NB : les livres ne sont pas classés par ordre de préférence, de longueur ou alphabétique, mais tout simplement par ordre chronologique de lecture.
After : saison 1, par Anna Todd
(600 pages)
J'entends parler de cette saga depuis un sacré bout de temps. En vérité, on en parlait tellement, que je n'ai jamais pris la peine de lire le résumé ou les différents avis sur les blogs et chaînes Booktube. Eh bien j'aurais dû avant de me lancer ! Si on en lit les résumé de Babelio et autres sites littéraires, la série After met en scène deux personnages principaux totalement aux antipodes : d'un côté Theresa, alias Tessa, une jeune fille de 18 ans il me semble, très carrée et rangée. Tout va bien dans sa vie, elle a un petit copain qu'elle connait depuis qu'ils sont enfants, a de très bonnes notes et a été accepté à la fac où elle voulait aller. De l'autre côté, il y a Hardin, jeune homme tatoué de partout, un brin rebelle et je m'en foutiste. En voyant la couverture, je suppose que vous vous doutez de la suite des événements : Tessa tombe sous le charme d'Hardin, s'en suit une relation ni amoureuse, ni amicale basée sur l'amour-haine.
Que je mette de suite les choses au clair : je ne lirai pas la suite de la saga, car ce serait, à mon sens, une perte de temps. Ou du moins une perte de temps selon mes goûts et les attentes que j'ai d'un livre : je ne juge absolument pas les fans d'After.
600 pages de clichés ambulants (la petite fille sage sans problème et à l'avenir tout tracé qui tombe amoureuse du bad-boy insaisissable de la fac), 600 pages de "fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis" plutôt insupportables et terriblement lassantes, 600 pages d'un style bien trop "oral" à mon goût à pages de phrases presque toutes ponctuées de "bah", "euh", "enfin voilà", "tout ça", etc), 600 pages d'un remake pour adolescents de 50 nuances de Grey...
Je suis allée au bout de ma lecture car je n'aime pas abandonner un livre en cours de route, mais je le répète : la suite se fera sans moi. Pour être honnête, cependant, il faut avouer que l'auteure, Anna Todd, est plutôt douée pour donner envie au lecteur de poursuivre sa lecture. Chaque chapitre se clôt sur un mini cliff-hanger alléchant, mais ça n'a pas réellement fonctionné avec moi.
Un bon livre d'été, à lire sur la plage entre deux baignades, et encore. Dommage de couper des arbres pour imprimer ça...
Arsène Lupin, gentleman cambrioleur, par Maurice Leblanc
(183 pages)
Au début du mois d'août, la Booktubeuse Blondie-Safari (alias Marine) a initié une sorte de club de lecture en ligne. J'ai adoré l'idée et j'ai immédiatement demandé à rejoindre le groupe facebook : j'aime lire, j'aime le partage qu'engendre la lecture, et j'adore Marine ! Le principe ? Chaque mois, un livre est proposé (le premier mois, c'est Marine qui a choisi, mais le choix pour les mois suivants est fait sous forme de vote). On le lit, et on en parle entre nous. Pour ce mois d'août, c'est un classique qui a été proposé par Marine : Arsène Lupin, gentleman cambrioleur.
Au début, je n'étais pas hyper emballée, car le policier pur-jus n'est pas du tout mon type de lecture, mais je me suis dit que pour 183 pages, ça pouvait être une bonne expérience de refaire un test.
C'est très bien écrit, les enquêtes sont toutes très sympathiques, mais je persiste : ce n'est vraiment pas mon style. J'ai cependant apprécié la plume de l'auteur, très élégante : so british (bien que l'auteur soit français) ! Le personnage est particulier, mais dans le bon sens du terme : malgré son manque de moral et de culpabilité, on s'y attache rapidement et finalement, on l'adore !
J'ai fini ma lecture car ce n'était pas une lecture désagréable, mais je ne renouvellerai pas l'expérience avec ce genre.
Cependant, si vous aimez le polar classique (dans la même veine qu'Agatha Christie, par exemple), foncez : ce livre est fait pour vous ! De même, si vous voulez commencer à lire des classiques sans pour autant vous arracher les cheveux de complexité, vous pouvez lire celui-ci qui a un style assez fluide, bien que riche.
Outlander, livre 1 : Le Chardon et le Tartan, par Diana Gabaldon
(852 pages)
Mon inconditionnel coup de coeur littéraire 2015. Je ne vais pas en reparler ici, car j'ai posté en fin de mois d'août un billet plutôt complet et détaillé à propos de cet excellent roman. Si vous le souhaitez, vous pouvez le (re)lire en CLIQUANT ICI.
La 5ème Vague, tome 2 : La Mer Infinie, par Rick Yancey
(404 pages)
J'avais vraiment adoré le premier tome de La 5ème Vague. Dans mon #5 de 7SPL, je vous en disais tout le bien que j'en pensais (vous pouvez le relire en cliquant ICI). De ce fait, j'attendais avec grande impatience de pouvoir lire le second tome, mais j'avais préféré espacer mes deux lectures afin de ne pas en être blasée.
Pour être honnête, j'ai été quelque peu déçue. J'ai eu un mal fou à rentrer dans ce second tome dont le début était très long et uniquement, ou presque, constitué de dialogues. Je fais partie de ces quelques personnes qui apprécient beaucoup les descriptions et les passages narratifs, et les 100 premières pages en manquaient grandement. Après une bonne centaine de pages, j'ai peu à peu réussi à mieux rentrer dans le livre, mais rien de bien folichon non plus.
C'est en terminant ce livre que je me suis rendue compte que, malgré ce que je pensais, ce n'était pas le dernier tome de la saga. Le troisième devrait sortir d'ici peu, d'après la collection R. Et là, je me suis dit que finalement, il ne s'était rien passé dans ce deuxième tome. Mais vraiment rien ! On n'apprend rien de plus que ce qu'on savait déjà à la fin du tome 1 (que j'avais trouvé excellent). C'est vraiment dommage de voir ce fossé entre deux livres d'une même saga.
Cependant, j'ai hâte de lire le troisième et dernier tome pour savoir comment Rick Yancey terminera sa saga : qui, des humains ou des Autres, sortiront vainqueurs de cette terrible guerre ?
Outlander, livre 2 : Le Talisman, par Diana Gabaldon
(952 pages)
Voici le second tome de la saga Outlander. C'est plutôt rare que je fasse ça, mais j'ai presque enchaîné les deux tomes tant j'ai été absorbée par l'histoire. Ce second tome est plutôt égal au premier, même si j'ai préféré Le Chardon et le Tartan. Ceci dit, j'ai été très heureuse de retrouver cet univers et ces personnages que j'ai tant appréciés !
Ce deuxième tome est encore plus politico-historique, et c'est ce qui m'a plu mais pourrait déplaire à d'autres personnes. Je ne sais pas si le traducteur était le même ou non, mais j'ai beaucoup apprécié le fait qu'il y ait eu des notes du traducteur à propos de certains noms propres et détails de batailles. Par exemple, si comme moi vous n'y connaissez rien à l'histoire de l'Angleterre et de l'Écosse vers 1745 (et avant), ces petites notes sont très précieuses ! Et j'ai remarqué que dans le premier tome, aucune note de la sorte n'existait.
Le Talisman est un peu plus long que le premier tome, mais rien d'insurmontable. Néanmoins, je dois avouer que j'ai préféré la seconde moitié du récit : lorsque nous sommes de nouveau en Écosse (je n'en dis pas plus, mais les 500 premières pages environ se passent ailleurs qu'en Écosse...).
Vous vous en doutez, je suis toujours aussi fan de cette saga, et j'ai hâte de lire la suite ! Cependant, je ne pense pas de suite enchaîner avec le troisième tome : je vais attendre pour éviter de me lasser, car ce serait vraiment dommage. D'autant que ce sont de grosses briques (entre 850 et 1300 pages), et ayant repris les cours, c'est compliqué pour moi de prendre des livres aussi gros avec moi dans les transports en commun.
Sacrées sorcières, par Roald Dahl
(240 pages)
Petit plaisir de la fin des vacances : j'ai eu envie de relire une oeuvre de Roald Dahl que j'avais découverte... en CE2 ! Je me souviens que ma maîtresse de CE2 nous avait fait lire et étudié ce roman. Même à 20 ans, je suis toujours aussi fan de Roald Dahl qui a un style d'écriture très mordant et cynique. C'est donc avec grand plaisir que je me suis replongé dans ce livre pour enfants (il est destiné principalement aux 7-12 ans).
En bref, Roald Dahl aborde dans ce roman le sujet des sorcières "modernes" : il explique que les sorcières actuelles ne sont pas les vilaines moches avec leur chapeau pointu des contes. Non non, les sorcières actuelles ressemblent à n'importe quelle femme, ou presque, ce qui est d'autant dangereux et effrayant, d'autant qu'elles détestent les enfants ! On retrouve un petit garçon qui a été transformé par une des sorcières et se met comme objectif de pouvoir avertir tous les enfants afin qu'ils puissent échapper aux sorcières.
C'est drôle et très entraînant : nous sommes vite pris dans cet univers fantastique et parfois cruel. C'est assez court, donc si vous voulez passer du bon temps, n'hésitez pas une seule seconde (que vous soyez très jeune, jeune, ou adulte !), d'autant que cette édition comporte de nombreuses illustrations très sympathiques. J'aime également énormément le fait que Roald Dahl ne prenne pas son public pour des idiots ignorants, malgré le fait que ce soit des enfants : il écrit simplement mais non de manière simplette. Et c'est cette nuance subtile qui en fait un auteur de référence pour le jeune public !
Animale : la malédiction de Boucle d'Or, par Victor Dixen
(400 pages)
Après Arsène Lupin en août, le premier tome de la saga Animale a été choisi comme roman de septembre sur le club de lecture en ligne Book'in'osaure de Marine. Je me suis lancée dans l'histoire sans même en connaître les grandes lignes, et finalement, ce n'était pas plus mal !
Je connaissais déjà la plume de Victor Dixen que j'avais découverte en lisant Phobos, que j'avais adoré. Il fait partie de ces quelques auteurs YA (Young Adult) qui écrit avec simplicité et beauté sans sous-estimer ses lecteurs. J'apprécie son style très onirique et lyrique mais qui reste compréhensible et non pompeux.
Animale : la malédiction de Boucle d'Or est une réécriture du très connu conte Boucle d'Or et les trois ours. Cette version, plus sombre et gothique, se déroule sur fond historique, en 1832. Pas de panique si vous n'êtes pas fan d'histoire : le roman n'est pas une fiction historique à proprement parlé, mais on comprend vite que le choix de cette période n'a pas été fait au hasard par l'auteur.
On suit Blonde, une jeune orpheline de 17 ans qui a été confiée à un couvent austère lorsqu'elle n'était encore qu'un bébé. Cette jeune fille porte bien son nom : sa magnifique chevelure blonde lui vaut de nombreuses réflexions de la part de ses camarades mais aussi des sœurs qui lui demandent de cacher ses cheveux. Après avoir lu un dossier concernant la disparition d'une jeune femme il y a plusieurs années, Blonde va se mettre en quête de vérité sur ce dossier mais aussi sur elle-même.
J'ai adoré le caractère de Blonde et sa détermination. J'ai également beaucoup aimé les lieux décrits Victor Dixen. En quelques centaines de pages, on est transportés dans de nombreuses contrées très différentes : l'est de la France, le Danemark mais aussi le Vatican. Victor Dixen fait évoluer son personnage tout le long du récit et cette évolution est très intéressante et enrichissante à suivre.
On assiste à un mélange des genres absolument fantastique et savamment mené : historique, fantastique, conte,...
Cette réécriture de conte est une grande réussite qui nous enveloppe immédiatement, si bien qu'il est difficile d'arrêter sa lecture ! Le deuxième tome est sorti il y a quelques semaines et il abordera cette fois-ci le conte de La Reine des neiges avec comme approche : "Et si le plus merveilleux des contes cachait le plus sombre des complots ?"
Contes Merveilleux – Tome II, par Hans Christian Andersen
(version ebook de fr.feedbooks.com : 187 pages)
Je possède ma liseuse depuis maintenant 7 mois et j'ai remarqué que grâce à elle, je lis beaucoup plus de classiques puisqu'ils sont disponibles gratuitement et dans de très grandes qualité d'édition. J'ai donc pu télécharger de nombreux livres et j'avais lu le Tome I des Contes Merveilleux. Cette anthologie ne sera pas forcément la même que celles proposée par des éditions papiers. En effet, le choix de sélection des contes a été élaboré par la communauté Ebooks libres et gratuits.
Ce deuxième tome a été aussi agréable à lire que le fut le premier. On redécouvre des contes de notre enfance et on en découvre de nouveaux beaucoup moins connus mais tout aussi plaisants. Je suppose que je vous l'avais déjà dit, mais Disney avait édulcoré la plupart des contes qu'il avait adapté en dessin animé, et lire les versions originales, bien plus trash, est très intéressant. Un aspect psychologique et philosophique est largement présent, contrairement aux version Disney, et ces domaines m'intéressent tout particulièrement, donc cette lecture a été un moment très divertissant et intéressant pour moi.
Max, par Sarah Cohen-Scali
(480 pages)
Ce roman avait été conseillé par Nine dans une sélection dédiée aux romans à propos de la Seconde Guerre Mondiale.
On suit la vie de Max, de la vie pré-natale jusqu'à la libération. Max est un petit garçon qui remplit toutes les conditions d'appartenance à la "race aryenne" (ça me fait mal d'écrire le mot race en parlant d'être humain, mais c'est un terme de l'Histoire : je ne l'invente pas). En fait, Max est le premier enfant né du programme Lebensborn mené par Himmler, haut dignitaire du IIIème Reich : il a été conçu dans un cadre normé et contrôlé, un "accouplement" entre un homme 100% aryen, généralement un SS, et une femme 100% aryenne (ou du moins, selon les attentes de Hitler).
Depuis sa vie foetale, Max est formaté par les idéologies nazies. Mais Max va grandir, Max va commencer à observer, à apprendre et finalement, Max va finir par se poser des questions et remettre peu à peu toutes ces doctrines en question...
Je peux vous dire une chose : Max a été une sacrée claque dans ma gueule. Que de vulgarité, je sais ! On en connait plusieurs, des livres qui parlent plus ou moins de la doctrine nazie et qui dénoncent les heures terribles que le Führer a fait endurer à l'Europe entière. Mais celui-ci, Max, a été particulier. Il a été particulier puisqu'il est raconté à travers le regard d'un enfant, ce qui est d'autant plus cruel et plus cru. C'est terrifiant de voir à quel point il est facile de manipuler un individu si cette manipulation est faite précocement. Je n'ai d'ailleurs pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec les endoctrinements fait par Daesh en ce moment : s'en prendre à de jeunes individus est forcément plus aisé que d'essayer d'endoctriner des adultes qui, normalement, ont une plus grande capacité de discernement du bien et du mal. Passons.
Dans l'esprit de cet enfant, tout ce qui se passe est normal. C'est normal, selon lui, d'être traité avec respect parce qu'il est blond aux yeux bleus et qu'il est donc de "sang pur". C'est normal, selon lui, que les Juifs soient au début écartés pour finalement être persécutés et menés vers la mort. C'est normal, selon lui, d'honorer le Führer. Mais finalement, peut-on blâmer cet enfant, sachant qu'il n'a jamais rien connu d'autre et qu'il a été élevé en intégrant, chaque jour, ces principes ?
Avec nos yeux du XXIème siècle, il est intolérable de lire de telles choses, mais Max est né comme ça (en 1936), donc tout lui paraît normal. On commence alors à être partagé entre deux sentiments envers cet enfant : la pitié (c'est terrible de naître d'une maternité SS !) mais aussi la haine (comment un enfant peut avoir des idées aussi violentes à propos des Juifs ?). Finalement, c'est la pitié qui l'emporte sur la haine.
Ce livre est d'une grande richesse sur plusieurs points : pour son côté historique, bien évidemment, mais aussi son aspect psychologique. La fin m'a complètement retournée et je dois avouer que j'ai eu du mal à passer à un autre livre ensuite. On connaît la fin, évidemment, mais les éléments de fiction qui viennent s'y ajouter rendent l'histoire encore plus dure d'un point de vu affectif et émotionnel.
Finalement, Sarah Cohen-Scali signe ici un roman historique d'une grande justesse et très bien documenté. Mention spéciale aux éditions Gallimard (collection Scripto) pour leur couverture totalement en adéquation avec le fil conducteur du roman.
Max est finalement un roman que les professeurs d'histoire pourraient évoquer à leurs élèves qui aiment lire et qui voudraient en savoir plus.
Ce qui nous lie, par Samantha Bailly
(281 pages)
Je connaissais Samantha Bailly pour sa saga de Fantasy : Au-delà de l'oraison. J'ai vu récemment sur son compte Facebook qu'elle allait bientôt sortir un nouveau roman, et j'ai voulu me replonger dans ces oeuvres. Je me suis donc dirigée vers un roman pas très long mais d'une rare intensité : Ce qui nous lie. Dans cette histoire, on suit Alice, une jeune femme d'une vingtaine d'années, qui a une capacité singulière : elle peut voir les liens qui unissent ou divisent les gens entre eux. Alice a appris à vivre avec ces "cartographies affectives" et les a même utilisées pour gagner sa vie. Mais elle va changer de boulot et rencontrer son manager chez qui, étrangement, elle ne parvient pas à voir les liens. Tout va partir de là, et nous allons pages après pages découvrir l'histoire d'Alice à travers différents "stades" d'écriture qui s'alternent : le passé, le présent et le futur.
A première vue, et on pourrait s'en douter en découvrant le résumé du roman (vous pouvez le lire ICI), on pense à un livre de romance pure et dure. Mais détrompez-vous : Ce qui nous lie est bien plus que ça. On y trouve une sorte de volet à propos des amitiés plus ou moins fictives et virtuelles, tant d'un point de vu multimédia (internet, Facebook et autres réseaux sociaux) que d'un point de vu réel : malgré ce que peuvent dire certaines personnes, sont-elles réellement nos ami(e)s ? Véritable quête de soi et de sa place dans sa vie affective et professionnelle, ce roman m'a bouleversée durant toute ma lecture.
J'ai été très déstabilisée par le personnage d'Alice qui, finalement, me ressemble énormément sur le plan affectif et psychologique. Cette ressemblance a laissé en moi un sentiment d'inconfort et de fragilité : normal, lorsqu'on lit une histoire dont le personnage est presque une copie de soi !
Ce roman atypique a été une véritable quête personnelle pour moi : à la fin de ma lecture, je me suis posée beaucoup de questions. Certaines ont rapidement eu des réponses, d'autres sont encore en suspens. Mais je ne désespère pas à les trouver !
* Aristote et Dante découvrent les secrets de l'Univers, par Benjamin Alire Saenz
(368 pages)
Impossible pour moi de vous parler de cette histoire, par peur d'en dire trop ou, au contraire, de ne pas assez en dire. C'est simple, je vous conseille de vous lancer dans cette histoire comme j'ai pu le faire : sans savoir quoi que ce soit, sans lire le résumé, sans trop lire de chroniques et d'avis sur internet.
Dans ce roman, l'auteur aborde de nombreux thèmes très différents les uns les autres. Des thèmes pouvant, aux premiers abords, sembler simples et classiques mais qui, finalement, sont bien plus complexes et polymorphes. Quête d'identité et de sens à donner à sa vie...
La fin a été largement décriée par de nombreux lecteurs et je peux le comprendre. Cependant, pour ma part, je n'ai pas trouvé cela particulièrement gênant. Evidemment, à environ 100 pages de la fin, je me doutais un peu du dénouement, mais la fin ne gâche en rien l'opinion que j'ai eu de ce livre.
Finalement, je pourrais presque apparenter Aristote et Dante découvrent les secrets de l'Univers a un roman philosophique et initiatique, dont le nom des personnages principaux n'est certainement pas dû au hasard) dans lequel on se plonge volontiers sans aucune attente particulière.
Et vous, qu'avez-vous lu dernièrement ?
Tu lis super vite ! Moi je suis vraiment lente comparée à toi. D'ailleurs j'écris lentement aussi.
RépondreSupprimerJ'ai terminé récemment le dernier livre de Stéphane Bern "Les pourquoi de l'histoire : tome 2". Moi qui adoooooree l'histoire j'ai trouvé le livre passionnant !
Bisous !
C'est surtout que sur ces 7 semaines, il y a eu environ 5 semaines de vacances, donc j'ai vraiment eu le temps de lire ! Je n'ai pas fait grand chose durant mon mois d'août : pas d'envie et surtout grosse flemme. Et j'avoue que dès que j'ai un petit moment de répit, j'adore lire :)
SupprimerD'autant que j'ai tous les jours 3h de transport (A/R) donc j'ai le temps de pas mal lire ;)
Bisous <3
J'aime beaucoup ta nouvelle déco automnale :)
RépondreSupprimerMerci Armelle :)
SupprimerMoi aussi je veux liiiiiiire :( jamais le temps! Allez ce weekend c'est décidé je lis!
RépondreSupprimerUne petite demi-heure, tous les soirs, avant de dormir, ça peut être bien aussi ;)
SupprimerCoucou ! :)
RépondreSupprimerJ'adore la nouvelle bannière automnale de ton blog <3
Tu en lu des livres dis donc ! Je crois que je vais me mettre à lire Animale aussi, ton avis m'a convaincue ;)
Bises.
Merci Diane <3
SupprimerEn fois que tu l'auras lu, tu me diras ce que tu en as pensé :)
Outlander a été une excellente lecture pour moi, mais j'ai peur d'être déçue par le 2, si je le lis... :/
RépondreSupprimerPar contre j'aimerais bien lire After, juste pour voir de quoi il s'agit, même si ça ne m'étonnerait pas que je sois déçue. J'aimerais aussi beaucoup lire Aristote & Dante. Je ne connaissais pas Ce qui nous lie, mais il a l'air vraiment pas mal !
J'espère que tu vas passer un bon automne rempli de belles lectures. ;-)
Je dois avouer que j'ai préféré le tome 1 au tome 2, mais je suis actuellement en pleine lecture du tome 3, et je ne suis vraiment pas déçue ! :)
SupprimerDes bisous et plein de belles lectures à toi aussi :)
Et j'ai le même avis que toi pour Max : une vraie claque !
RépondreSupprimerOui, et pourtant c'est un livre qui n'est pas très connu, c'est dommage !
SupprimerJ'ai bien envie de lire Outlander. ^^ Max avait presque été un coup de cœur. Quelle claque ce livre !
RépondreSupprimerSinon j'aimerais bien lire After, juste pour voir de quoi il en retourne, si à l'occasion je pense à l'emprunter... J'aimerais beaucoup découvrir Aristote & Dante, aussi, même si beaucoup ont été déçus.
Je te souhaite d'avoir de belles lectures !
Ohh j'avais lu un livre de Roald Dahl en primaire, c'était "Mathilda", qui existe aussi en film. J'avais trop aimé.
RépondreSupprimerSinon maintenant c'est les livres de Musso que je dévore ^^
"Max" est top, même si, je l'avoue, j'aurais aimé passer plus vite sur la période de la petite enfance et m'intéresser plus à ce qu'il se passe quand il a 8 ans. Mais sinon, il est vraiment top ! Faudra que j'en fasse un article quand j'aurais le temps et la motivation.
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