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vendredi 30 septembre 2011

Samedi soir, La Nuit Blanche soufflera ses 10 bougies !


Comme tous les ans depuis une décennie déjà, la Nuit Blanche, samedi 1er octobre au soir, animera la capitale tout au long de la nuit. Au programme ? Culture, animation, divertissement, musique, art, etc...

Populaire, adorée ou encore détestée par de nombreux Parisiens, cette Nuit Blanche sera l'occasion de (re)découvrir les plus beaux quartiers de Paris, notamment l'Hôtel de Ville, Montmartre, ou encore Pigalle.

Le programme est chargé, et est diversifié partout dans la capitale :

* Dans le XXème, de 22h à 3h, le collège des Bernardins vous ouvrira ses portes pour une évasion musicale avec, entre autres, le trompettiste Rhys Chatam.
* Au Centre Pompidou, de 20h à 1h, vous aurez l'occasion de visiter gratuitement le musée, avec, notamment, des visites-conférences insolites, de 21h à 00h.
* A Beaubourg, de 21h à 20h, vous pourrez découvrir un duo de DJ's Japonais, Hifana.
* Au Marais, de 21h à 2h30, vous pourrez rencontrer les écrivains qui ont marqué la rentrée littéraire, qui feront une lecture au public, aux Cahiers de Colette (IVe). Dédicaces, discussions, rencontres, le tout guidé par une sélection variée (romance, fantastique, fiction, etc.).  
* A l'Hôtel de Ville, la mairie ouvrira ses portes, de 19h à 3h, pour un "Cabaret contemporain". Musiciens et DJ's sans tabous mixeront jusqu'au petit matin !
* Et plus de choses encore à découvrir sur le site de la Mairie de Paris (ICI) ou sur le site officiel de la Nuit Blanche (ICI) !

Avec toutes ces choses à voir, demain soir, la nuit risque d'être longue !
Votre programme ?

Crédit photo : Samedi, à l'hôtel Albret, les Parisiens pourront passer sous une fine pluie mauve ! Photo de Pierre Ardouvin.

mardi 27 septembre 2011

François Trinh-Duc : le ciel lui tombe sur la tête !


Si je vous disais que François Trinh-Duc a complètement oublié son match face aux Néo-Zélandais, vous me ririez au nez ! Et pourtant, le Montpelliérain a réellement oublié son intervention contre les Kiwis.

En effet, lors du match de samedi face à la Nouvelle-Zélande, suite à un violent choc contre Sonny Bill Williams lors de l'essai, François Trinh-Duc aurait été méchamment touché. Les séquelles de l'ouvreur seraient plus importantes qu'il n'y paraît. Après le match, beaucoup de journalistes le trouvaient "ailleurs".

François Trinh-Duc avoue avoir été pris de nausées au retour aux vestiaires et n'avoir plus aucun souvenir de sa rencontre face aux All Blacks. Les médecins des Bleus se sont immédiatement occupés de son cas, et il semblerait que le jeune homme soit atteint d'une cervicalgie.

Le staff est rassuré : rien de grave à l'horizon. En revanche, Marc Lièvremont a préféré ménager Trinh-Duc, qui cédera sa place, une fois de plus, à Morgan Parra à l'ouverture pour le match de samedi prochain, samedi 1er octobre, face aux Îles Tonga.
Espérons qu'il se remette bien vite !

Crédit photo : Sport 24

Dream Theater partage la Une du "Métro Paris" !


Ce matin, mardi 27 septembre 2011, quelle surprise que de voir un groupe de metal squatter la Une d’un des plus grands quotidiens gratuits de France, le Métro Paris !
Bien que toute la Une ne leur soit pas offerte (et il n’est jamais arrivé qu’un seul titre fasse la Une du Métro Paris), je dois avouer que c’était une sorte de petite victoire, pour moi, ce matin !

A l’occasion de la sortie du nouvel album de Dream Theather, « A Dramatic Turn of Events » (officiellement le 13 septembre 2011), les journalistes du Métro se sont penchés sur ce groupe de metal progressif. Sur sa Une, le Métro titre « Dream Theater, les orfèvres du metal ». Et ces éloges ne s’arrêtent pas là, puisque tout le long de l’article, le journaliste Jérôme Vermelin va prouver qu’en ce XXIème siècle, d’autres musiques que le rap, la techno ou la dance peuvent être mises à l’honneur. Il annonce d’ailleurs une bonne nouvelle à tous les fans : DT sera en live au Zénith de Paris le 3 février 2012.

On notera notamment de jolis compliments, tels que « le métal virtuose », ou encore « James Labrie, leur prodigieux chanteur ».
Et puisqu’un bon article n’arrive jamais seul, Jérôme Vermelin s’est également chargé de rédiger une courte (mais efficace) chronique de ce nouvel opus. Il lui attribue même la jolie note de 4/5.

Cet article a été publié dans un des quotidiens gratuits les plus lus en France, et j’espère qu’il aura pu faire découvrir ce très bon groupe à de nombreuses personnes. Un petit pas pour les lecteurs du Métro Paris, un grand pas pour les métalleux du pays !

Envie de lire l'article ? C'est ICI.
Envie de découvrir le dernier album de Dream Theater ? C'est ICI.

Crédit photo : Dream Theater's Official Website.

dimanche 25 septembre 2011

Coupe du Monde 2011 : Nouvelle-Zélande / France


Nouvelle-Zélande / France
37 – 17
Black is back !

La compo : Traille, Clerc, Rougerie, Mermoz, Médard, Parra (o),  Yachvili (m), Bonnaire, Picamoles, Dusautoir (cap.), Nallet, Papé, Ducalcon, Szarzewski, Poux.

Les remplaçants utilisés : Servat, Barcella, Pierre, Harinordoquy, Trinh-Duc, Estebanez, Heymans.


Samedi 24 septembre, le clash tant attendu entre l’équipe hôte, la Nouvelle-Zélande, et la France a enfin eu lieu. Une pelouse impeccable, un climat favorable, sérénité d’esprit… rien ne pouvait déconcentrer les Bleus, par même les vilaines attaques de la presse Néo-Zélandaise.

Beaucoup attendaient le miracle, beaucoup y croyaient (moi comprise), mais pourtant, samedi, il n’y a point eu de miracle. Malgré une superbe entame de jeu et les dix premières minutes de jeu (presque) parfaites, les Bleus n’ont pas tenu le coup face aux Blacks.


Quelques petites « pulsions » de jeu ont eu lieu au cours du match, mais en moyenne, nos Bleus favoris étaient complètement dominés par les All Blacks. Après une première mi-temps très moyenne, le XV de France a su se reprendre au cours de la seconde mi-temps, mais avec un tel écart de point pris en première mi-temps (19-3), rattraper les Blacks relevait du miracle !

Les essais fleurissent (10ème : Thomson, 17ème : Cory Jane, 21ème : Dagg,  42ème : Dagg, 77ème : Dagg) sous la mine défaite des Bleus qui, pourtant, ne se laissent pas abattre et, pour l’honneur, tentent jusqu’à la dernière seconde de belles actions. ‘Seulement’ deux essais Français (54ème : Mermoz, 76ème : Trinh-Duc) ont été marqués par les Bleus.

Le match a, à certains moments, été très creux pour les Français, mais malgré les méchants titres de la presse (qu’elle soit Française ou Néo-Zélandaise), on peut dire que nos Bleus ne s’en sont pas trop mal sortis. Aucune action n’a réellement été remarquable, côté Français, mais le match, en moyenne, fut de bonne qualité, des deux côtés.


En revanche, contrairement à certains matches, samedi, aucun joueur ne s’est démarqué des autres. On a remarqué que la charnière improvisée Parra/Trinh-Duc n’est pas du tout mise au point, que certains joueur mis sur le banc, comme par punition, auraient été plus appréciés sur le terrain plus de temps (Harinordoquy, pour ne citer personne… !). Bon match, tout de même, effectué par Maxime Mermoz, Vincent Clerc, William Servat, Aurélien Rougerie et Julien Bonnaire.

Une unique chose est sûre : la semaine prochaine, face aux Tonga, il ne faudra pas qu’on se prenne les pieds dans le tapis, ou plutôt… dans la pelouse !

Dan Carter, meilleur 10 du monde, prouve une fois de plus combien sa réputation est justifiée : la Nouvelle-Zélande a dans ses rangs les meilleurs rugbymen du monde. Humilité, talent, envie, passion… Que de mots pour décrire l’équipe des All Blacks !

Mais malgré l’envie et la rage des Bleus, il est vrai que la suprématie Néo-Zélandaise n’est plus à démontrer : les hommes de Ricky McCaw n’ont plus rien à prouver. A croire qu’en Nouvelle-Zélande, les enfants naissent avec un gène en plus, un gène ovale.

Crédit photos : Beautiful-Sports.

samedi 24 septembre 2011

Coupe du Monde 2011 : France / Canada

France / Canada
46 - 19
Un bon match sous la flotte


La compo : Traille, Clerc, Marty, Mermoz, Rougerie (cap.), Trinh-Duc, Parra, Ouedraogo, Picamoles, Bonnaire, Millo-Chlusky, Papé, Ducalcon, Servat, Poux.

Remplaçants utilisés : Guirado, Barcella, Pierre, Harinordoquy, Yachvili, Médard.

Dimanche 18 septembre, à 10.30, heure Française, le XV de France, en battant les semi-pros Canadiens avec un joli score de 46 à 19, réalise un pas supplémentaire vers les quarts de finale. Certes, ce match n'était pas des plus beaux de l'histoire de la Coupe du Monde (il faut dire que les conditions climatiques ne s'y prêtaient pas...), mais les Bleus ont réussi à s'imposer grâce à 4 essais, dont 3 de l'excellentissime Vincent Clerc. Retour sur le match.

Dès le début du match, beaucoup sont sceptiques, et les pronos pas forcément très encourageants : la pluie ne cesse de tomber, et le froid s'est abattu sur les 2 équipes... De très mauvaises conditions climatiques pour un match du Mondial, mais les aléas du temps sont indomptables ! Le ballon, telle une savonnette, glisse entre les mains des 30 hommes présents sur le terrain, et le jeu au pied en est que plus laborieux. Et pourtant, c'est suite à une chandelle de François Trinh-Duc, que le premier essai Français est marqué dès les premières minutes de jeu.

En moyenne, le jeu Français aura été plutôt bon, si l'on prend en compte cette météo désastreuse. Petite erreur de Damien Traille qui, malgré lui, permet aux Canadiens de marquer leur unique essai du match. Le Biarrot tente tout juste de rattraper la balle qui lui arrive littéralement dessus, elle glisse dans les mains d'un Canadien, Ryan Smith, qui s'empresse immédiatement de scorer.


Après 'seulement' un essai Français jusqu'aux 20 dernières minutes, les Bleus craignent de ne pouvoir empocher le bonus offensif. Et pourtant !! Traille et Clerc (x2) offrent au XV de France les 3 derniers essais tant espérés. Les Canadiens répliquent, seulement à l'aide coups de pieds : les pénalités et les drops fleurissent à toute allure.

De ce match plutôt convaincant à une semaine du grand rendez-vous tant attendu, France / Nouvelle-Zélande, les Bleus prouvent que tout est encore possible et que, mieux, le meilleur peut encore arriver ! A noter : un Morgan Parra très efficace, un Vincent Clerc surprenant, un Louis Picamoles ingénieux, mais aussi, il en faut toujours, un Maxime Mermoz et un David Marty assez décevants.
Alors avant le prochain match de l'Equipe de France face à la Nouvelle-Zélande, le XV doit encore travailler sa discipline, ses fautes trop fréquentes, sa fluidité dans les passes et son agressivité qui doit, de plus en plus, s'étoffer.

Mais il est sûr que malgré les très nombreuses critiques à venir que vous pourrez entendre dans la presse, qu'elle soit visuelle ou écrite, les Bleus poursuivent les phases de poule avec beaucoup d'envie, de dextérité et de passion. Maintenant, il va falloir garder le niveau, et, pourquoi pas, mettre les bouchées doubles face aux favoris : les Néo-Zélandais. Mais... Pourquoi ne pas y croire, après tout ?!

Crédit photos : Espnscrum.

Coupe du Monde 2011 : France / Japon

France / Japon
47 - 21
Une petite frayeur vite maîtrisée


La compo : Barcella, Servat, Mas, Pierre, Nallet, Dusautoir (cap.), Harinordoquy, Lakafia, Yachvili, Trinh-Duc, Médard, Estebanez, Rougerie, Clerc, Heymans.

Remplaçants : Papé, Marty, Skrela, Parra, Szarzewski, Poux, Bonnaire.


Premier match des Bleus de ce Mondial. Pour commencer, ils ont affronté le Japon, nation vainqueur de la Coupe des Nations du Pacifique en 2011. Beaucoup disait le match gagné d'avance, mais les mauvaises langues ont pu se rendre compte qu'à certains moments du match, le jeu Nippon était nettement supérieur au jeu Français. Retour sur ces 80 minutes rugbystiques.

Sous le ciel Néo-Zélandais, des milliers de spectateurs venus de tous les coins du Monde attendent ce match, et tout le monde est surpris de voir autant de supporters Français ! Après une Marseillaise chantée à pleins poumons, le XV de France fait ses débuts dans la Coupe du Monde 2011. Dès le début du match, la domination Française se fait bien sentir, tant sur le plan technique que physique... et pourtant, le « pack » Japonais est plus lourd que le Français !
Dès la 5ème minute, le Clermontois Julien Pierre s'impose sur la pelouse Néo-Zélandaise avec un très bel essai. Et les Bleus ne s'arrêtent pas là, puisqu'en première période, ils auront aligné 3 essais (Julien Pierre, Français Trinh-Duc, Vincent Clerc). Mais les Nippons ne sont pas du genre à se laisser marcher dessus. James Alridge, le jeune ouvreur prodige de l'équipe du Japon contre-attaque avec deux essais inscrits presque dans la foulée (31ème, 49ème). Le XV de France mène cependant 25-18 en rentrant aux vestiaires.


La mêlée a toujours été le fort des Bleus, et ce match ne déroge pas à la règle : les Japonais se font littéralement laminer en mêlée, l'écroulant à plusieurs reprises. En revanche, au retour des vestiaires,la France peine à se remettre dans le bain. La possession est à peu près égale des deux côtés, mais durant les quinze premières minutes de cette seconde période, les Japonais nous volent carrément la vedette. Pendant quelques temps, les Bleus auront eu chaud aux plumes, et de très nombreux changements auront été opérés. Mais la France a la gniak, la France en veut toujours plus : 3 nouveaux essais sont inscrits pendant cette seconde période, par Nallet (71ème), Papé (78ème) et Parra (80ème).

C'est incroyable, mais c'est pourtant vrai : la France s'est faite une peur bleue face au Japon, et arrive tant bien que mal à décrocher le point de bonus offensif, grâce aux 6 essais marqués. Mais ce match a aussi été une nouvelle occasion de voir que Trinh-Duc est plutôt irrégulier, que Skrela a une fois de plus été médiocre, que Parra est polyvalent, que Lakafia est un grand artiste, que le jeu au pied de Yachvili est décidément un des meilleurs de l'hémisphère Nord, qu'Estebanez est un bon joueur étant sorti trop tôt pour cause de blessure, mais également que l'arbitrage n'a pas été le point fort de ce match, puisque deux essais, dont un évident, ont été refusés aux Bleus.
Il y a encore du travail, mais rien n'est perdu. Prochain rendez-vous face au Canada le samedi 18 septembre, à 10.30 !

Crédit photo : Daylife.
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