager un traitement aussi lourd que le Roaccutune.

En effet, avec ce traitement, un bilan sanguin est nécessaire tous les mois (pour le cholestérol et une éventuelle grossesse : Roaccutane aurait des effets de malformation sur le fœtus), de plus, il peut amener une hypercholestérolémie (taux de cholestérol dans le sang trop élevé), un état dépressif, des idées suicidaires, des changements de la personnalité, des troubles de la concentration, bouffées de chaleurs, etc.
Les effets du Roaccutane sont, certes, miraculeux pour l’état de la peau, mais je ne voulais pas (et ma dermato était contre !) courir autant de risques pour cela.


Côté maquillage

Il faut savoir que ce que vous mettez sur votre peau est un facteur très important de la qualité de cette dernière. Si vous avez une peau sensible à tendance acnéique, il vaut mieux investir dans des produits certes plus chers, mais qui ne vous détruiront pas la peau. Je pense notamment à Avène, Clinique, Laroche Posay ou même Clarins, qui proposent des produits teints adaptées aux peaux sensibles/réactives/acnéiques. Pour ma part, j’utilise l’Antiblemish Solution de Clinique dont je vous parle très souvent. Il est un peu épais, mais ne provoque pas de crise d’acné. C’est déjà un bon point.

En fait, lorsqu’on a des boutons, on tombe facilement dans un immonde cercle vicieux dans lequel, je l’admets, je suis profondément enfermée. Vous avez si honte de vos boutons que vous essayez par tous les moyens de les cacher avec des produits hyper comédogènes qui étouffent votre peau et favorisent la production de sébum (qui, rappelons-le, est une sorte de réaction de défense de la peau) ; vous développez donc encore plus de boutons ; vous cherchez donc encore plus à les cacher ; et ainsi de suite.

C’est plus facile à dire qu’à faire, mais il faut apprendre à vivre avec ses boutons, essayer de les oublier (et je sais ô combien c’est difficile !) et éviter d’accumuler les couches de fond de teint, poudres, correcteurs, etc. Mais je suis moi-même dans ce cercle vicieux.
N’oubliez pas que le démaquillage est également une partie primordiale du soin de la peau : interdiction de vous coucher sans vous être démaquillées. Non seulement c’est sale et inconfortable, mais en plus ça favorise le développement de bactéries, donc de boutons.
Idem pour l’hydratation qui est une étape à ne pas zapper. N’hésitez pas à demander conseil dans une parapharmacie afin de trouver l’hydratant qui convient le mieux à votre peau.


Ressentis (sociaux et médicaux) après ces traitements

Au niveau social, je n’accepte toujours pas mes boutons. Même si mon acné n’est que modérée, j’ai l’impression qu’on ne voit que ça, et j’aimerais pouvoir sortir de chez moi avec juste un peu de poudre matifiante, et rien d’autre pour le teint. On peut dire que l’acné rend paranoïaque, puisque lorsque vous discutez avec quelqu’un, que ce soit un ami très proche ou juste un passant qui vous demande son chemin, vous avez toujours peur que la personne ne vous regarde pas vous, mais vos boutons. Pour certains, ce n’est qu’esthétique, mais pour d’autres, il est essentiel d’essayer de lutter contre cette plaie.

En fait, à certaines périodes, j’ai juste l’impression d’être un bouton, et non pas une personne. Je déteste les photos si je ne peux pas les retoucher (vive les filtres Instagram pour ça !). Je sais que mes boutons sont légers, mais je ne vois que ça. Toutes mes amies ont une jolie peau même sans maquillage. Moi non. A 19 ans, c’est juste hyper humiliant d’avoir la peau d’une gamine de 13 ans.

Concernant les traitements, seule la Toléxine avait un réel effet, mais non durable dès l’arrêt du traitement. Du côté des crèmes, les plus efficaces semblent être la Katrel et l’Effaclar Duo de chez Laroche Posay.


En résumé

Finalement, sans dermato, rien ne saura possible, et vous ne ferez que du sur-place. Ravalez votre fierté, et prenez rendez-vous. Suivez scrupuleusement les traitements (posologie, moments d’applications, manières d’application, etc) et… soyez patientes. Attendez, attendez, et ne suspendez/doublez pas le traitement sans l’avis de votre dermatologue qui, rappelons-le, est un médecin, et sait donc ce qui est bénéfique ou dangereux pour votre situation.

Enfin, et surtout, ne prêtez jamais votre traitement à une amie qui aimerait tester les effets de votre crème ou de votre antibiotique, par exemple ! Chacun des médicaments sont prescrits uniquement sous ordonnance, ce n’est pas par hasard. Le dermatologue prescrit les crèmes/comprimés en fonction de vous, de votre mode de vie, mais également de vos antécédents médicaux, et des antécédents/risques de votre famille.


Produits mentionnés

- Toléxine Gé 50mg (sur ordonnance)
- Toléxine Gé 100mg (sur ordonnance)
- Différine (sur ordonnance)
- Ketrel (sur ordonnance)
- Eclaran (sur ordonnance)
- Effaclar Duo (libre accès en pharmacie et para)
- Effaclar Mat (libre accès en pharmacie et para)
- Effaclar H (libre accès en pharmacie et para)
- Effizinc (libre accès en pharmacie)

J’espère que ce long billet aura pu vous aider, tant moralement que sur les informations !


Et vous, quel parcours pour votre peau ?

24 commentaires:

  1. Très bon article, très détaillé.
    Je n'ai pas une acné très importante, mais je pense que la meilleur façon de l'atténuée ou de la faire disparaître, est tout simplement de l'accepter. Ça parait con à dire mais je ne me suis jamais battu contre l'acné et du coup elle s’est atténuée d'elle-même avec le temps. Elle ne reviens (et encore c'est pas grand chose) qu'en cas de très grand stress.

    Je ne sais pas si mon commentaire va aider, mais bon je partage mon vécu quand même :)

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    1. Oui, c'est sûr qu'accumuler les produits (même ceux spécialement faits pour atténuer l'acné) n'est jamais très bon pour la peau qui essaie sans relâche de "se faire" au nouveau produit. Et du coup, je pense que grâce à cette "non routine" (^^), ta peau s'est mieux débrouillée toute seule ;)

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  2. Bravo pour cet article, j'ai 26 ans et encore de l'acné qui me pourrit la vie... donc je cherche encore la solution miracle (on arrive à envoyer des hommes sur la Lune, mais on n'arrive pas à soigner l'acné... je ne comprends pas!)

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    1. Ahah, c'est tout à fait ça ! :p
      Le soucis c'est que beaucoup ne prenne l'acné que pour un simple problème esthétique et du coup, les propositions des traitements stagnent et sont, au final, pas toujours efficaces (la preuve avec toi, avec moi et tant d'autres !)
      Un jour, peut-être ! :)

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  3. Bravo pour cet article ma belle, hyper bien détaillé ! J'ai eu de l'acné hormonale dans le cou et sur le bas des joues, puis j'ai utilisé la clarisonic mia et hop, disparus les vilains boutons :) Maintenant je laisse ma peau tranquille et j'évite de l'étouffer pour ne pas revivre de mauvaise période...

    Bises ♥

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    1. Ah la fameuse Clarisonic ! J'en ai entendu beaucoup de bien comme beaucoup de mal : chez certains, les boutons sont encore pires après utilisation, et comme mon acné n'est que modérée, j'ai peur de me l'acheter (sachant qu'en plus, la bête n'est pas donnée), de l'utiliser 1 mois ou 2, et d'avoir une peau horrible (genre boutons puissance 10) et abîmée (j'ai la peau hyper fragile qui réagit à la moindre contrariété, qu'elle soit hormonale, environnementale ou autre). Donc je sais pas, peut-être qu'un jour, à force de voir les traitements inefficaces, je finirais par l'acheter. On verra :)

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    2. Arf oui moi j'ai une peau qui ne réagit pas spécialement donc ça va, mais effectivement ça peut aggraver l'acné :(

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  4. Avant toute chose il faut savoir qu'avec ou sans boutons tu restes quand même une très jolie fille. Après je pense que tu as peut-être une mauvaise perception de tes traitements (de toi même aussi, non?) puisque honnêtement sur cette photo tu as beaucoup moins de boutons que la dernière fois que nous nous sommes vus (je parle en irl, et on pas par Skype puisque la webcam est assez trompeuse). Et franchement, arrête de dépenser des milles et des cents dans des traitements dermatologiques et du maquillage parce que crois moi ou non, mais paradoxalement, je te trouve beaucoup plus mignonne sur cette photo, donc finalement je te préfère sans maquillage.
    Et dis toi qu'avec le bac et le stress c'est normal que ta peau en fasse des siennes !

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    1. Oh tu es mimi (vive les commandements de l'amitié donc je te parlais l'autre jour par Skype ahah !)
      Concernant les traitements, je ne dépense pas tant que ça, puisque la plupart des crèmes dont je parle (sauf celles de Laroche Posay) sont remboursées à 30% par la Sécu. Chaque tube coûte environ 4-5-6€ et chacun d'entre eux me tient plus d'1 mois et demi, donc sincèrement, ce n'est pas ça qui puise dans mes économies (d'autant que ce sont mes parents qui payent ahah ^^). Après pour le maquillage, oui, je capitule ! Du côté des yeux j'avoue m'être calmée (il faut dire que je pense posséder toutes les couleurs imaginables :p), mais ma quête du teint parfait m'amène à tester beaucoup de chose, et chaque produit teint coûtant minimum 15-20€, voilà quoi... En plus, c'est vrai que souvent, le fond de teint (surtout les textures un peu épaisses) accentuent les effets "rebondis" du bouton, voilà certainement le pourquoi du comment tu me trouves mieux sans maquillage ;)

      Ouais, sur ce coup, pour le stress et le bac, tu as vraiment raison. D'autant plus que la pollution s'ajoute à tout ça : aaaaah les joies de vivre dans cette grande ville dégueu et moite qu'est Paris ! ^^

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    2. J'ai une solution à tout : tu arrêtes de dépenser dans tes conneries et tu pars élever des chèvres dans la montagne loin de la pollution ! En parlant de pollution, tu restes sur Paris en août ? Parce qu'avec edouard on voulait monter 4-5 jours donc si tu es là ce serait sympa de se voir :]

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    3. Oh oui élever des biquettes !! j'adore les biquettes !!!!

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    4. La gueule qu'on a sur Skype...
      Mais rien ne pourra égaler les nouvelles photos d'identité !!

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  5. Ton article est très complet et très intéressant :)

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    1. Merci beaucoup !!! Si ça peut en aider certaines (et certains, aussi !), c'est le principal, après tout, mon blog est fait pour ça : partager des expériences et des conseils :)

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  6. Un article très intéressant, et de précieux conseils!
    Je comprends ton désarroi, j'ai beaucoup souffert d'acné depuis mes 12 ans environ, et je commence tout juste à m'en débarrasser à 21 ans, sans jamais avoir consulté.
    Depuis que j'ai décidé de laisser ma peau en paix et aboli le fond de teint il y a quelques mois, je trouve qu'elle s'améliore nettement (au début je ne te cache pas que c'était difficile de sortir comme ça...), hormis en période de stress.

    Tu le vaincras toi aussi, encore un peu de patience! ;)

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    1. Ah, la dessus je veux bien te croire : même s'il est non-comédogène et pensé pour les peaux sensibles et acnéiques, le fond de teint est très certainement le pire ennemi de la peau, quoi que peuvent en dire les marques !
      J'essaie, le WE surtout, de laisser ma peau au repos (pas de fond de teint, de poudre ou autre), et il est vrai que le dimanche soir, j'ai la sensation d'une peau plus agréable : elle ne tire pas, ne gratte pas, ne brûle pas. Le rêve, quoi ! :)

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  7. Ton article est super bien fait et je pense que tu vas aider pas mal de monde avec ! Je n'ai jamais vraiment eu d'acné et je m'estime très heureuse, j'espère ne pas en avoir dans le futur (je touche du bois). Et tu es vraiment très jolie sans maquillage <3 Bisous <3

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    1. Merci Sara <3
      Oui, j'avais remarqué que tu avais une très jolie peau, tu as beaucoup de chance, alors profites-en et prends-en bien soin :)

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  8. Coucou.
    Je comprends ta douleur : j'ai énormément d'acné et rien ne fonctionne vraiment pour l'effacer (j'ai testé des antibiotiques mais comme toi, tout est revenu en force après l'arrêt, et je ne veux surtout pas de roaccutane). Je teste l'homéopathie depuis aujourd'hui seulement mais la pharmacienne m'a prévenue : il y a très peu de chances que cela fonctionne vu que j'ai une acné sévère. Ahlala... Qu'est-ce que je rêve qu'une crème magique existe. L'acné fait beaucoup souffrir, même si je pense que seules les personnes qui en sont vraiment ''victimes'' peuvent le savoir. Voir des filles qui se plaignent dès qu'elles ont UN malheureux bouton m'énerve à un point. Mais tu sais, tu es tout de même très belle, je t'assure (oui bien sûr, tu ne vas pas me croire vu qu'on ne voit que nos boutons lorsqu'on en a, haha, mais c'est pourtant sincère). Je te souhaite plein de bonheur ♥,
    Eléanor dans sa Baignoire-Artistique.

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    1. Ahah, je suis d'accord avec toi : un petit point noir et elles deviennent folles ! Tu as juste envie de leur dire "hé, nana, tu veux ma peau ?" ^^
      Merci, c'est adorable de ta part !!! Je ne sais pas si tu as déjà testé l'Effaclar Duo dont je parle, mais elle vaut le coup. Et ça pourrait peut-être t'aider, puisque la notice précise qu'elle est pensée pour les peaux à acné moyenne à sévère. Tente, ça ne coûte rien, d'autant qu'elle n'est pas très cher (une dizaine d'euros, il me semble), et qu'au pire, c'est une bonne crème hydratante. De plus, avec Laroche Posay, les risques d'allergies sont vraiment trèèèès limités !

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    2. Merci d'avoir aussi répondu à mon commentaire sur mon blog car sinon, je pense vraiment que je l'aurais loupé (je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas l'automatisme d'aller voir les réponses sous les articles!). J'ai déjà testé Effaclar Duo mais je ne l'avais pas aimé puisqu'il avait éliminé la moitié de mes boutons en deux semaines mais tout est revenu après. Néanmoins, ma dermato me l'a prescrit à alterner avec de la différine un soir sur deux et j'hésite de plus en plus à le réessayer... Je vais mûrement réfléchir :) Par contre, le fond de teint S.O.S de Clinique me tente énormément mais je suis hyper déçue car même la teinte la plus claire proposée est trop foncée pour moi... Quel dommage!
      Et je te remercie beaucoup d'avoir pensé à moi pour la blogueuse des mois de juin-juillet-août, ça me touche énormément... Que dois-je faire, en fait? :)
      Passe un bon week-end,
      Eléanor.

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  9. j'en ai eu pas mal ado et ça s'est largement atténué depuis, surtout avec la prise de la pilule notamment ! mais j'en ai toujours même si ça ne voit pas de prime abord, ma peau n'est pas "lisse"... ça me rend malade parfois mais j'ai appris à faire avec ! je pense que je n'aurai pas mieux !!! et ma dermato ne peut rien faire de plus pour moi et je ne veux pas être bourrée de médoc toute ma vie ^^

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  10. Bientôt 23 ans et une peau de merde. Tendance frite. Et comme j'ai chaud facilement le fond de teint ne tient pas.

    Pareil, je me dis "mon dieu comment vais-je enseigner si j'ai la même peau que mes élèves ? voire pire vu qu'ils sont déjà grands ?"
    Eh bien lundi je me suis regardée dans le miroir après ma pause et je me suis dit "Tant pis de toute façon je n'ai pas le temps et je suis pas trop mal coiffée et bien habillée et c'est un cours sur les figures de style alors un tout petit défaut bah tant pis"
    Cela ne m'a pas empêchée de faire cours.

    Si les gens acceptaient les autres comme ils sont certaines personnes ne souffriraient pas psychologiquement.

    Un conseil : arrêter de lire des magazines féminins. Ou les lire avec un oeil critique et du recul (autrement dit : se foutre de leur gueule). Mon homme me dit que ce sont les femmes qui se donnent des injonctions entre elles, il n'a pas tort.

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  11. Très bon article aussi ! ;)
    Je suis dans la même situation que toi.
    J'ai des boutons depuis mes 13 ans mais pas énormément.
    Depuis 1 an, je ne sais pas pourquoi, j'ai eu une grosse poussée de boutons sur les joues alors que je n'en avais jamais eu à ces endroits...
    Depuis, je teste pas mal de produits mais je me suis rabattu sur le bio qui a l'air de bien fonctionner pour le moment... j'espère que ça va durer et enfin me laisser tranquille parce qu'à 22 ans c'est difficile quand même... surtout quand (comme tu l'as aussi écrit) tu vois les belles beaux de tes amies et que toi, tu n'as pas le droit à ça...

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