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jeudi 25 juin 2015

Les addictions du mois #26 - mai-juin 2015

Bonjour tout le monde ! On se retrouve aujourd'hui comme promis pour le #26 des Addictions qui réunira mes favoris de mai ET de juin. En effet, comme je vous l'avais dit, je n'avais vraiment pas assez de choses à vous présenter au début du mois de mai, et je ne trouvais pas très intéressant de faire un article pour 3-4 favoris à tout casser. De ce fait, j'ai préféré attendre fin juin et partager avec vous les favoris de ces deux derniers mois. Du coup, j'ai pas mal de choses dont j'aimerais vous parler : beauté, maison, musique...

LEVRES

Avec l'arrivée des beaux jours, je suis restée très sobre pour le maquillage des yeux et j'ai beaucoup aimé appliquer de la couleur sur mes lèvres. J'ai ressorti un rouge à lèvres de la gamme Velvet Mat-Satin de chez Kiko : le n°608 Apple Red qui est, malgré son nom, un rouge qui tire vaguement sur le framboise, et n'est pas particulièrement mat. Je ne l'applique pas directement au raisin de manière franche, mais plutôt en le tapotant sur les lèvres pour un résultat plus naturel et effet "lèvres mordues". (6,90€)
Au début du mois de juin, j'ai eu envie de me faire un petit plaisir et j'ai acheté un Rouge Infusion de chez Sephora en teinte 07 Strawberry Tint. Je l'aime énormément, même si je pense que vu la faible contenance, le rapport qualité-prix n'est pas dingue... L'application est très précise (et modulable selon le nombre de couches), le packaging est pratique et son format extra-fin permet de l'emporter avec soi dans ses affaires, la couleur est très jolie, très intense et parfaite avec un maquillage discret sur les yeux ou du liner pour un effet pin-up. Cependant, la tenue est plutôt correct sans pour autant être aussi merveilleuse que ce que le produit laisse croire. Après avoir bu et/ou mangé, il peut légèrement pelucher. Néanmoins, même si vous l'enlevez avec un mouchoir ou autre, il colore les lèvres, comme si elles étaient infusées, et le résultat dans ce cas-là est vraiment joli ! (12,95€)

YEUX

Comme dit précédemment, je suis restée très soft au niveau des yeux ces deux derniers mois : une ombre taupe ou crème, le creux un peu accentuée, un ras de cils réalisé avec une ombre brune et une ou deux couches de mascara. Justement, lors de promos beauté chez Leclerc, j'ai découvert le mascara The Rocket Volum' Express de Gemey Maybelline qui était à tout juste 6€ si mes souvenirs sont bons. J'en suis très contente, puisqu'il s'applique très bien (avec une brosse en silicone très proche de Volume Millions de Cils de L'Oréal), augmente le volume et la longueur et ne s'effrite pas en cours de journée. Une jolie découverte pour un prix largement abordable, c'est un mascara idéal pour les petits budgets tout de même à la recherche de qualité.
Les jours où je voulais quelque chose d'un peu plus intense pour les yeux, sans tomber dans l'outrance, j'aimais bien appliquer et flouter légèrement en ras de cils inférieurs un crayon de chez Kiko aux tons cuivrés : le Glamourous Eye Pencil n°403 Burnt Sienna Earth. Malgré son petit prix, ce fut un belle surprise : il tient toute la journée (il me semble qu'il est waterproof mais je n'en suis plus sûre), ne coule pas et n'irrite pas les yeux. Une tuerie qui ira à tous les yeux mais qui révélera encore plus les iris bleus ou verts ! (Habituellement à 4,20€ mais en ce moment en solde à 2,90€)

VISAGE

Côté visage, je n'ai pas spécialement changé ma routine, mais j'ai découvert un nouveau masque, une éponge bien pratique et des papiers matifiants parfaits pour une retouche express en journée.
Si vous me suivez sur Instagram, vous avez certainement vu une photo où je portais une immonde couche grise sur le visage. Il s'agissait en fait du masque boue purifiant matifiant au zinc et au cuivre, de chez Sephora. Parfait pour les peaux mixtes à grasses, ce masque est très agréable et vous laisse une impression de fraîcheur et de pureté. Il est dit qu'il atténue les pores et les imperfections. Bon, de ce côté là, ne vous attendez pas à des miracles, mais en tout cas, l'effet assainissant est assez probant : ma peau brille moins quand je fais ce masque. Je vous conseille de lire attentivement le mode d'emploi avant de l'utiliser, afin d'éviter de vous retrouver en statue de pierre. Cependant, ils conseillent de l'utiliser 1 à 2 fois par semaine. C'est à mon sens un peu trop fréquent et cela risquerait de déséquilibrer votre peau. 1 fois tous les 9-10 jours, c'est amplement suffisant. (13,95€)

J'ai découvert l'éponge à maquillage Beauty Blender qui permet un maquillage du teint uniforme et naturel. J'ai beaucoup apprécié la sensation lorsqu'on se maquille : bien moins agressif qu'avec un pinceau ou même les doigts. L'application est ultra simple : il suffit d'humidifier l'éponge, de disposer du fond de teint directement sur les zones de votre visage et de tapoter avec le Beauty Blender. Evidemment, l'éponge va boire de la matière, mais c'est aussi pour ça que le résultat sera plus uniforme et naturel. J'aime beaucoup ! A laver après chaque utilisation pour éviter la prolifération de vilaines bactéries. (16,90€)

Enfin, j'ai testé les papiers matifiants poudrés de chez Sephora. Rien de révolutionnaire, mais ces petits papiers rangés dans une pochette ultra-slim permettent d'estomper les éventuels points de brillances sur le front ou le nez en cours de journée. En effet, j'ai tendance à rappliquer de la poudre sur ces zones en cours de journée, mais cela accumule de la matière et ce n'est pas terrible pour la peau. Ces papiers matifiants (à la poudre incolore) permettent le même résultat sans trop obstruer votre peau, mais on peut cependant noter qu'ils sont assez petits et qu'une seule feuille peut ne pas suffire pour "éponger" le sébum. Idéal à avoir toujours sur soi, au cas où, surtout en été. (5,95€ pour 50 papiers)

ONGLES

Pour les ongles, j'ai ressorti une "vieillerie" et une nouveauté dont je voulais vous parler depuis quelques temps déjà.
Commençons par la vieillerie : il s'agit du vernis Naked d'Urban Decay, qui était contenu dans un kit du même nom réunissant 6 vernis portant des noms de la première palette Naked de la marque. J'en avais d'ailleurs parlé ICI. J'aime énormément cette couleur qui est très élégante et passe-partout et même si la tenue n'était pas exceptionnelle (2 jours environ avec un top-coat), j'ai apprécié re-porter ce vernis que j'avais quelque peu oublié, je dois l'avouer. (24€ le kit de 6 vernis)
Ensuite, côté nouveauté (qui n'en est plus réellement une, deux mois après), j'ai testé le vernis 681 Cyclamen de la gamme Perfect Gel Duo de Kiko. Ce petit kit compte un vernis coloré et un top-coat gel qui est censé garantir une tenue parfaite jusque 7 jours, et que vous pouvez utiliser sur n'importe quel vernis de n'importe quelle marque. Je suis réellement fan de la couleur que je ne possédais pas encore jusque là, mais on ne peut pas dire que la promesse soit réellement tenue. Je ne sais pas pourquoi, mais sur mes ongles la plupart des top-coat gel font "craquer" mon vernis en dessous au bout de 3-4 jours. Je ne sais pas si ce que je dis est très clair, mais pour être brève, je ne suis pas réellement conquise par le principe de ce kit. Cependant, encore une fois, la couleur est vraiment magnifique, donc c'est pour cette raison que ce vernis est dans mes favoris. (7,90€ le kit)

MAISON
Cela faisait un certain temps que je ne vous avais pas présenté de bougies. Tout récemment, j'ai testé la tartelette Wild Sea Grass de Yankee Candle qui fait partie de la collection limitée de l'été, que vous pouvez retrouver sur le site My-Candle.
Cette tartelette est un véritable coup de coeur et vient rejoindre A child's wish dans mes favoris de chez Yankee Candle. L'odeur est très douce, fraîche et printanière. Je ne sais plus quelle blogueuse a dit qu'elle trouvait que ça sentait un peu le muguet, et je suis tout à fait d'accord avec cette description. La marque décrit cette senteur comme étant "la senteur verte des herbes sauvages bercées par la brise marine sur des dunes de sables". Bon, c'est un peu tiré par les cheveux, mais l'ambiance ressentie lorsqu'on brûle cette tartelette est assez fidèle à la description de Yankee Candle. Si vous aimez l'odeur du muguet et des senteurs fraîches, foncez sans aucune hésitation ! (en ce moment à 1,53€ chez My-Candle)

MUSIQUE

Dernièrement, j'ai eu envie de revoir toute la série Breaking Bad qui est, à mon sens, une des plus grandes séries de tous les temps. Je me suis alors rendue compte que la bande-son était absolument géniale et mélangeait de nombreux styles différents. Parmi tous les sons, j'ai adoré une chanson lorsque Jessie et Walter commencent la fabrication dans le camping-car. J'ai alors dégainé Shazam et j'ai découvert Uh! de Fujiya & Miyagi qui me met instantanément de bonne humeur. La voici :


Toujours dans un style "je te mets de bonne humeur", j'ai découvert cent ans après tout le monde le groupe Weeknd avec la chanson Can't feel my face que je trouve absolument géniale, surtout son refrain. La voici :


Dans un genre beaucoup plus triste, j'ai pas mal écouté See you again, de Wiz Khalifa et Charlie Puth. Cette chanson, qui a été intégrée à la bande-son de Fast & Furious 7, a été écrite en hommage à Paul Walker, décédé tragiquement d'un accident de la route le 30 novembre 2013. Même si ce n'est pas réellement mon style musical de prédilection, je trouve cette chanson magnifique et toutes celles et ceux qui ont perdu quelqu'un s'y retrouveront complètement. Elle commence sur les phrases suivantes : "It's been a long day without you, my friend and I'll tell you all about it when I see you again. We've come a long way from where we began, oh I'll tell you all about it when I see you again".
La voici :


Enfin, je termine cet article sur un immense, un méga, un supra coup de coeur : le dernier album de Muse. Vous connaissez mon amour démesuré pour ce groupe : j'attendais avec impatience leur album Drones, j'ai dû d'ailleurs pas mal embêter mes proches avec, mais voilà, je l'ai enfin dans ma CD-thèque, et j'en suis très heureuse ! Je le trouve bien meilleur que leur avant-dernier, The 2nd Law : Drones est bien plus proche de ce que faisait le groupe à ses débuts, et j'adore. L'album tourne autour de la manipulation, de guerres et d'écologie. Les paroles sont toutes extrêmement intéressantes et le livret est magnifiquement illustré. J'aime particulièrement la pochette qui résume beaucoup l'album.
Je ne pourrais pas vous en dire plus car j'ai apprécié tous les titres, oui oui, vraiment tous. Je vous conseille donc de l'écouter au plus vite, si ce n'est pas déjà fait.

Et vous, quelles ont été vos addictions ces deux derniers mois ?

jeudi 18 juin 2015

Maquillage, société, psychologie et estime de soi

Photo d'Ines Rehberger 

Il y a peu de temps, je me suis rendue compte de la place omniprésente qu'occupe le maquillage dans notre vie. En employant le "nous", j'exagère certainement, mais je suppose que si vous êtes actuellement sur mon blog, c'est que vous vous intéressez un petit peu aux cosmétiques et au maquillage.

Mes débuts avec le maquillage

Pour la petite histoire, les produits de maquillage ont commencé à entrer dans ma vie sur le coup de mes 14 ans. Rien d'extraordinaire : juste un peu de fard à paupière gris ou brun, et du mascara. Largement raisonnable, en somme. Puis j'ai commencé à avoir de l'acné vers 15-16 ans, donc plutôt tardivement par rapport à l'âge "classique", et je me suis mise à la conquête du monde cosméto, à la recherche d'un produit miracle qui soignerait et éradiquerait mes boutons en un temps record. Soyons honnêtes et lucides : ce produit n'existe pas. (Mais si le thème vous intéresse, vous pouvez toujours (re)lire CE post). De ce fait, j'ai voulu cacher la misère : j'ai donc testé plusieurs fonds de teint et BB crèmes.

Puis, au début de ma 1ère, j'ai ouvert mon blog (donc à un peu plus de 16 ans). Bien qu'initialement consacré au sport et à l'actualité, je me suis très vite réorientée vers les cosmétiques et produits de beauté en tout genre (et actuellement, je retourne tranquillement vers l'aspect actu/culture, comme vous avez pu le voir). Et là, forcément, j'ai été prise d'une fièvre acheteuse : en plus d'être très souvent influencée par les blogs des copines, j'ai acheté et testé de nombreuses choses pour pouvoir vous en parler et vous donner un avis. Dans certains cas, j'ai fait de jolies découvertes (par exemple l'Antiblemish Solution de Clinique ou le SuperStay Better Skin de Gemey Maybelline), dans d'autres, ce fut la catastrophe (le ColorStay de Revlon, par exemple).


Over-consommation

Dernièrement, j'ai essayé de faire une grossière estimation de mon budget moyen annuel de cosmétique (tout confondu : mascara, ombres, rouges à lèvres, fonds de teint, poudres, crayons, etc.). Forcément, je n'ai pas de montant exact, mais je suis persuadée qu'il est très élevé. C'en est indécent. Oui, oui.
Evidemment, je ne peux pas mettre la cause de mes achats sur le dos de mon blog et de celui des autres blogueuses, mais je pense sincèrement que nous vivons actuellement l'apogée des blogs/chaînes Youtube beauté et que ceci n'est pas sans conséquence sur nos habitudes de consommation. Je m'explique. Avant de vraiment m'intéresser aux blogs, je possédais un fond de teint, une poudre, un mascara, un blush et 2-3 fards à paupière et produits lèvres. Ce qui, en soit, est largement suffisant pour la vie de tous les jours. Regarder les collections des autres donne envie, et il m'est parfois arrivé d'acheter des produits que je n'ai presque jamais utilisés. Il n'y a pas que les blogs : il y a aussi Instagram ou les magazines féminins : les tentations sont partout, et les enseignes nous poussent également à consommer (codes promo, chèques cadeaux, coupons de réductions, etc.).

We Heart It
Depuis plusieurs mois maintenant, au moins 6 mois, je n'achète presque plus de maquillage : j'utilise ce que j'ai déjà. Evidemment, cela ne veut pas dire que je m'empêche de craquer une fois par mois pour un rouge à lèvres ou un nouveau fond de teint, mais je ne fais plus de craquage inutile. Je possède des dizaines de palettes, alors que finalement, j'utilise souvent les 3-4 mêmes. C'est la même chose pour les rouges à lèvres.
Du coup, je ne rachète que lorsque j'en ai réellement besoin : quand j'ai fini un produit qui m'est "indispensable", comme mon mascara ou mon fond de teint.
Je ne prétends pas avoir la science infuse, mais je pense que cette technique pourrait être bénéfique pour toutes, que vous soyez blogueuse ou non. Et dites-vous que le prix d'un rouge à lèvres finalement reposé avant d'aller à la caisse peut être une somme à garder pour d'autres loisirs : une soirée en terrasse avec des amis, un livre, un magazine, etc.


Ma relation avec le maquillage

D'un point de vue strictement personnel, je pense être incapable de sortir sans être maquillée. Pour certaines personnes, cela doit paraître d'une idiotie et d'une superficialité sans nom, mais je l'admets : je n'imagine même pas le fait de sortir sans avoir au moins appliqué une BB crème ou du fond de teint. Autant, je peux tout à faire sortir sans maquillage des yeux ou des lèvres, mais étant très complexée par ma peau, l'étape du teint est indispensable dans mon cas.
Rares sont les personnes devant qui j'ose me montrer peau-nue.
Mais justement, avec du recul, je me rends compte que ce besoin, qui n'en est pas du tout un au sens strict, est vraiment ridicule.

Nous faisons toutes et tous des fixettes sur nos complexes. C'est humain, nous sommes tous comme ça. Que ce soit pour notre poids, notre taille, notre peau ou n'importe quelle chose que nous n'aimons pas chez nous, nous nous focalisons dessus et nous interdisons donc finalement de vivre. Par exemple, à titre personnel, j'ai l'impression que si je sors démaquillée, tout le monde va regarder ma peau et me trouver hideuse. C'est peut-être le cas, mais finalement, qu'est-ce que ça peut faire ? Je sais que certains vont trouver cela bien facile à dire, oui, mais vous êtes la personne que vous êtes, que ça vous plaise ou non, et que ça plaise ou non aux gens qui vous entourent. Ce n'est pas en vous cachant des autres, et donc en vous cachant de vous même, finalement, que vous allez changer. Vous avez des grosses fesses ? Ce n'est pas en portant des tuniques larges que vous allez les faire disparaître. Vous voyez ce que je veux dire ? Finalement, il faudrait mettre le paquet sur autre chose. Et c'est de cette façon que j'adore utiliser le maquillage.

Photo d'Ines Rehberger
Comme je vous l'ai dit, je déteste ma peau. J'ai vraiment une relation de haine avec elle : je la déteste, et donc je me déteste, puisque cette peau m'appartient ! Mais je ne peux rien faire : malgré de nombreux traitements locaux et antibiotiques, mon acné modérée est toujours là. Du coup, je maquille mon visage, tous les jours où je sors, avec du fond de teint. Evidemment, il est inutile de vous dire qu'un fond de teint n'est jamais 100% efficace et jamais 100% couvrant. Il est donc logique que l'aspect irrégulier (et moche...) de ma peau soit toujours visible, il n'y a rien de plus à faire. Mais comme j'aime assez mes yeux, je mets le paquet là-dessus. J'adore me maquiller les yeux ! Et forcément, si le maquillage de mes yeux est réussi, je pense que les regards sont plus attiré par mes yeux que par ma peau. Finalement, tout est une question d'équilibre.

Le maquillage est donc un moyen pour moi de mieux accepter la personne que je suis, et à avoir plus confiance en moi. Je ne sais pas réellement pourquoi, mais quand je suis dehors et que je ne suis pas maquillée, je me sens vulnérable. Comme si le maquillage était un masque permettant finalement de cacher les choses dont je pourrais avoir honte.
Si le maquillage est un moyen de booster sa confiance en soi, il ne doit surtout pas devenir indispensable à un bon équilibre psychologique. Encore une fois, c'est plus facile à faire qu'à vivre, mais les filles, ne laissez jamais le maquillage devenir une condition sine qua non à votre existence, jamais !
Ne pas avoir la capacité psychologique de sortir sans maquillage est terriblement handicapant. Je m'en suis rendue compte il y a très peu, et il va falloir que je fasse un gros travail sur moi-même pour pouvoir surpasser tout cela. L'été est justement un bon moyen de faire une transition : la chaleur ne fait pas toujours bon ménage avec le maquillage, et il est plus agréable de sortir sans. De plus, le soleil résorbe les boutons (même s'il existe un effet rebond bien sympa vers septembre-octobre....!) donc les complexes s'atténuent un peu.


Prenons exemple sur nos amis les hommes

Bien que certains hommes se maquillent de temps en temps (anticernes et crèmes teintées), il faut avouer que c'est une pratique encore plutôt rare.
Et pourtant, les hommes aussi ont des petits défauts cutanés : petits boutons, acné, irrégularités de la peau, etc. et pourtant, ils ne pètent pas des câbles à l'idée de sortir malgré un joli spot qui a fait son apparition dans la nuit.

Photo d'Ines Rehberger
Alors qu'est-ce qui change, d'un point de vue purement psychologique, du sexe à l'autre ? Finalement, pourquoi, nous les filles, devrions-nous avoir honte d'avoir des boutons visibles ? En fait, il n'y a pas réellement de raison, c'est plutôt dans l'inconscient : puisque le maquillage existe et qu'il a été créé pour les femmes, il est quasiment "normal" qu'une femme camoufle le moindre de ses défauts. Oui, c'est injuste, mais ça fait partie des diktats...
Cependant, rien ni personne ne nous oblige à nous maquiller tous les jours, à camoufler le moindre bouton, à toujours avoir de longs cils noirs, etc. Imitons nos amis les hommes !

J'admire ces femmes qui, soit s'assument naturellement, soit sont déjà magnifiques sans maquillage. Mais dans tous les cas, nous devons absolument essayer de prendre du recul sur la question du maquillage dans notre vie pour enfin arrêter d'obéir aux diktats de la vie féminine.

Et vous, quelle place occupe le maquillage dans votre vie ?
Sortez-vous sans maquillage ?
Si vous ne deviez garder qu'un type de produit, lequel serait-ce ?

vendredi 12 juin 2015

7 semaines, plusieurs livres #6

Bonjour à toutes et à tous ! Avec un petit peu d'avance, je viens vous présenter les livres lus du 4 mai au 15 juin 2015, dans le #6 de 7 semaines, plusieurs livres.
En effet, je prends un peu d'avance, car je sais que le livre que j'ai commencé ne sera pas terminé d'ici le 15, donc autant partager tout cela avec vous dès maintenant. Ces 7 dernières semaines, j'ai lu 7 livres, et je n'ai malheureusement eu aucun coup de coeur mais... une déception ! Je vous laisse découvrir tout cela.
NB : les livres ne sont pas classés par ordre de préférence, de longueur ou alphabétique, mais tout simplement par ordre chronologique de lecture.

* L'Enfant des cimetières, de Sire Cédric

Résumé de l'éditeur : Un fossoyeur vivant près d'un cimetière est pris d'une folie hallucinatoire et tue toute sa famille avec un fusil à pompe avant de se suicider. Un adolescent, se croyant poursuivi par des ombres, menace de son arme les occupants d'un hôpital et tue Kristel, une artiste peintre. Plongé dans cette épidémie meurtrière, David, photojournaliste et compagnon de Kristel, décide de mener l'enquête. Avec l'aide d'Aurore, une jeune collègue ambitieuse, et du commandant de police Vauvert, ils vont être bientôt confrontés à l'inimaginable. Meurtres sordides et suicides pour le moins étranges s'enchaînent sous les yeux terrifiés des trois enquêteurs. Nathaniel, aussi insaisissable que maléfique, n'est pas un jeune homme ordinaire... L'enfant des cimetières prend un plaisir manifeste à tuer, à prolonger l'agonie douloureuse de ses victimes. Homme ou démon ? David, qui n'a plus rien à perdre, est prêt à tout pour venger Kristel, quitte à suivre Nathaniel jusqu'en enfer.
(534 pages)

J'ai beaucoup apprécié le style de Sire Cédric : une écriture assez "brute", des phrases courtes mais assez acerbes et surtout un certain don pour vous mettre dans le doute, vous méfier de n'importe quel personnage et de réussir à vous faire croire à des choses complètement invraisemblables. La trame est absolument fantastique ; en effet, la légende de l'enfant des cimetières existe réellement, et Sire Cédric a réussi à monter autour une intrigue de thriller.
Je me suis très vite attachée au personnage de David qui oscille entre le désespoir, son dévouement à Kristel, sa crainte mais aussi presque sa fascination vis-à-vis de ce fameux enfant. Un très beau personnage dont le caractère m'a parfois fait penser à un de mes amis. Peut-être aussi pour cela que je me suis aussi vite attachée à ce personnage...
J'ai également été très charmée par le style gothico-surnaturel de l'intrigue et de l'écriture de Sire Cédric.
D'un point de vue rhétorique, cet auteur est fantastique. Cependant, je dois avouer que j'ai été quelque peu déçue par la fin... J'ai tellement aimé tout le livre que cette fin m'a un peu laissée... sur ma faim, justement. Mais outre cela, j'ai beaucoup aimé ce livre. Je pense relire très vite d'autres oeuvres de cet auteur qui m'a tout l'air d'être la relève du thriller/thriller horrifique français.


* Version Beta, tome 1, de Rachel Cohn

Résumé de l'éditeur : Née à seize ans, Elysia a été créée en laboratoire. Elle est une version BETA, un sublime modèle expérimental de clone adolescent, une parfaite coquille vide sans âme.
La mission d Elysia : servir les habitants de Demesne, une île paradisiaque réservée aux plus grandes fortunes de la planète. Les paysages enchanteurs y ont été entièrement façonnés pour atteindre la perfection tropicale. L'air même y agit tel un euphorisant, contre lequel seuls les serviteurs de l'île sont immunisés. Mais lorsqu elle est achetée par un couple, Elysia découvre bientôt que ce petit monde sans contraintes a corrompu les milliardaires. Et quand elle devient objet de désir, elle soupçonne que les versions BETA ne sont pas si parfaites : conçue pour être insensible, Elysia commence en effet à éprouver des émotions violentes. Si quelqu'un s'aperçoit de son défaut, elle risque pire que la mort.
(432 pages)

Ce roman Young-Adult m'a beaucoup fait pensé à la série suédoise Real Humans. Bien que le style était parfois un peu trop bateau et léger à mon goût, ce livre a été une bonne lecture. Les idées abordées sont très intéressantes, notamment celle de la conscience des robots, ainsi que de leurs droits au sein d'une société futuriste. Cependant, justement, je trouve que l'auteure n'est pas allée assez loin sur certains sujets qui sont dignes de questions philosophiques. Néanmoins, il est vrai que ce roman est destiné aux jeunes adultes (dès 14 ans, je pense), donc l'auteure a peut-être eu peur de faire fuir son public... Effrayant par son réalisme dans une société où tout, ou presque, est robotisé, plaisant par sa petite histoire d'amour, Version Beta est un bon premier tome.
La fin est finement menée, et je peux vous garantir que je compte lire les autres tomes très rapidement. D'après internet, la saga sera d'ici peu adaptée au cinéma par le réalisateur du deuxième Twilight.


* Conscience animale, de Franck Thilliez

Résumé de l'éditeur : Et si se terrait en chacun de nous une animalité sanguinaire ? Et s'il était possible par un sacrifice bien mené de la réveiller ? Et si un homme avait précisément en tête d'user de ce savoir secret pour mettre en place une gigantesque entreprise assassine ? C'est dans le tourbillon de tous ces " si " que vont être aspirés Warren, père de famille presque ordinaire, Sharko, inspecteur tenace et téméraire, Moulin, jeune recrue faisant ses premières armes, et Neil, linguiste pour le moins singulier. Nouant leur destin dans une enquête balisée par le sang et la cruauté, ils devront affronter l'impensable pour réaliser l'impossible. Mais quel sera le coût de cet impossible ?
(310 pages)

Je suis une grande fan de Franck Thilliez. J'aime son univers, sa plume, ses intrigues, et son côté complètement psychopathe malgré un physique d'ange. Cependant, Conscience animale a été ma déception de ces 7 semaines. Non pas que ce roman soit mauvais, mais je le trouve bien en-deçà de ce à quoi j'ai été habituée par Thilliez. J'avoue ne pas avoir reconnu le style de Thilliez. Ce livre est son premier roman publié (en 2002), et bien que l'histoire soit horriblement exceptionnelle, je dois avouer que je préfère la plume thilliezienne actuelle.
Je n'ai pas spécialement accroché à ce roman, je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, mais je ne l'ai pas abandonné, car je voulais absolument connaître la fin.
Je ne conseille pas spécialement Conscience animale, et si vous ne connaissez pas l'auteur et qu'il vous tente, je vous conseille chaudement La Forêt des ombres (celui avec lequel j'ai découvert cet auteur, qui est du grand, grand art) ou L'Anneau de Moebius.


* Si je reste, de Gayle Forman

Résumé de l'éditeur : Mia a 17 ans. Un petit ami, rock star en herbe. Des parents excentriques. Des copains précieux. Un petit frère craquant. Beaucoup de talent et la vie devant elle.Quand, un jour, tout s'arrête. Tous ses rêves, ses projets, ses amours. Là, dans un fossé, au bord de la route. Un banal accident de voiture... Comme détaché, son esprit contemple son propre corps, brisé. Mia voit tout, entend tout. Transportée à l'hôpital, elle assiste à la ronde de ses proches, aux diagnostics des médecins. Entre rires et larmes, elle revoit sa vie d'avant, imagine sa vie d'après. Sortir du coma, d'accord, mais à quoi bon ? Partir, revenir ? Si je reste...
(186 pages)

J'ai beaucoup entendu parler de ce livre, et je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrivais pas réellement à passer le pas. En fait, j'en ai tellement entendu parler, justement, que j'avais peur de ne pas accrocher. Si je reste est une jolie oeuvre. Ce court livre est une véritable ode à la vie et à l'optimisme, malgré un thème principal triste et incertain : un état entre la vie et la mort, lorsque la jeune Mia tombe dans le coma. Tout comme l'avait fait John Green avec Nos Etoiles Contraires, j'admire cette capacité de parler de la mort sans pour autant tomber dans une simple exploitation de la souffrance physique et morale. J'ai beaucoup pleuré, mais en y repensant, je pense finalement que mes larmes étaient de "bonnes larmes", des larmes positives.
L'écriture est simplissime, mais c'est justement ce qui est beau. Je le conseille à tout le monde, que vous soyez une fille ou un garçon, que vous soyez un(e) ado ou un(e) adulte.


* Bel-Ami, de Guy de Maupassant

Résumé de l'éditeur : Georges Duroy, dit Bel-Ami, est un jeune homme au physique avantageux. Le hasard d'une rencontre le met sur la voie de l'ascension sociale. Malgré sa vulgarité et son ignorance, cet arriviste parvient au sommet par l'intermédiaire de ses maîtresses et du journalisme. Cinq héroïnes vont tour à tour l'initier aux mystères du métier, aux secrets de la mondanité et lui assurer la réussite qu'il espère. Dans cette société parisienne en pleine expansion capitaliste et coloniale, que Maupassant dénonce avec force parce qu'il la connaît bien, les femmes éduquent, conseillent, œuvrent dans l'ombre. La presse, la politique, la finance s'entremêlent. Mais derrière les combines politiques et financières, l'érotisme intéressé, la mort est là qui veille, et avec elle, l'angoisse que chacun porte au fond de lui-même.
(408 pages)

Malgré mon goût pour la lecture, je n'avais jamais lu le chef-d'oeuvre qu'est Bel-Ami de Guy de Maupassant. Et ce fut une magnifique découverte ! Maupassant a ce pouvoir assez dingue d'écrire une histoire intemporelle et même très moderne. Evidemment, le niveau de langue et celui d'un auteur du XIXème siècle, mais le thème principal est terriblement contemporain : un jeune homme plein d'ambition, prêt à tout pour se hisser en haut de l'échelle sociale, quitte à mettre de côté des valeurs fondamentales.
Chaque personnage est intéressant et apporte quelque chose d'important à l'histoire : la légèreté de Clotilde de Marelle, le pessimisme de Norbert de Varenne,... Le portrait de Georges Duroy est si finement brossé que Maupassant arrive à vous le faire adorer un instant, et détester quelques lignes plus tard. Il est vaniteux, naïf, impitoyable avec les femmes, séducteur mais le pire, c'est qu'on en arrive tout de même à l'apprécier.

Malgré son étiquette "classique" qui peut en rebuter plus d'un, Bel-Ami est une lecture très fluide qui nous expose avec cynisme, mais réalisme, l'idée de l'ascension sociale au XIXème siècle. Cependant, l'histoire pourrait être retranscrite à n'importe quelle époque, même de nos jours, et garderait sa justesse.
Bel-Ami est une donc une magnifique oeuvre que je conseille à toutes et à tous, et notamment si vous êtes encore au lycée. Pour l'histoire, certes, mais aussi pour la plume délicieuse de Guy de Maupassant.


* La Belle et la Bête, et autres contes, de Madame Leprince de Beaumont

Résumé de l'éditeur : Ce recueil rassemble les contes les plus célèbres de Mme Leprince de Beaumont. Ces histoires nous ouvrent les portes d'un univers plein de fantaisie et de merveilles insoupçonnées, que petits et grands visitent avec délice pour leur édification.
(80 pages)

Le Disney La Belle et la Bête fait partie de mes préférés. Cependant, j'ai eu envie de lire la véritable histoire qui, en réalité, est plutôt courte : à peine 12 pages. J'ai donc ensuite enchaîné avec les 9 autres contes proposés par l'édition Librio.
J'avoue que je ne connaissais pas du tout Madame Leprince de Beaumont, pas même de nom, mais j'ai adoré son style. Chacun de ses contes est plutôt court, mais très incisif à mon sens.

Pour être plus précise, Madame Leprince de Beaumont amorce ses contes avec un trait de caractère de l'espèce humaine que nous possédons toutes et tous, mais chacun à des degrés différents : la vanité, la curiosité, la cupidité, etc. Puis, à partir de ces défauts, l'auteure invente une histoire qui se termine, évidemment, par une morale. L'écriture est plutôt soutenue (XVIIIème siècle), mais largement surmontable, ce qui fait que ce recueil est abordable pour toutes les catégories de lecteurs.
Bien loin des clichés, j'ai trouvé que les morales étaient particulièrement intéressantes et amenaient à réfléchir. J'ai adoré le style, qui est beaucoup plus caustique que celui d'autres conteurs (Andersen, par exemple).

De ce recueil, j'ai surtout aimé La Belle et la Bête ; Belote et Laidronette ; La Curiosité et Le Prince Fatal et le Prince Fortuné. Je pense essayer de trouver d'autres recueils et d'autres écrits de cette auteure que j'ai beaucoup appréciée.


* La Face cachée de Margo, de John Green

Résumé de l'éditeur : Mar-go-Roth-Spie-gel-man, le nom aux six syllabes qui fait fantasmer Quentin depuis toujours. Alors forcément, quand elle s'introduit dans sa chambre, une nuit, par la fenêtre ouverte, pour l'entraîner dans une expédition vengeresse, il la suit.Mais au lendemain de leur folle nuit blanche, Margo ne se présente pas au lycée, elle a disparu.Quentin saura-t-il décrypter les indices qu'elle lui a laissés pour la retrouver ? Plus il s'en approche, plus Margo semble lui échapper...
(400 pages)

Avant même de vous parler de mon avis, positif, quant à ce roman, j'aimerais partager avec vous une immense incompréhension vis-à-vis des éditions et/ou des traductions françaises. En effet, le titre original de ce livre est Paper Towns ; après avoir fini ce roman, je me suis dit que le titre original avait un très joli sens par rapport à l'histoire, mais aussi à sa fin. Alors sincèrement, je me demande qui a eu l'idée de nommer ce roman La Face cachée de Margo, et non de : soit garder le titre en Anglais, soit le traduire tout simplement par "Les Villes de papier", ou autre. Mais peu importe...

Pour ce qui est du roman, je l'avais depuis pas mal de temps sur ma liseuse, mais je n'avais pas spécialement envie. Pourquoi ? Peut-être à cause du titre, justement, qui fait très roman pour ado. Puis, j'ai découvert sur le compte instagram de John Green, l'auteur, que le film du livre allait sortir dans peu de temps en France (le 12 août). J'ai une confiance absolue en les livres de John Green depuis que j'ai lu Nos Etoiles Contraires. De plus, l'auteur était présent sur le tournage des deux adaptations : ce qui fait que, normalement, les adaptations sont fidèles aux livres, ou du moins à l'idée que voulait transmettre John Green. Bref, comme j'ai très envie d'aller voir le film en août, je me suis dit qu'il fallait absolument que je le lis d'ici là.

Je n'ai pas du tout été déçue. Fidèle à lui-même, John Green parvient à mêler simplicité, amour, humour et poésie. Je me suis immédiatement attachée à Quentin, joué par Nat Wolff dans le film (celui qui jouait Isaac dans Nos Etoiles Contraires) et j'ai été très intriguée par Margo.
Il est très difficile d'évoquer sans livre sans trop en dire, puisque c'est une oeuvre qui doit être lue sans à priori, sans indices, sans arrière-pensées. J'ai beaucoup apprécié également que le personnage principal soit un garçon : ce n'est pas si courant que ça dans ce type de romans.

Rien que pour la fin et pour la plume de John Green, je conseille chaudement ce roman dont le dénouement ne pourra pas vous laisser de marbre.

Si vous avez des lectures à me conseiller, n'hésitez surtout pas !

Et vous, qu'avez-vous lu dernièrement ?

dimanche 7 juin 2015

Printic imprime vos plus beaux souvenirs

Photo issue de mon compte Instagram : @ArianePadawan

Instagram est certainement mon réseau social préféré. J'y suis inscrite depuis 2 ans environ, et il m'arrive parler de ne pas publier pendant plusieurs jours, mais il est à mon sens le réseau social le plus complet et le plus adapté à la vie quotidienne. Je suis de nombreux comptes : musique, art, voyage, gastronomie, blogueuses, etc et consulter Instagram est une jolie pause visuelle. Si vous me suivez dessus (@ArianePadawan), vous savez certainement que je partage des choses diverses et variées : d'un produit coup de coeur à un joli paysage, en passant par mes lectures. J'aime également y publier quelques photos de mes plus beaux moments passés avec mes amis.

Mais justement, à l'heure du numérique, j'ai remarqué que nous n'imprimons presque plus nos photos. C'est simple, je pense que depuis que j'ai eu mon premier appareil photo numérique (vers 12-13 ans), j'ai dû faire développer (je ne sais pas si, de ce fait, le terme est toujours adéquat) qu'une trentaine de photos. C'est dommage ! Je m'en suis rendue compte il y a peu, mais posséder une version papier de ses plus beaux clichés est quelque chose de réellement plaisant. Accrochées sur un mur, ou simplement rangées dans un album, les photos nous permettent de nous replonger dans nos moments passés. Je n'ai pas spécialement de talent pour la photographie, mais j'adore regarder les clichés de celles et ceux qui savent s'y prendre. Cependant, qu'elles soient belles ou non d'un point de vue artistique, je désirais avoir en main quelques-unes de mes photos Instagram.
Je me suis donc renseignée sur le net sur les différents sites qui permettent d'imprimer, pour un prix raisonnable et une bonne qualité de papier, des photos Instagram. Après quelques recherches, j'ai opté pour Printic qui est réputé pour son professionnalisme et son prix largement abordable. Ayant reçu récemment mes photos, et étant très contente du service proposé, j'ai voulu vous parler un peu plus en détail de Printic.

Le principe

Photo issue du site de Printic
Printic existe depuis 2013 et est notamment réputé pour les impressions de photos Instagram en format polaroïd, ce qui est parfait pour la dimension carrée des photos de ce réseau social. Cependant, il est également possible d'imprimer dans ce format des photos de Facebook, de Dropbox ou de votre galerie personnelle.
En plus de ce format au charme vintage (8x10cm), vous pouvez également imprimer vos photos en format poster (50x70cm), dans des livres-photo (18x18cm) ou des calendriers.
Les prix vont de 0,39€ le tirage à 24,90€ le poster. Quoi que vous demandiez, la livraison est gratuite, ce qui est un très bon point. Les tirages à l'unité sont livrés dans une enveloppe orange (aux couleurs de la marque) ; les boxs-photo (dont je vous parlerai ensuite), les posters et les calendriers sont quant à eux livrés dans une boîte rigide orange.

Une utilisation simplissime

Pour créer ce que vous voulez recevoir, tout se fait via votre téléphone portable. Il vous suffit de télécharger gratuitement l'application et de suivre les instructions. Il vous faudra ensuite vous faire un compte (avec une adresse mail ou via Facebook) et éventuellement connecter vos comptes sur les réseaux desquels vous voulez exploiter vos photos. Choisissez votre format, vos photos et le tour est joué. Comme de plus en plus de services en ligne, Printic propose la possibilité de payer avec un compte PayPal, ce que j'ai fait. L'application et son moyen de paiement sont très sûrs, et Printic ne garde à aucun moment en mémoire vos coordonnées bancaires ou PayPal.

Mon test : la box-photo

Pour 19,90€ et la livraison gratuite, Printic propose le tirage de 50 photos en format polaroïd (8x10cm) : la box-photo. Si vous faîtes le calcul, les 50 tirages à l'unité reviendraient à 19,50€, mais je suppose que les 0,40€ supplémentaire dans la box-photo sont à attribuer à la boîte. Pour ma part, j'ai choisi ce service là, car je trouve le principe de tout recevoir dans une petite boîte assez sympa. Elle permet, si vous n'affichez pas vos photos, de les protéger de la poussière et de l'humidité, contrairement à une simple enveloppe.
Dans le cas de la box-photo, votre commande est livrée dans une enveloppe-bulle et aucune signature au facteur/livreur n'est requise.

Quelques-uns de mes tirages, avec ma Wilko superstar !
J'ai effectué ma commande un vendredi soir et j'ai été livrée le jeudi. J'ai trouvé le délai un peu long, sachant que Printic France est basé pas très loin de chez moi (en tout cas, selon ce que disait l'enveloppe-bulle). Cependant, je suis si satisfaite du résultat que j'ai vite fait l'impasse sur le délai de livraison.
Les photos sont toutes de très bonne qualité, imprimées sur du papier argentique Fuji Crystal Archive. Bien évidemment, la qualité de votre impression dépend forcément de la qualité initiale de votre photo. J'ai par exemple fait imprimer des photos issues de Snapchat (publiée ensuite par mes soins sur Instagram), et elles sont forcément de moins bonne qualité d'impression que des photos réalisées avec mon appareil photo, mais rien de dramatique.
Le papier photo est assez épais et permet donc d'accrocher ses photos avec du scotch ou de la patafix sans abîmer la matière.

La fameuse box orange (vous avez vu, il est joli mon vernis ! C'est le Naked, d'Urban Decay)
D'une manière générale, je suis donc conquise par Printic qui remplit sa mission comme promis sur leur site internet et leur application.
Je sais qu'à l'heure où je publie cet article, la fête des mères et la fête des pères sont passées, mais je trouve que pour un cadeaux, les impressions Printic sont vraiment de chouettes idées pour faire plaisir à ceux que vous aimez.

Les + :
- le prix, largement abordable
- la qualité d'impression
- la possibilité d'imprimer via son compte Instagram/Facebook sans avoir à télécharger sur son portable toutes les photos à imprimer
- la petite boîte orange
- la livraison gratuite
- bonne idée de cadeau à un prix raisonnable

Les - :
- le délai de livraison (minimum 4-5 jours ouvrés)
- le format unique proposé pour la confection de calendrier

/!\ Cet article n'est en aucun cas sponsorisé : je ne suis pas partenaire avec Printic. La commande a été faite à mon initiative et payée par mes soins ; je ne suis pas payée par Printic pour cet article /!\

Et vous, imprimez-vous vos photos numériques et/ou Instagram ? Avez-vous testé d'autres applications et sites d'impression ?

mercredi 3 juin 2015

Du livre au film - #1

Bonjour, bonsoir ! Je vous avais parlé récemment de mon souhait d'ouvrir une nouvelle rubrique dans laquelle je ferai une comparaison entre un livre et son adaptation cinématographique, puisque je suis une dévoreuse de livres et une grande amatrice de cinéma. Les quelques retours quant à cette idée ont été, dans la majeur partie, positifs. De ce fait, je commence dès aujourd'hui cette nouvelle rubrique qui s'appellera, sans aucune originalité, Du livre au film. (Avec pour ce #1, une illustration-référence à ces univers que j'aime)

Pour ce premier volet, j'aurais pu choisir de véritables monuments de la littérature et du cinéma, tels que Le Seigneur des Anneaux, par exemple. J'y viendrai bien évidemment à un moment ou un autre, mais je suppose que vous avez déjà lu des centaines d'avis concernant cette oeuvre. Et bien que je sois une grande admiratrice de Tolkien, je préfère commencer avec un autre ouvrage : La Couleur des sentiments (The Help, en version originale), de Kathryn Stockett.


LE LIVRE

En 2009, La Couleur des sentiments est le premier livre que publie Kathryn Stockett, auteure américaine aujourd'hui âgée de 49 ans. En environ 500 pages, Stockett nous replonge dans l'Amérique profonde de 1962 : on suit Aibileen, une bonne employée chez une riche famille de blancs après le renvoi de son amie Minny à la langue bien pendue et l'insolence assumée. Mais au sein de cette famille, Aibileen va se lier d'amitié avec Skeeter Phelan, jeune bourgeoise.

En France, La Couleur des sentiments est disponible chez les éditeurs Jacqueline Chambon (en relié) et chez Actes Sud (en broché). Je partage avec vous le résumé de chez Actes Sud : "Jackson, Mississippi, 1962. Dans quelques mois, Martin Luther King marchera sur Washington pour défendre les droits civiques. Mais dans le Sud, toutes les familles blanches ont encore une bonne noire, qui a le droit de s'occuper des enfants mais pas d'utiliser les toilettes de la maison. Quand deux domestiques, aidées par une journaliste, décident de raconter leur vie au service des Blancs dans un livre, elles ne se doutent pas que la petite histoire s'apprête à rejoindre la grande, et que leur vie ne sera plus jamais la même. Grand prix des lectrices de Elle 2011 et prix des lycéennes de Elle 2011."

Ce livre ne peut, et ne doit, laisser personne indifférent. Tout d'abord car ce que relate ici Kathryn Stockett est réel, bien qu'elle ait totalement inventé les personnages. La ségrégation est certainement une des époques les plus sombres (la plus sombre ?) de l'Histoire des Etats-Unis. Les années 1960 étaient marquées par une période de racisme intolérable durant laquelle votre couleur de peau dictait votre fonction sociale, quels objets vous aviez le droit de toucher et de ne pas toucher, quels lieux vous aviez le droit de fréquenter ou de ne pas fréquenter, etc. De nos jours, cela nous semble inconcevable, mais il suffit de se dire que les années 60, ce n'était il n'y a pas si longtemps que ça. Rendez-vous compte qu'il y a à peine un demi-siècle, vous pouviez vous faire abattre en pleine rue sous prétexte d'avoir été épinglé "gens de couleur" ? Venant d'un pays qui, depuis sa création, n'a de cesse de donner des leçons au monde entier, je trouve cela cruellement cynique et ironique ; mais passons.

Outre le sujet et le contexte socio-historique, on est forcément frappé par le ton d'écriture en lisant ce roman. Malgré un thème particulièrement révoltant, Kathryn Stockett parvient à nous faire rire. Je pense notamment au fameux passage de la "chose abominable épouvantable" dont les personnes qui ont lu/vu La Couleur des Sentiments se souviennent forcément !
On rit des réactions de certaines "bonnes" (oui, ça me gène d'écrire ce thème), notamment de Minny qui est un personnage dont l'insolence, l'insoumission, et donc d'une certaine manière le cran et le courage, nous partagent entre sourire et admiration. Nous connaissons toutes et tous l'exemple de Rosa Parks qui devient, en décembre 1955, un symbole de la lutte contre la ségrégation raciale, mais connaissons-nous tous les cas de rébellion dans les petites villes reculées du fin-fond des Etats-Unis ?
La Couleur des Sentiments est, en plus d'un hommage aux rébellions lors de la ségrégation raciale, un portrait fortement sarcastique des riches familles américaines des années 60 : alors qu'elles exploitent les femmes noires, mais aussi les hommes, ne l'oublions pas, elles s'efforcent de récolter des fonds pour des aides humanitaires en Afrique... Cherchez l'erreur !

Cependant, rassurez-vous, ce livre n'est pas un simple essai manichéen dans le style "les blancs sont les méchants, les noirs les gentils", puisque Stockett a inventé une sublime histoire d'amitié entre Aibileen et Skeeter. Derrière le portrait de cette cruauté se cache une belle histoire.
Un livre magistral qui pourrait être étudié en cours d'Anglais, en plus des discours de Martin Luther King ou des actions de Malcolm X.


LE FILM

L'adaptation cinématographique de La Couleur des Sentiments (ou The Help) s'est faite très rapidement après sa sortie littéraire : Tate Taylor, d'ailleurs originaire du Mississippi, sort en 2011 son adaptation de 2h26 avec notamment Viola Davis (Aibileen Clark), Emma Stone (Skeeter Phelan), Jessica Chastain (Celia) et Octavia Spencer (Minny Jackson).

Je ne compte pas vous faire languir longtemps quant à mon avis sur ce film : je l'ai trouvé très réussi. On pleure, on rit, exactement comme avec le roman. Tate Taylor a réussi à retranscrire à merveille les ambiances du livre, tout en y ajoutant un dynamisme supplémentaire. Le casting est exemplaire, notamment Viola Davis (Aibileen) dont la performance était à couper le souffle. Le film a d'ailleurs reçu 9 récompenses et avait été nommé dans 27 catégories, entre autres aux Oscars 2012, au Festival du cinéma américain de Deauville en 2011 ou encore aux Golden Globes 2012.

L'ambiance créée, tant par les décors, les costumes ou la musique, était exactement celle que j'imaginais en lisant le roman. Cependant, je pourrais déplorer quelques évictions de passages savoureux (tant sur l'émotion que le message) ou encore quelques passages un peu édulcorés par rapport à leurs homologues littéraires. Je pense notamment au passage où le Ku Klux Klan vient faire un "petit tour" à Jackson, Mississippi. La scène était bien présente dans le film, mais je l'ai trouvée bien moins effrayante et frappante que dans la version littéraire.
Tate Taylor a certainement voulu, à mon sens, rendre le film un peu plus "grand public", en délaissant quelques passages jugés choquants, ou en les édulcorant.


FINALEMENT...

Vous l'avez sûrement compris en me lisant, je suis tombée sous le charme de cette oeuvre qui est selon moi un livre à avoir absolument lu si l'on s'intéresse à l'Histoire des Etats-Unis, ou l'Histoire en général. Il est un devoir de connaître cette période et les actes déplorables des "citoyens américains", aussi sombres soient-ils. Evidemment, de très nombreux éléments de fiction ont été ajoutés, mais la toile de fond est, quant à elle, tristement réelle. Ce livre ne peut laisser personne indifférent, et lorsqu'on le ferme, son histoire vous suit encore pendant un sacré bout de temps.
Le film en est une très bonne adaptation malgré quelques omissions importantes dans le message que voulait faire passer l'auteure.


Avez-vous lu ou vu La Couleur des sentiments ? Qu'en avez-vous pensé ?

lundi 1 juin 2015

Produits terminés, je rachète ou pas ? #10

Bonjour, bonjour ! Je reviens aujourd'hui avec le #10 des Produits terminés. Ayant accumulé beaucoup de produits, tout cela commençait à prendre un peu de place dans ma salle de bain, et même si je n'avais pas spécialement envie d'écrire sur les cosmétique ou la beauté, il fallait absolument que je vous parle de tout cela.
Et j'avais tellement de choses, une douzaine il me semble, que j'ai voulu scinder tout ce petit bazar en différentes catégories. De cette manière, vous pouvez directement lire ce qui vous intéresse le plus. Bonne lecture !


MAQUILLAGE


#1 – Poudre matifiante Stay Matte, par Rimmel
J'avais acheté cette poudre l'été dernier et au début, je ne l'avais pas apprécié puisque je trouvais qu'elle avait tendance à marquer les zones de sécheresse et le duvet du visage. Mais finalement, j'ai appris à mieux l'utiliser et mieux la doser, et je l'ai adorée ! Elle matifie très bien et tient plusieurs heures sans retouches. Seul bémol : le packaging très fragile... Une très bonne poudre que vous pouvez trouver entre 6 et 8€ en grande surface.
Je rachète ou pas ? Oui, c'est déjà fait ! (teinte Silky Beige)

#2 – Fond de teint Antiblemish Solution, par Clinique
Si vous me suivez depuis un certain temps, vous savez que j'aime énormément ce fond de teint. Je ne compte pas en refaire des caisses, puisque j'en avais fait un article détaillé il y a pas mal de temps, que vous pouvez retrouver ICI.
Je rachète ou pas ? Alors oui, je l'ai racheté, en la teinte que j'utilisais depuis 2-3 flacons déjà (04 - Vanilla) mais truc incompréhensible : la couleur est trop foncée pour moi alors que c'est la même que d'habitude. La marque a peut-être changé la compo ou les pigments, j'en sais rien, mais à plus de 30€ le produit, ça fait mal aux f... Morale de l'histoire, même si vous êtes habituée à acheter une certaine teinte depuis des mois/années, testez toujours la couleur avant de racheter un produit !

#3 – Mascara Volume Million de Cils Luminizer Blue Eyes, par L'Oréal
Il me semble que je vous avais déjà parlé de ce mascara qui est, à ce jour, mon mascara favori de tous les temps ! Il allonge, donne du volume et sa couleur est superbe (un bleu foncé presque indigo qui accentue les yeux bleus ou verts). Malheureusement, c'était une édition limitée...
Je rachète ou pas ? Non, car édition limitée.

#4 – Mascara Telescopic, par L'Oréal
Encore un mascara de chez L'Oréal qui est lui aussi d'une très bonne qualité. Il n'est pas très cher (entre 10 et 12€ selon l'endroit où vous l'achetez) mais très efficace. Je possède la version classique, mais il me semble qu'il existe une version waterproof. La brosse est en silicone, ce qui peut ne pas plaire à tout le monde, mais c'est ce que je préfère pour ma nature de cils et l'effet que je recherche.
Je rachète ou pas ? J'ai encore quelques mascaras à terminer, mais une fois que mon stock sera fini, oui, je rachèterai le Telescopic.

#5 – Base pour les ongles Smooth Base, par Kiko
Ma base préférée ! Elle ne coûte rien (4,90€) et dure très longtemps. Je l'utilise avant chaque manucure ou pédicure, et elle protège très bien mon ongle. De plus, si comme moi vous avez tendance à avoir des ongles qui ont des stries et ou des fissures (c'est le cas de l'ongle de mon majeur droit : il se dédouble, se casse, se strie, se fissure bref...), cette base lissera votre ongle et vous permettra une application du vernis coloré facile et homogène.
Je rachète ou pas ? Oui, comme toujours.


CHEVEUX


#6 – Après-shampoing (Vive la) Révolution, par Lush
Cet après-shampoing a une odeur très agréable et permet d'éviter les noeuds et de faciliter le démêlage des cheveux après le shampoing. Il peut paraître un peu cher, certes, mais il est tellement efficace que je passe outre (ici, cette bouteille de 100g coûte 6,95€).
Je rachète ou pas ? Oui, c'est déjà fait : j'ai racheté une plus grosse bouteille de 250g.

#7 – Shampoing solide Jumping Juniper (ou Jonnie Juniper selon les boutiques), par Lush
Ce produit fut mon premier shampoing solide, et j'en suis complètement fan. Tout d'abord, c'est bien plus économique et écologique qu'un shampoing liquide : un galet me dure environ 6 mois et il n'y a aucune émission de plastique. De plus, ce shampoing est très efficace : sa vertu première est de permettre d'espacer les shampoings pour celles et ceux qui ont les cheveux ayant tendance à regraisser facilement.
Je rachète ou pas ? Oui, c'est déjà le cas.

#8 – Masque capillaire Jasmine Hair'oïne, par Lush
Comme vous pouvez le voir, c'est sous forme d'échantillon que j'ai testé ce produit : la vendeuse m'avait donné 3 petits pots comme celui-ci. Ce masque au jasmin et à l'huile de noix du Brésil a pour but d'aider et d'hydrater les cheveux qui ont tendance à frisotter. Normalement, il s'utilise sur toute la longueur, mais pour ma part je l'ai appliqué à partir du deuxième tiers de mes cheveux. L'odeur est ultra-forte, il faut aimer. Mes pointes sont un peu plus lisses, certes, mais rien d'extraordinaire.
Je rachète ou pas ? Non.


VISAGE, CORPS & MAINS


#9 – Crème lavante mains au lilas bleu, par Sephora
Il me semble que je vous avais déjà parlé de ce produit dont je suis totalement fan ! L'odeur est à tomber, je la conseille à tout le monde. De plus, lorsqu'il est plein, ce pousse-mousse a une jolie couleur violet-indigo ; très sympa dans la salle de bain/cuisine.
Je rachète ou pas ? Oui.

#10 – Gommage purifiant arbre à thé, par The Body Shop
Habituellement j'utilise l'exfoliant nettoyant aux algues de la même marque, mais lors des soldes en septembre-octobre, celui-ci était à 6-7€ donc je me suis dit que c'était une bonne occasion pour tester. Ce produit est très sympa, mais j'ai trouvé les grains peut-être un peu trop fins. Cependant, ma peau sensible a apprécié !
Je rachète ou pas ? Non, puisque je préfère celui de la gamme aux algues.

#11 – Soin gommant énergisant pour peaux sèches, par Le Petit Marseillais
Si mes souvenirs sont bons, c'est la deuxième bouteille de ce produit que je finis. Il est efficace, sent bon et permet de gommer sans pour autant assécher les peaux sèches, mais finalement je ne pense pas que cet exfoliant soit réellement avantageux d'un point de vue financier. Oui, il n'est pas très cher (4€ environ il me semble), mais il se vide à une vitesse incroyable. Du coup, je suis revenue aux gommages de The Body Shop qui finalement sont plus économiques.
Je rachète ou pas ? Non.

#12 – Soin Cleanance Expert, par Avène ; Effaclar Duo+, par La Roche-Posay
J'ai dû vous parler de ces deux crèmes une bonne douzaine de fois, donc je vais m'abstenir. Mais en tout cas, si elles ne sont pas forcément les produits miracles pour réduire les boutons, elles ont au moins le mérite d'hydrater ma peau sans l'alourdir et sans laisser de film gras sur le visage. Excellent point !
Je rachète ou pas ? Oui, c'est déjà fait pour les deux !


Et vous, quels produits avez-vous fini récemment ?
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