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mercredi 28 mars 2012

Revue Miss Helen

Aujourd’hui je viens vous parler d’une marque malheureusement peu connue mais d’une qualité irréprochable. J’avais fait une revue en vidéo, mais à priori, Youtube me hait. Par conséquent, vous aurez un peu de lecture aujourd’hui. Miss Helen est pour moi une très bonne marque qui offre un large choix de couleurs, de gammes et de produits.

Comment j’ai découvert Miss Helen ? Je cherchais un vernis rouge, tout ce qu’il y a de plus classique, assez bon marché. Comme je passe souvent au Monoprix d’Opéra ou de Pyramide, j’ai jeté un coup d’œil à différentes marques. Car oui, les vernis OPI et Essie sont biens, très biens, mêmes, mais payer entre 11€ et 13€ pour une simple vernis rouge, c’est un peu excessif. Bref, je me suis dirigée vers un rayon qui m’intriguait. En effet, les produits de chez Miss Helen sont simples, petits et passe-partout. Cette simplicité de présentation m’a intrigué. J’ai donc acheté un vernis. Une semaine après, j’y suis retournée et… vous vous doutez de la suite !
Je suis tombée complètement amoureuse de cette marque.

Petite présentation de la marque
Miss Helen est une marque disponible uniquement chez Monoprix. En effet, cette marque 100% française a été créée pour l’enseigne. Son crédo ? De bons produits, au packaging simple, le tout, à un prix largement abordable. Vous pouvez trouver du maquillage pour le teint, les yeux, les lèvres, mais aussi certains accessoires (pinceaux, kabukis, taille-crayons, etc.).

Les produits testés
Contrairement aux autres revues effectuées sur ce blog, ces produits ne m’ont pas été envoyés par la marque. Je vous présente ici 4 produits : 3 vernis à ongles et une poudre matifiante.

- Les vernis à ongles : 13 Rouge, 21 Corail, 26 Sirop d’Abricot.
Trois vernis aux couleurs parfaites pour la saison. Les couleurs ne m’ont pas déçues, bien que le 26 ait un fini limite translucide (d’où la mention « effet sirop »). L’application est topissime : depuis les vernis Dior, je n’avais jamais testé un vernis au pinceau aussi agréable, efficace et parfait. La tenue est elle aussi un réel point fort : 5 jours environ sans top-coat.
Vous l’avez compris, à seulement 3,99€ l’unité, ces vernis à ongles sont parfaits. Il existe une large gamme de couleurs, allant des plus simples (rouges, roses) aux plus originales (vert pomme, citron vert, jaune canari…).





Petits swatches. Dans l'ordre : le 21, le 13 et le 26.

- La poudre matifiante : 03 Beige Miel.
Je cherchais une poudre matifiante légère pour la saison, car les fonds de teint liquides sont un peu trop couvrants pour le printemps/été. Seulement, je ne voulais pas mettre des sommes astronomiques dans une poudre. Celle-ci coûte seulement 8,50€ (contre 30-35€ pour des poudres d’autres marques !).
Je suis vraiment très, très satisfaite de cette poudre : elle couvre bien sans pour autant donner un effet plâtre à la peau. Seule petite ombre au tableau : le pot n’est pas très pratique à ouvrir quand on a les ongles longs, mais ceci n’est qu’un détail.
Bilan
Je ne peux que vous conseiller cette marque qui n’est malheureusement pas assez connue. Le fait qu’on ne puisse la trouver que chez Monoprix est un véritable handicap, d’autant plus que la marque ne possède aucun site officiel. Grosse erreur de marketing, tout ça…
Sinon, sur le fond, cette petite marque n’a pas à rougir face aux « grandes ». Petit plus : tous les produits sont faits en France et suivent une charte qui limite les risques d’allergies. Etant très sensible, je n’ai fait aucune réaction à la poudre, et ça, c’est un très gros point fort !
Bref, cette marque est vraiment une marque à découvrir.

Crédit photos : Ariane P.

mardi 27 mars 2012

ARCHIVE JUIN 2011 : Interview de Marie-Alice Yahé

Ceux avec qui je communique depuis un certain temps le savent : l’année dernière (juin 2011), j’ai effectué, dans le cadre de mon année de Seconde, un stage au service Sports du quotidien national L’Humanité. Lors de ce stage, qui fût très gratifiant et enrichissant : les personnes avec qui j'ai travaillé m'ont appris de nombreuses choses. J’ai eu l’occasion de rédiger quelques papiers, mais aussi d’effectuer quelques interviews. La veille du début de ma semaine de stage, le club de rugby féminin de Perpignan (l’USAP XV féminin) a remporté le Top 10 (équivalent du Top 14 chez nos amis les garçons).
J’ai eu l’occasion de m’entretenir avec Marie-Alice Yahé, demie de mêlée de l’Equipe de France de rugby féminin et de Perpignan, mais aussi Cyrielle Bouisset (2ème ligne de Perpignan) et Jean-Pierre Falcon (entraîneur). Vous l’avez compris, le rugby féminin était à l’honneur ! 

Le XV de France féminin ayant décroché la deuxième place du Tournoi des VI Nations 2012 (derrière l’Angleterre), j’ai trouvé que c’était une bonne idée de partager avec vous l’interview que j’avais réalisé de Marie-Alice Yahé, capitaine des Bleues. Evidemment, les sujets évoqués ne sont plus à l’ordre du jour.
C’est avec l’autorisation du journal de L’Humanité que je partage cet entretien avec vous. Retour en arrière, retour en juin 2011.


« Le rugby féminin n’a pas la place qu’il mérite »

A bientôt 27 ans, Marie-Alice Yahé, demie de mêlée de l’USAP XV féminin, vient de remporter le Top 10. Entretien.

Demie de mêlée tricolore depuis2008, Marie-Alice Yahé consacre sa vie au rugby. Après un début de carrière à Montpellier, elle est depuis 2009 à Toulouges, club s’appelant actuellement USAP. Marie-Alice Yahé revient sur sa saison catalane, son statut de capitaine au sein du XV de France et la place du rugby féminin dans le sport.

Comment vous êtes-vous intéressée au rugby ?
MARIE-ALICE YAHÉ. Je m’y suis intéressée tout naturellement : c’était le seul et unique sport pratiqué dans la famille. Mes frères y jouaient chacun de leur côté, mon père était joueur et entraîneur. Je suis née avec le ballon ovale (rires). Les dimanches étaient bercés par les matches de mon père, de mes frères, ou ceux de la télé. Ensuite, lorsque je suis arrivée à la fac de Dijon, une équipe se créait. Une de mes copines y était et elle m’a embarquée ! Je savais déjà faire des passes, ayant appris avec mes frères. Cet entraînement m’a plu et… tout a commencé. J’ai un énorme soutien de mes proches. Mes parents n’ont loupé aucun des matches : ils étaient à la Coupe du Monde en Angleterre, au Tournoi des VI Nations, à la finale de l’USAP. Ils suivent de très près ma carrière (rires) !

Vous est-il facile de concilier votre vie professionnelle et votre vie rugbystique ?
MARIE-ALICE YAHÉ. Personnellement, je ne jongle pas entre les deux, car je ne travaille pas. Ça va faire quatre ans que je ne fais que du rugby. Je suis masseuse, et je n’arrivais pas à trouver des disponibilités pour pouvoir m’entraîner tous les soirs, être disponible le week-end pour les déplacements internationaux. Je n’ai donc pas d’employeur, puisque les conditions ne sont pas favorables à mon métier. J’ai donc pris l’initiative de me consacrer qu’au rugby pour l’instant. J’ai la chance d’avoir ma famille derrière, et les aides du club qui me permettent de pouvoir faire du rugby, sans pour autant en vivre.

Pierre Camou, président de la Fédération Français de Rugby (FFR) a déclaré « Il n’y a pas deux rugby, l’un féminin et l’autre masculin. Mais un seul et même sport, pratiqué dans l’égalité la plus parfaite ». Pensez-vous que les valeurs du rugby sont les mêmes chez les hommes et les femmes ?
MARIE-ALICE YAHÉ. C’est tout à son honneur, car c’est respecté par ce qu’il fait de son côté pour le rugby féminin. Depuis qu’il est président de la FFR, le rugby féminin a énormément évolué, que ce soit financièrement, ou dans les infrastructures, à Marcoussis ou dans nos déplacements, et même dans le regard que la FFR a de nous. Cette citation, nous l’avons entendu lorsque Pierre Camou a pris ses fonctions et il tient vraiment sa promesse. Mais maintenant, il est vrai que si l’on prend la citation telle qu’elle est, c’est loin d’être le cas, puisque le rugby était à l’origine masculin et non féminin. De ce fait, il y a déjà une différence énorme. Les hommes eux, ont la possibilité de vivre du rugby. La différence vis-à-vis du public est importante, elle aussi. C’est vrai qu’il y a une médiatisation faible autour du rugby féminin, donc nous rapportons beaucoup moins d’argent que le rugby masculin. Mais le rugby féminin évolue. Quand je suis arrivée dans l’Équipe de France, nous n’avions rien du tout, par rapport à ce que nous avons à l’heure actuelle. Il y a encore du chemin à faire avant que le rugby féminin ait la place qu’il devrait avoir.

Le rugby féminin est peu médiatisé. Comment analysez-vous ce manque de reconnaissance ?
MARIE-ALICE YAHÉ. Il y a différentes explications, elles sont toutes un peu liées. La première est que le rugby est un milieu relativement macho, voire machiste : les gens ont du mal à accepter que l’on joue. Beaucoup pensent que nous sommes des filles qui cherchent à copier les garçons, mais notre jeu est différent. En tant que femme, c’est dur de se faire sa place dans un milieu d’hommes. Puis, il y a aussi le côté financier. J’espère pour les filles qui arriveront derrière moi que les regards vont changer. Mais le Seven (le rugby à VII) a connu un grand essor, puisqu’il va arriver aux JO de 2016. Les filles vont être beaucoup plus considérées. Au XV de France, nous encourageons beaucoup les filles du Seven. Si elles rapportent des médailles aux JO, le rugby féminin connaîtra peut-être son heure de gloire (rires). Le Seven est le seul à pouvoir faire bouger les choses.

A propos du XV de France, avez-vous le soutien du XV de France masculin ?
MARIE-ALICE YAHÉ. Oui, quand nous avons des déplacements internationaux, comme le Tournoi des VI Nations, nous avons des messages de soutien avant nos matches, et nous leur en envoyons également. Depuis que Marc Lièvremont a pris ses fonctions, il y a eu des joueurs qui sont venus faire des ateliers mêlées avec les joueuses de l’Équipe de France. Nous avons souvent des nouvelles de Marcoussis. Mais c’est un monde à part, car le rugby féminin et le masculin sont relativement séparés. Mais le staff et les joueurs respectent notre équipe, c’est aussi pour le bien de l’Équipe de France, car nous portons le même maillot, et donc les mêmes valeurs. Il n’y a aucun soucis au niveau du soutien, mais il y a peut-être des joueurs plus ouverts que d’autres sur le rugby féminin.

La Coupe du monde masculie a lieu au mois de septembre, mais la vôtre arrive également, en 2014. Cet objectif vous booste-t-il ou préférez-vous vous concentrer sur le présent ?
MARIE-ALICE YAHÉ. Je suis assez partagée. Comme vous le dites, l’objectif est fixé : c’est la Coupe du monde de 2014, aucun alternative est possible (rires). Maintenant, nous savons qu’avant cet objectif, il y a beaucoup d’échéance. Cette année, nous sommes une équipe en reconstruction, nous avons eu un énorme changement sur les effectifs : des joueuses plus ou moins âgées ont arrêté, d’autres continuent mais savent qu’elles n’iront peut-être pas jusqu’à la prochaine Coupe du monde, mais beaucoup de jeunes arrivent. Il faut les préparer. Nous avons une sorte de saison de transition, compliquée à gérer, et d’ici la Coupe du monde, il y aura certainement d’autres changements. Je prends les choses comme elles viennent : de nombreuses choses peuvent arriver. Il faut travailler. La Coupe du monde est encore loin dans le sens où rien n’est réellement fixé.

Après votre carrière de joueuse de haut niveau, souhaitez-vous entraîner, ou passer à autre chose ?
MARIE-ALICE YAHÉ. C’est encore une grande question pour moi. A priori, je voulais totalement passer à autre chose car je ne me sens pas capable d’entraîner ; comme j’en ai parlé avec l’entraîneur et le sélectionneur de l’Équipe de France, c’est une chose qui s’apprend. J’ai peur de mal savoir retransmettre. De par mon statut, je vais peut-être passer des diplômes dans ce domaine là. Je ne sais pas exactement si je vais rester dans le rugby ou revenir à ma passion, mon métier de masseuse. Mais… il va falloir que je me remette à travailler, malheureusement (rires).

Entretien réalisé par Ariane Piot.

Merci au journal L'Humanité pour l'autorisation de publication sur mon blog.

Crédit photos : Sports.fr

dimanche 25 mars 2012

Saga déco à prix malins #3

(Cette mise en scène est typiquement le style de déco que j'aime : simple, épuré et zen !)

Tout comme la première partie (ICI), le deuxième épisode de la Saga déco à prix malins (ICI) vous a plu. Alors je continue, n'est-ce pas ?

Aujourd'hui, je viens parler avec vous d'un objet dont nous nous servons tous les jours, les femmes autant que les hommes : un miroir ! On le connaît surtout dans les salles de bains et les chambres, mais il envahit maintenant aussi les salons. Une petite touche sympa dans toutes les pièces (chambres, salons, salle de bain, dressing) pour des prix petits.

Voici ma sélection (uniquement de chez Ikea) :

1. EKNE, miroir oval, Ikea, 39€.
J'aime l'esprit un peu baroque de ce grand miroir. Dans une chambre, il donne un petit côté romantique à la pièce. Pur plus d'originalité, accrochez-le au mur à l'horizontale !
2. EKNE, miroir rond, Ikea, 9,99€.
Même modèle que le précédent, mais rond et plus petit. Idéal au-dessus d'un lavabo, dans les toilettes, par exemple.
3. FIGGJO, miroir rond, Ikea, 19,95€.
J'aime l'esprit pop-70's de ce miroir ! Cette sorte d'explosion ronde est très sympa.
4. UNG DRILL, miroir oval noir, Ikea, 29€.
Esprit barocco qui ne peut plaire à tout le monde. Mais il est sûr qu'avec ce miroir, votre intérieur ne pourra passer inaperçu !
5. VÄNNA, miroir oval, Ikea, 39,95€.
Mon préféré de la sélection. Ses rayures sont en fait de fins élastiques noirs que vous pouvez moduler comme bon vous semble. Petit plus : vous pouvez glisser des photos entre les élastiques. Perso, je le préfère uni, simple : son côté strucuté zen me fait craquer ! J'aime, j'aime, j'aime.

Retrouvez d'autres miroirs chez Fly, Alinéa, Maisons du Monde, etc.

Crédit photos : Ikea.

vendredi 23 mars 2012

Quand on aime, on ne compte pas !

Pourquoi le Rugby ? Pourquoi le Stade Français ? Très honnêtement, je suis incapable de répondre à ces questions. Le Rugby c'est un peu comme la taule : une fois que tu y es entré, c'est compliqué d'en sortir ! Oh, ça va, allez, je plaisante !
Ma passion et mon amour pour ce sport et surtout pour le Stade Français sont inexplicables. Et même si cette année le club n'est pas à son top niveau, je les supporterai toujours.

Parce que le Stade Français Paris en 2011/2012 c'est Julien Arias, Rodrigo Roncero, Dimitri Szarzewski, David Attoub, Julien Dupuy, Jules Plisson, Jérôme Fillol, Byron Kelleher, Pascal Papé, Tom Palmer, Sergio Parisse, Paul Warwick, Martin Rodriguez, Felipe Contepomi, Pierre Rabadan, Remi Bonfils, Hugo Bonneval, Hugues Briatte, Antoine Burban, Djibril Camara, Arthur Chollon, Jonathan Danty, Aled De Malmanche, Francis Fainifo, Alexandre Flanquart, Scott Lavalla, Olivier Milloud, David Lyons, Gerhard Mostert, Fransisco Nahuel Tetaz, Alexander Rokobaro, Paul Sacket, Abrahim Sako, Laurent Sempéré, Rabah Slimani, Lei Tomiki, Gonzalo Tiesi, Quentin Valancon, Anton Van Zyl, Paul Williams, Stanley Wright et Morgan Turinui (oui, j'ai recopié TOUS les joueurs de cette saison !).
Mais aussi parce que le SF a vu quelques personnalités connues dans ses rangs, notamment Marc Lièvremont, Fabien Galthié, Sylvain Marconnet, David Skrela, Lionel Beauxis, Christophe Dominici, Hugo Southwell, Mathieu Bastareaud ou encore Guillaume Boussès.

Il n'y a que le rugby pour offrir des émotions telles que ce sport me donne.
C'est pour ces raisons qu'aujourd'hui, je souhaite partager avec vous des photos du club, plus ou moins vieilles, trouvées sur le site officiel du SFP. Les photos sont en vrac, certaines datent pas mal (vous vous en rendrez compte en voyant certains joueurs).
Enjoy !













































Pink is beautiful, Pink is not dead !
Je salue aussi les filles du Stade Français ♥

Crédit photos : Stade Français Paris.
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