Translate !

samedi 31 août 2013

Inauguration de Jean Bouin - Et le Stade Français entra dans une nouvelle ère

Hier soir, vendredi 30 août 2013, le Stade Français lançait, certes, les hostilités de la 3ème journée de Top 14 face à Biarritz, mais surtout, il inaugurait son nouveau stade, en travaux pendant plus de 3 ans : le stade Jean Bouin.

Situé dans le XVIème arrondissement parisien et voisin immédiat avec le Parc des Princes, le stade Jean Bouin fend littéralement le ciel. Créé par Rudy Ricciotti, le stade est composé d’une sorte de dentelle grise, cachant ainsi sa structure métallique. Pas de doute, pour ce nouvel écrin, la Mairie de Paris (merci monsieur Delanoë, grand ami de l’ancien président – et actuel président d’honneur – Max Guazzini) et le Stade Français ont vu les choses en grand : le club parisien est enfin chez lui !

19.188 supporters (sur une possibilité d’accueil de 20.000 personnes) avaient fait le déplacement pour assister à cette inauguration et ils sont tous repartis du stade les yeux brillants.
Afin d’accueillir comme il se devait les premiers spectateurs officiels (une présentation des joueurs y avait été faite aux abonnés quelques jours avant), le Stade Français a organisé une inauguration d’une très élégante simplicité : défilé des jeunes du club, lâché de ballons roses, arrivée du ballon par des parachutistes et, évidemment, la venue sur la pelouse de Max Guazzini, homme à l’origine de ce très beau stade.
A la fin du match, un sublime spectacle de laser a même été offert aux spectateurs lorsque la nuit est tombée.

Maintenant, avant de partager avec vous mes autres photos de l’inauguration, je vais partager avec vous mes premières impressions quant à ce stade.

Les + :
* la magnificence des lieux : le club a vu les choses en grand
* la structure du stade qui fait que, quel que soit l’endroit où vous êtes placé, vous avez forcément une belle vision du terrain, et donc du jeu
* le confort des sièges : les places sont plus larges qu’à Charléty, et l’écart entre nos genoux et le siège d’en face est plus grand
* la bière : contrairement à la bière du Stade de France, celle-ci était alcoolisée (et bonne) ! Un véritable + pour tous les supporters !
* l’ambiance : en pas mal d’année de support du club, j’ai rarement (jamais) connu une ambiance aussi chaleureuse qu’hier soir

Les - :
* l’absence de papier toilette : dommage pour un soir d’inauguration qui comptait plus de 19.000 personnes, donc 19.000 personnes susceptibles d’assouvir leurs besoins naturels
* l’absence du chrono et du score sur les écrans géants
* le manque de sorties : l’évacuation du stade s’est avérée très lente et laborieuse

Finalement, malgré quelques petits détails de dernière minute à régler, le stade Jean Bouin est une magnifique enceinte rugbystique. Le Stade Français est enfin à la maison !

Le reste des photos :
Le voisin de palier : le Parc des Princes
Le Stade Français, des supporters de 7 à 77 ans !
Le soleil se couche sur Jean Bouin
Le stade vu de l'extérieur
La sublime toiture de Jean Bouin
Défilé des jeunes
Défilé des jeunes
Les ballons sont prêts
Un stade presque plein, avec une belle vue sur les toits de Paris
Arrivée du ballon par les parachutistes
Arrivée du ballon par les parachutistes
Mac Guazzini entrant sur la pelouse
Max Guazzini, prêt à lâcher les ballons
Lâché de ballons
Lâché de ballons
Nouveau stade, nouvelle banderole

(Le résumé du match sera en ligne demain ou après-demain. Restez connectés !)

!!  Pour tout emprunt de photos, merci de m'en demander l'autorisation par commentaire ou par mail. Certaines photos ont au préalable été retouchées avec Instagram (mon compte ICI) !!

dimanche 25 août 2013

Kick-Ass 2 (2013)

Un film de Jeff Wadlow.
Avec Aaron Taylor-Johnson, Christopher Mintz-Plasse, Chloë Grace Moretz, Jim Carrey,…
Genres : Action, comédie.

Synopsis : (Film interdit aux moins de 12 ans). Kick-Ass, Hit Girl et Red Mist sont de retour pour le second volet de l’irrévérencieux pastiche de film de super-héros Kick-Ass 2. L’audace insensée de Kick-Ass a inspiré une pléthore de vengeurs masqués autodidactes, le Colonel Stars & Stripes en tête, auxquels notre héros va s’allier pour patrouiller les rues de la ville et assurer la sécurité générale. Mais quand Red Mist, réincarné en Mother-Fucker, décide de s’attaquer à ces super-héros amateurs, seuls les sabres acérés de Hit Girl sauront les sauver de la destruction.

Bande annonce : ICI.

Ma note : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Mon avis : (Film vu en VO) Le deuxième volet de Kick-Ass, on l’attendait ! Parmi tous les films de super-héros, qui depuis quelques années fleurissent de plus en plus, c’est Kick-Ass qui a su tirer son épingle du jeu en introduisant un personnage attachant aux talents plus que limités, et une jeune héroïne, Hit Girl, jouée par la talentueuse Chloë Grace Moretz, aussi impressionnante que surréaliste. En 3 ans à peine (5 si on part de la naissance du comic), le personnage de Kick-Ass, ainsi que le film, sont devenus de véritables emblèmes de toute une génération (les 15-25 ans, en gros).
Bref, les amateurs attendaient ce Kick-Ass 2 au tournant.

Armé d’une bande-son qui déchire, cette deuxième partie tient toutes les promesses qu’elle avait entamées avec le premier film : Dave (alias Kick-Ass) est toujours aussi mauvais, Mindy (Hit Girl) toujours aussi violente. Ajoutez-y quelques scènes bien lourdingues et de la violence quasi-gratuite et vous obtiendrez Kick-Ass 2. Mais le pire, c’est qu’on adore et qu’on en demande encore.
Jeff Wadlow signe ici un film très habile, puisque malgré la violence physique et morale de ses personnages, le public est épargné par quelques scènes suggérées.

La polémique comme quoi Jim Carrey n’a pas voulu assurer la promo du film (qu’il jugeait trop violent) a fait un bien fou au film, puisqu’elle a encouragé quelques spectateurs à voir si, oui ou non, le film était si violent que ça.
Finalement, ce deuxième opus est une réussite : plus trash, plus violent, plus border-line, plus cinglé. Cependant, on pourra éventuellement reprocher à ce deuxième film qu’il se prend un peu plus au sérieux que son prédécesseur.
A voir de toute urgence !


L'avez-vous vu ? Qu'en avez-vous pensé ?

jeudi 22 août 2013

Cannelés bordelais

Pâtisserie phare de la gastronomie française du 18ème au 19ème siècle, le cannelé est réapparu au cours du 20ème siècle et depuis, le petit gâteau bordelais est un véritable classique de toute bonne pâtisserie qui se respecte.
Actuellement, le cannelé (ou canelé, cannelet, canelet, millas-canelet, millason, canaut, appelez-le comme bon vous semble), inventé au 18ème siècle par les religieuses du couvent des Annonciades, se décline en de nombreuses versions, et certains professionnels le servent même salé.

Mais aujourd’hui, je viens partager avec vous la recette traditionnelle du cannelé bordelais. La préparation de la pâte est d’une simplicité déconcertante, mais le secret d’un cannelé moelleux et croquant réside dans la cuisson !
Avant toute chose, je tiens à préciser que sans moule spécifique (c’est-à-dire un moule à cannelé), cette recette est impossible. Vous pouvez en trouver en silicone dans plusieurs supermarchés (6€ environ une plaque de 24 emplacements).

Difficulté :
☆☆☆☆☆

Durée :
15-20 minutes pour la préparation de la pâte, 12 à 24 heures de repos au frais et 35 à 40 minutes de cuisson.

Ingrédients (pour 60 cannelés environ) :
- 100g de farine
- 250g de sucre
- 1 sachet de sucre vanillé
- 50g de beurre fondu
- ½ litre de lait
- 3 œufs entiers
- 3 cuillères à soupe de rhum
- ½ gousse de vanille (ou 1 cuillère à soupe d’extrait de vanille)

1) Comme  la cuisson des cannelés est délicatement, l’étape du graissage des moules est très importante. En premier lieu, beurrez vos moules et disposez-les tout de suite au frais.

2) Dans un grand saladier, mélangez le sucre, le sucre vanillé la farine et les œufs afin d’obtenir une pâte de couleur jaunâtre.

3) Ajoutez doucement le lait en remuant en même temps et mélangez jusqu’à l’obtention d’une pâte lisse.

4) Après avoir fait fondre le beurre, ajoutez-le et mélanger.

5) Laissez reposer au frais 12 à 24h.

6) Après le repos de la pâte, préchauffez le four à 220°C.

7) Sortez vos moules pré-beurrés, graissez-les une nouvelle fois, et remplissez les moules aux ¾ environ.

8) Laissez cuire pendant 30-40 minutes (pour contrôler la cuisson, surveillez la coloration des cannelés).


9) Démouler chaud (dès la sortie du four) et laissez refroidir.

Bon app' !

lundi 19 août 2013

J'ai testé... le Brush Cleanser de Kiko !



Il y a encore 2 semaines, pour nettoyer mes pinceaux, j’utilisais la bonne vieille méthode du savon liquide. Efficace et très hygiénique. Certes, mais cette façon de faire me prenait un temps fou (je mettais au moins une bonne demi-heure pour tous mes pinceaux), sans compter le temps de séchage : impossible de me maquiller peu de temps après, puisque je devais attendre au moins 2-3h que tous les poils de tous mes pinceaux sont impeccablement secs. Inutile de vous dire que, du coup, je ne lavais pas hyper souvent mes pinceaux : environ 1 fois par mois. Oui, je sais, ce n’est pas assez ! (vous pouvez lancer la rumeur : Ariane Padawan est en fait Mimi Cracra)

Si on écoute les pros, il faudrait (au mieux), nettoyer ses pinceaux après chaque utilisation. Euh… ok… Et pour les gens qui ont une vie à côté du make-up, on fait quoi ? A priori, il suffirait de le faire toutes les semaines environ, en insistant bien sur les pinceaux ayant servi pour les matières liquides (fond de teint, blush crème, etc), car ils retiennent plus de bactéries.
Bref, vous voyez qu’avec mon « 1 fois par mois », j’étais biiiiien loin du compte ! Et qui dit pinceaux cracra, dit mélange de bactéries et de microbes sur le visage… Miam !

Alors il y a 2 semaines, j’ai enfin sauté le pas, et j’ai acheté le Brush Cleanser de chez Kiko. En plus de nettoyer (comprenez enlever les traces des différentes matières), il désinfecte les pinceaux (il est anti-bactérien). Bref, c’est parfait ! Voici ce qu’en dit la marque :

« Détergent doux pour pinceaux, sans rinçage
Élimine les résidus de maquillage, nettoie les poils en profondeur et les laisse doux et soyeux.
Aide à prolonger la durée de vie des pinceaux et à en conserver la forme. Des pinceaux parfaitement propres et doux, prêts l’emploi.
Utilisation : Pulvérisez directement sur les poils du pinceau et essuyez avec un mouchoir pour éliminer tous les résidus. »

Booouh, qu'il était sale mon 202 de chez Kiko ! Voici la jolie tête qu'il avait ("grâce" au fard Club de MAC) avant l'utilisation du Brush Cleanser.
Oui, le Brush Cleanser fait bien son boulot : il enlève parfaitement (ou presque) les traces de fards. En revanche, il est légèrement moins efficace avec le fond de teint, mais peu importe : quelques pulvérisations de plus, et le pinceau est presque comme neuf. Vous pouvez l’utiliser après chaque utilisation.
L’odeur est très agréable, elle ressemble un peu à celle des lingettes pour bébé. Le pinceau retrouve sa forme initiale, il n’est pas déformé et les poils sont intacts : ils ne tombent pas ou ne sont pas plus rèches. De plus, vous pouvez ré-utiliser vos pinceaux immédiatement après (enfin… attendez quand même 3-4 minutes), puisque ce pshit magique est sans rincage et sèche extrêmement vite.

Après pulvérisation, de simples aller-retours sur un mouchoir permettront de nettoyer le pinceau.
En gros, ce petit Brush Cleanser a tout bon. Son petit format, 50mL, est pratique pour l’emmener avec vous-même si vous partez en week-end ou en vacances.
Cependant un nettoyant de ce type de suffit pas les filles ! Il faut toujours laver de temps en temps vos pinceaux à la main. Oui oui, je sais, c’est une étape un peu embêtante (pour ne pas dire autre chose), mais essentielle. Compte tenu du fait que vous utilisez ce nettoyant souvent, vous pouvez vous permettre de ne les laver que tous les mois, voire tous les deux mois… Enfin, en tout cas, c’est ce que je vais faire !

Bref, le Brush Cleanser est vraiment génial, MAIS (oui, il y a un « mais »), il faut reconnaître que les 5,90€ ne sont pas donnés ! Oui, comme ça, ça a l’air de rien : vous vous dites « oh, un nettoyant pour 6€, c’est juste top ! ». Oui, mais 5,90€ pour 50mL (soit, 11,8€ les 100mL) c’est juste énorme, surtout quand on sait que le nettoyant de chez MAC ne coûte « que » 9€ pour 230 mL, soit 3,86€ les 100mL, donc environ 3 fois moins cher que le Blush Cleanser de chez Kiko.

Hop ! Parfaitement (ou presque) propre !
La prochaine fois, je ne me ferai pas avoir, les filles ! Lorsque celui-ci sera en fait de vie, je vais investir dans celui de chez MAC.
Mais pour celle qui sont un peu justes financièrement en ce moment et qui cherchent un nettoyant, le Brush Cleanser est celui qu’il vous faut !

Et vous, comment entretenez-vous vos pinceaux ?

mercredi 14 août 2013

Confessions d'une accro du shopping (2009)

Un film de P.J. Hogan
Avec Isla Fisher, Hugh Dancy, Krysten Ritter,…
Genres : Comédie, Romance, Humour.

Synopsis : Vive et charmante, Becky Bloomwood est une accro du shopping. Passionnée de mode, elle est incapable de résister au plaisir d'acheter tout ce qui est branché, tendance, trendy...
Obligée de trouver un job pour financer ses achats impulsifs, elle obtient un poste - ô ironie ! - dans un magazine financier. La voilà expliquant aux lecteurs comment gérer leur argent au quotidien, alors qu'elle passe son temps à dépenser le sien dans les boutiques !
Becky se retrouve vite dans une situation délicate qu'elle cherche à cacher à son patron, un homme très attirant ....

Bande annonce : ICI.

Ma note : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Mon avis : J’avais dévoré il y a 3-4 ans les premiers tomes de la saga éponyme de la très douée Sophie Kinsella. Depuis, dès qu’un nouveau livre de la saga sort, je l’achète les yeux fermés, sans même en lire le synopsis. Il allait donc de soi que je devais voir l’adaptation cinématographique ! Avant de visionner le film, je m’étais penchée sur les avis. La plupart étaient négatifs, donc je l’ai regardé sans réellement m’attendre à un chef d’œuvre.
Alors non, les Confessions d’une accro du shopping (CUADS) n’est pas un chef d’œuvre, mais il a le mérite d’être un film très dynamique durant lequel on ne s’ennuie pas une seule seconde. CUADS est un film très frais, dans l’air du temps qui expose des personnages très attachants auxquels les spectateurs peuvent très facilement s’identifier.

Je regrette cependant que certains passages du bouquin aient été ‘zappés’ par le réalisateur et certains moments d’adaptation dont le ton rappelle faussement celui de l’excellent Diable s’habille en Prada.

Une jolie petite comédie romantique qui ravira la plupart des filles à la recherche d’un film sympa, sans prétention, qui offre 1h30 de bon temps et de divertissement.

(Hé, les intéressé(e)s, peux même vous fournir un lien complet du film en VF. C'est par ici !)

L'avez-vous vu ? Qu'en avez-vous pensé ? 

samedi 10 août 2013

Help-me ! #7 : Comment organiser mes fards monos ? (bricolaaaage !)

Pour (re)lire les premiers Help-me !, cliquez ICI.

Aujourd’hui, je reviens avec un nouveau Help-me !
Avec mon amie Laura, il arrive que nous ayons des discutions interminables à propos de choses totalement futiles, mais c’est ce qui fait l’intensité de notre belle amitié !
L’autre jour, parmi tant d’autres, nous parlions de make up (on ne change pas une équipe qui gagne, les gars !) et plus particulièrement des fards monos. Vous savez, ces fards simples que les filles ont tendance à acheter, et donc à entasser, en masse. Et là, ma Laura a posé une question existentielle : comment les organiser et les ranger ? Parce que oui, à force d’acheter, on ne sait plus trop quelles couleurs sont déjà dans nos tiroirs, et donc, on ne s’y retrouve plus.
Bref, j’ai la solution !

Pour cela, il vous faudra :
- une palette aimantée (sans emplacement déjà réalisés)
- un couteau à pointe fine
- un support de protection
- des fards monos, évidemment

Concernant la palette aimantée, j’ai préféré choisir la palette à fond aimantée de chez Make Up For Ever (MUFE), puisque son prix est largement abordable (9€ environ), on peut y mettre n’importe quelle marque de fards, elle est grande mais transportable (selon la vendeuse, elle peut accueillir jusqu’à 25 (27 ?) fards de la taille MUFE), et elle est classe, il faut le dire ! 
Pour le support, j’ai utilisé un sac congélation, car c’est ce que j’avais sous la main, mais une ou deux feuilles de papier sopalin peuvent largement faire l’affaire : le tout est d’avoir une protection afin de ne pas abimer et salir sa table (les petites projections de fards sont vite arrivées).

Il existe deux manières de dépoter les fards selon les marques. J’ai donc pris les deux marques qui illustrent les « dépotages » possibles : Kiko et Sephora.
Suivez le guide !

> Pour les fards de chez Kiko :

1) Passez votre lame de couteau sous le petit bout de plastique face à vous et effectuez des mouvements de levier afin qu’il se casse. Attention, le petit est rebelle et a tendance à se casser d’une manière assez « violente » : comprenez qu’il peut voler à travers la pièce !

2) Une fois le Petit Rebelle enlevé, passez votre lame sur le côté, dans la petite jonction. Effectuez délicatement les mêmes mouvements. Attention, les fards Kiko sont très fragiles, alors faites-le doucement, car vous risquez de casser votre fard.

3) Enlevez cette partie de la boîte, toujours délicatement.

4) Vous obtenez finalement ceci. Avec votre couteau, passez la lame autour du fard en effectuant des mouvements de levier. Attention, étape très délicate : le fard risque à tout moment de se décoller violemment, et donc de voler à travers la pièce, voire de voler en éclat. Prenez votre temps.
Dans le pire des cas, si la colle ne veut pas céder et que vous n’osez pas y aller trop fort, vous pouvez déposer un tout petit peu d’alcool à 90°C ou du dissolvant dans la boîte (sans toucher le fard !) et attendre quelques instants. La colle s’enlèvera toute seule, et un léger mouvement de couteau suffira à décoller le fard.

5) Voici le résultat des étapes suivantes.

6) (Facultatif) Pour une meilleure organisation, je vous conseille fortement de noter, à l’aide d’un marqueur, au dos de votre fard sa référence (nom et/ou numéro) : plus facile par la suite pour s’y retrouver.


> Pour les fards de chez Sephora :

1) Pour les fards Sephora, l’opération est plus délicate : passez votre lame le long du fard et effectuez de légers mouvements afin de le décoller du pot. Armez vous de patience : certains fards sont plus résistants que d’autres.

2) Voici le résultat de l’étape suivante.

3) (Facultatif) Comme pour les fards Kiko, il est toujours appréciable d’avoir la référence de son fard sous la main.

Une fois vos fards tous dépotés, disposez-les à votre guise dans votre palette. Les fards Kiko et Sephora sont déjà aimantés, vous n’avez plus qu’à les poser. Les fards Mac (la dernière rangée) sont certes aimantés, mais j’ai dû rajouter une mini boule de patafix en dessous, car l’aimant n’était pas très puissant.
Attention lors du dépotage, car certains fards sont très fragiles et vous risquez de les briser !

Palette en cours de composition, promis, lorsqu'elle sera pleine, je vous en parlerai en détails !
Bon à savoir : dans de nombreux magasins (Mac ou Make Up For Ever, par exemple), les fards sans pot sont moins chers qu’avec leur pot. En somme, vous pouvez économiser jusqu’à 4-5€ en achetant les simples recharges (c’est-à-dire des fards déjà dépotés, si on peut dire ça). Chez Mac, par exemple, une recharge est à 13€ contre 17€ pour un fard et son pot.
L’astuce de la palette perso est non seulement bien pour l’organisation, mais également pour le côté financier !


Et vous les filles, comment rangez-vous vos fards monos ? Avez-vous opté pour l’astuce de la palette ?

mercredi 7 août 2013

Les addictions du mois #4 - juillet 2013

On continue les Additions du mois avec le mois de juillet !

#1 : Les Long Lasting Eyeshadow de Kiko.
Je vous en ai parlé ICI il y a quelques semaines, et comme vous le savez, je suis absolument fan de ces sticks. Pratiques, peu chers et magnifiques, ils sont parfaits pour l’été, mais aussi le reste de l’année !

#2 : Belle du Seigneur, d’Albert Cohen.
Véritable classique et chef d’œuvre de la littérature française ! Gros pavé de plus de 1000 pages, je pense qu’il va me tenir encore jusqu’à septembre (au moins).
Une magnifique histoire d’amour malsain entre Ariane et Solal, son « Seigneur ». A lire absolument !

#3 : Mes lunettes de soleil
Soleil et yeux bleus fragiles obligent, mes lunettes m’accompagnaient partout.

#4 : Mes sandales Tropézienne
Achetées en soldes à Biarritz, mes sandales Tropézienne ne me quittent plus depuis plusieurs semaines.

#5 : Mon sac en toile Tropézienne
Offert avec mes sandales, ce sac en toile s’est avéré bien pratique pour le mois de juillet. Idéal pour y glisser peu de choses, mais les choses essentielles (téléphone, mouchoirs, lunettes de soleil, porte-feuille, baume à lèvres).

#6 : Asaf Avidan
Il y a encore quelques semaines, Asaf Avidan était pour moi représenté par le remix « One Day ». Grave erreur ! Je me suis penchée avec plus d’attention sur l’univers de cet artiste, et je suis tombée sous le charme de sa musique.

#7 : Vanity Fair
Michel Denisot dirige depuis juillet la version française du cultissime Vanity Fair. J’ai testé, j’ai adoré ! Je pense d’ailleurs publier un article plus approfondi pour vous parler en détail de ce nouveau magazine.

#8 : Qui sera le prochain grand pâtissier ?
France 2 diffusait ce mois-ci la nouvelle édition de leur concours afin de trouver le meilleur espoir de la pâtisserie française. Programme de grande qualité, puisque contrairement à ses collègues (Master Chef, Top Chef, etc…), le Grand Pâtissier montre de réelles pièces artistiques, agrémentées de quelques astuces. Beau point fort : l’absence de pub. Qu’il est agréable de regarder un programme d’une traite !
Cette année, c’est la jeune Audrey qui remporte le concours !


Et vous, ce mois-ci, quelles ont été vos addictions ?
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...