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vendredi 19 juillet 2013

Les Long Lasting Eyeshadow de chez Kiko, le Saint Graal de l'été !

Inspirés des ombres à paupières en stick de marques diverses, notamment Laura Mercier, Nars ou encore Make Up Forever, les Long Lasting Eyeshadow de chez Kiko font actuellement partie des meilleures ventes de la marque.
Et cet engouement est largement justifié, puisque ces sticks sont de véritables petites merveilles, surtout en cette période d’été, puisqu’ils résistent à l’eau et ne font aucun transfert. De plus, les couleurs sont toutes plus belles les unes que les autres, allant des nuances les plus classiques (brun, doré,…) aux nuances les plus originales (turquoise, vert émeraude,…).
Bref, ces LLE ont tout bon ! Petite revue…

J’ai commencé à investir dans les LLE il y a environ 1 an. Investir est un bien grand mot, puisque l’unité vaut 6,90€ (contre le double, voire le triple, pour les autres marques citées au début du billet). Je les utilisais surtout les jours où je faisais du sport, pour éviter que les fards filent dans les plis de la paupière et m’offrent une allure de gitane. Au début, j’en ai acheté que deux : les 05 (un brun/taupe mordoré) et 06 (un doré classique), deux teintes relativement classiques et neutres, parfaites pour ce que j’en faisais.

Il y a quelques semaines, peu de temps avant de partir en vacances, je suis retournée chez Kiko et j’ai fait un petit « stock » de ces pures merveilles ! J’ai rajouté à ma collection le 01 (un blanc irisé), le 09 (un vert d’eau), le 16 (un violet très légèrement pailleté) et le 17 (un joli bleu nuit). Kiko ne m’a pas déçu, puisque tout comme les deux premiers que j’avais acheté, mes nouveaux LLE font magnifiquement  bien leur job : ils s’appliquent facilement et rapidement, ils résistent très bien à l’eau (mon 05 a résisté à 2 heures de surf), les couleurs sont intenses et facilement modulables, les textures sont agréables et ne piquent pas les yeux. En gros, je suis fan !

Les LLE peuvent s’utiliser seuls, en aplat sur la paupière mobile, ou bien en tant que base, à la manière des Paint Pot de chez M.A.C.
Petite précaution à prendre : lorsque vous appliquez votre fard, étalez-le de suite, car la matière sèche assez vite. Et avec la chaleur, les sticks sont assez fragiles, donc attention lors de l’application : n’appuyez pas comme une malade sur votre paupière, ou vous vous retrouverez avec un pâté de stick. Ce serait dommage !

Voici quelques swatches et visuels piqués à droite et à gauche sur la toile (je crédite, évidemment !) :
Source : Makeuppy.com (site italien)
Source : switchesandswatches.blogspot.com (blog espagnol)
Source : eluuna.com
Petite réserve sur le 01 (le blanc irisé) qui m’a légèrement déçu : il est assez peu pigmenté et le rendu n’est pas génial. Mais vous pouvez l’utilisez en base, il sera parfait !
Mais autrement, foncez : ils sont de grande qualité !


Long Stick Eyeshadow, existe en 20 teintes, 6,90€ l’unité
A retrouver en magasin ou sur le site de Kiko.

lundi 15 juillet 2013

Pour vous répondre en une seule fois

Vous êtes nombreux à me demander comment s'est passé le bac. Car oui, étant née en 1995, j'étais censée passer le bac cette année.
Si vous me lisez depuis quelques temps, ou si vous me connaissez personnellement, vous savez sûrement que je me suis réorientée en fin d'année dernière. En effet, j'ai terminé une Première L (Littéraire) en 2011/2012 pour commencer en 2012/2013 (donc l'année scolaire qui vient de s'achever) une Première ST2S (Sciences et Technologies Sanitaires et Sociales).
Mon projet professionnel avait évolué et quelques événements personnels m'ont fait réfléchir sur de nombreuses choses.

Cette réorientation s'est extrêmement bien passée, puisque j'ai fait, sans me lancer des fleurs, une très bonne année. En juin, j'ai donc passé mes EA (Epreuves Anticipées), également plus couramment appelées "Bac Français". Comme toutes les autres séries (séries générales ou technologiques), j'ai passé une épreuve écrite et une épreuve orale du Français, et j'ai eu également des AI (Activités Interdisciplinaires), également appelées TPE dans les séries générales. Comme les autres bacs, seuls les points au dessus de la moyenne comptent pour cette épreuve, et ils sont ensuite multipliés par 2.
J'ai choisi comme sujet le vaccin contre le cancer du col de l'utérus (le Gardasil, par exemple), et j'ai eu une soutenance orale.

Pour toutes les personnes qui l'ont demandé, voici mes résultats. Je m'en tire avec 28 points d'avance. Assez confortable pour commencer sereinement ma Terminale.

Voilà, vous savez tout ! Merci à ceux qui ont pris des nouvelles de mes résultats et de mon évolution dans cette nouvelle filière, ça me touche énormément.
Je vous fait d'énormes bisous, en espérant que pour celles et ceux qui passaient des épreuves (brevet, bac, BEP, partiels, etc) s'en sont bien sortis.

samedi 13 juillet 2013

Entraînement du Biarritz Olympique (11 juillet 2013)

Etant en vacances à Biarritz, je me suis renseignée sur les entraînements publics du Biarritz Olympique. Durant la semaine du 8 au 13 juillet, le BO s'entraînait tous les jours à Aguiléra de manière publique au moins 1h par jour. Jeudi 11, l'équipe proposait un entraînement de rugby collectif.
Voici une sélection de photos prises durant cet entraînement.


Crédit photos : Ariane Piot.
Pour tout éventuel emprunt, merci de me contacter par commentaire ou par mail.

lundi 8 juillet 2013

Les addictions du mois #3 - juin 2013

On continue les Additions du mois avec le mois de juin !

#1 : « Sors de ce corps, William ! » de David Safier
Je vous en ai parlé (ICI) : ce bouquin a été un véritable coup de cœur ! Je l’ai dévoré en quelques jours à peine, et je vous le conseille fortement.

#2 : L’album « All is One » d’Orphaned Land
En fan inconditionnelle du groupe Orphaned Land, j’attendais avec beaucoup d’impatience ce nouvel album. Je vous en parle en détail ICI.

#3 : Mon PC
Oui, oui, je dois l’admettre : c’est une addiction de geek, mais il m’a été essentiel avec les révisions du bac !

#4 : Le live de Muse, le 21 juin au Stade de France
Une soirée incroyable dont je vous parle ICI.

#5 : Instagram
Je me suis inscrite sur Instagram il y a environ 6-7 mois, mais je ne postais jamais rien. Depuis mi-juin, je suis totalement addict à Instagram, et je poste au moins une photo par jour. Vous pouvez me retrouver sur Instagram en cliquant ICI.

#6 : Les potes
Blues de fin d’année, bac, temps pourri,… autant d’évènements qui font que tu te rapproches des gens que tu aimes, notamment ceux avec qui tu passes la moitié de tes journées : les potes.
Les copains d’abord !

#7 : Le Marrakech du Rire 2013
Je ne rate jamais une occasion de me marrer, et ce mois-ci, M6 a diffusé l’édition de 2013 du Marrakech du Rire. Une bien belle soirée partagée en famille !


Et vous, ce mois-ci, quelles ont été vos addictions ?

mercredi 3 juillet 2013

Orphaned Land - All is One

Depuis leur premier album Sahara, sorti en 1994, Orphaned Land nous a habitués à l’excellence. Cependant, les fans devaient prendre leur mal en patience, car le laps de temps entre chaque album n’était jamais moins de 4 ans, voire plus. Avec All is One, le groupe israélien revient seulement deux ans et demi après The Never Ending Way Of ORwarriOR qui fût une de leurs plus belles réussites.
Alors une si courte période entre les deux opus, il est légitime pour le public de se demander si All is One n’a pas été baclé. Que nenni ! Une fois de plus, Orphaned Land offre un album soigné, bien écrit, bien interprété et bien produit.

All is One est un album beaucoup moins complexe que son prédécesseur qui, par les rythmes et surtout les paroles, donnait plusieurs possibilités d’interprétation. The Never Ending Way Of ORwarriOR  était une sorte d’album magique avec lequel vous découvrez toujours une petite chose que vous n’aviez pas remarqué aux premières écoutes. The Never Ending Way Of ORwarriOR est sûrement un des albums les plus aboutis que la sphère metal ait connu.
All is One, malgré une volontaire plus grande simplicité d’écoute et d’interprétation (cf : l’interview du chanteur Kobi Farhi dans le Rock Hard  n°133 de Juin 2013), est dans la lignée du groupe : impressionnant et brillant.

La pochette est une belle représentation du contenu de l’album, elle mêle les 3 signes des religions monothéistes : la croix chrétienne, le croissant de lune de l’Islam et l’étoile de David. Le groupe Orphaned Land, nommé au Prix Nobel de la Paix 2013 (voir ICI), œuvre pour la lutte contre les discriminations religieuses. Le message est explicite, clair comme de l’eau de roche.
Leurs chansons, qui mêlent rythmes metal, musique traditionnelle orientale, paroles en Anglais, en Arabe et en Hébreu sont le reflet de ce que le groupe veut véhiculer : un message de paix, d’universalité et de mélange des cultures. C’est ce magnifique mélange qui a fait le renom d’Orphaned Land.
En effet, toujours dans l’interview évoqué plus haut, Kobi Farhi explique que « les chansons évoquent malheureusement cette réalité, cette division des croyances qui paraît impossible à dépasser. Dans le morceau titre, je répète à de nombreuses reprises ‘Nous ne parvenons pas à réaliser que tout n’est qu’un ».

All is One est un album qui, aux premières apparences, est plus calme que les précédents, mais qui, lors d’une attention particulière portée aux paroles, respire la colère envers les diktats imposés par les frontières entre les pays et les cultures.
On regrettera peut-être un peu l’absence de chant guttural et la diminution de la durée des morceaux mais oui, dans l’ensemble, All is One est une pure réussite, rien n’est à jeter.
Mention spéciale pour le premier morceau éponyme de l’album qui annonce bien la couleur de ce nouvel opus : les chœurs, les soli de guitares, le chant chaleureux de Kobi Farhi et un net envie d’un son symphonique… tout y est pour ouvrir l’album avec grandeur.
Les honneurs aussi pour Through Fire and Water, Fail et Our Own Messiah. Sans oublier Shama’Im et Ya Benaye, titres exclusivement en Hébreu de l’album.
Et enfin, énorme coup de cœur pour la chanson Children, dédié aux enfants victimes de la guerre qui touche la Syrie, dont les paroles sont assez poignantes.


All is One est donc finalement le prolongement logique de The Never Ending Way Of ORwarriOR : il marque l’engagement des membres d’Orphaned Land tout en ne dérogeant pas à leurs règles et leurs habitudes musicales.
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