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dimanche 30 juin 2013

Ces bouquins qui feront mon été !

Source : WeHeartIt.
L’été approche : le soleil (on verra), la plage, les ballades, les cafés en terrasse, les temps libres. Et qui dit été, dit aussi lectures !
Il y a une petite semaine, j’ai réalisé une grande commande sur Amazon afin de commander mes livres de l’été.
Je partage avec vous ma sélection.



* La petite fille qui aimait la lumière, de Cyril Massarotto. 
Résumé : Barricadé dans sa maison au cœur d’une ville déserte, un vieil homme prend des risques fous pour recueillir une petite fille blessée. L’enfant ne parle pas, elle ne prononce qu’un mot : Lumière, elle qui a si peur du noir. Alors le vieillard parle, il lui raconte la beauté de la vie d’avant, les petites joies du quotidien, son espoir qu’on vienne les délivrer. Il lui enseigne la possibilité d’un avenir, quand elle lui offre de savourer le présent.
Pourquoi il m’a fait envie ? Le résumé m’a touché, alors pourquoi pas le lire !



* La vie commence à 20h10 : Un rêve vaut bien quelques mensonges, de Thomas Raphaël.
Résumé : Si, si, tout va bien, je vous assure. Après, à trente ans, j'avoue, j'imaginais ma vie un peu différemment. J'aurais bien aimé avoir terminé ma thèse. Avoir un job, un salaire, tout ça. Et si un éditeur avait pu accepter le roman que j'ai écrit en secret... Quand une productrice propose à Sophie tout à la fois (un job et la promesse que son roman sera publié), ça sort du coeur : oui! Malheureusement pour elle, le job en question consiste à fabriquer un feuilleton télé. Un feuilleton télé ? Quelle horreur ! En même temps, une double vie, ça n'est pas si compliqué...
Pourquoi il m’a fait envie ? Pendant les vacances, j’adore lire des livres de « poulettes » : ça détend, ça fait rire et ça passionne. Que du bon pour le moral !
De plus, le fait que ce livre soit écrit par un homme m’a attiré : les auteurs masculins de ce genre littéraire sont plutôt rares !




* Demain j'arrête !, de Gilles Legardinier.
Résumé : Comme tout le monde, Julie a fait beaucoup de trucs stupides. Elle pourrait raconter la fois où elle a enfilé un pull en dévalant des escaliers, celle où elle a tenté de réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, ou encore son obsession pour le nouveau voisin qu'elle n'a pourtant jamais vu, obsession qui lui a valu de se coincer la main dans sa boîte aux lettres en espionnant un mystérieux courrier... Mais tout cela n'est rien, absolument rien, à côté des choses insensées qu'elle va tenter pour approcher cet homme dont elle veut désormais percer le secret. Poussée par une inventivité débridée, à la fois intriguée et attirée par cet inconnu à côté duquel elle vit mais dont elle ignore tout, Julie va prendre des risques toujours plus délirants, jusqu'à pouvoir enfin trouver la réponse à cette question qui révèle tellement : pour qui avons-nous fait le truc le plus idiot de notre vie ?
Pourquoi il m’a fait envie ? C’est idiot, mais lorsque j’ai vu la couverture, j’ai eu envie de découvrir ce roman. Puis… le résumé a l’air bien sympa et bien drôle !


* Le Trône de Fer - Tome 1, de George R.R. Martin.
Résumé : Il était une fois, perdu dans un lointain passé, le royaume des Sept Couronnes... En ces temps nimbés de brume, où la belle saison pouvait durer des années, la mauvaise toute une vie d'homme, se multiplièrent un jour des présages alarmants. Au nord du Mur colossal qui protégeait le royaume, se massèrent soudain des forces obscures ; au sud, l'ordre établi chancela, la luxure et l'inceste, le meurtre et la corruption, la lâcheté et le mensonge enserrèrent inexorablement le trône convoité. Pour préserver de l'ignominie les siens et la dynastie menacés se dresse alors, armé de sa seule droiture, le duc Stark de Winterfell, aussi rude que son septentrion natal. Mais, en dépit du pouvoir immense que vient de lui conférer le roi, a-t-il quelque chance d'endiguer la tourmente qui se lève ?
Pourquoi il m’a fait envie ? Vous connaissez maintenant mon amour pour la série Game Of Thrones. La dernière saison (la saison 3) m’a laissé sur ma faim, alors en attendant la 4ème saison, je patiente en commençant à lire la saga.




* Métamorphose en bord de ciel, de Mathias Malzieu.
Résumé : Tom Cloudman a toujours rêvé de voler, il en est devenu le plus mauvais cascadeur du monde. Ses performances de voltige se terminent invariablement au sol. Au moment où on décèle chez lui une maladie incurable, Tom rencontre une étrange créature, mi-femme, mi-oiseau, qui lui propose ce pacte : "Je peux vous transformer en oiseau, ce qui vous sauverait, mais cela ne sera pas sans conséquence..."
Pourquoi il m’a fait envie ? Je suis une immense fan de Mathias Malzieu : son écriture me touche énormément et chaque chose qu’il écrit devient un récit poignant et émouvant. Après la lecture d’un Mathias Malzieu, on veut toujours pouvoir en lire plus.









* 38 mini westerns (avec des fantômes), de Mathias Malzieu.
Résumé : Recueil de nouvelles de Mathias Malzieu.
Pourquoi il m’a fait envie ? Même explication que pour Métamorphose en bord de ciel (voir plus haut).








* Maudit karma, de David Safier.
Résumé : Animatrice de talk-show, Kim Lange est au sommet de sa gloire quand elle est écrasée par une météorite. Dans l'au-delà, elle apprend qu'elle a accumulé beaucoup trop de mauvais karma au cours de son existence. Non seulement elle a négligé sa fille et trompé son mari, mais elle a rendu la vie impossible à son entourage. Pour sa punition, Kim se réincarne en fourmi. Et le pire reste à venir: de ses minuscules yeux d'insecte, elle voit une autre femme la remplacer auprès de sa famille. Elle doit au plus vite remonter l'échelle des réincarnations. Mais, de fourmi à bipède, le chemin est long et les obstacles nombreux...
Pourquoi il m’a fait envie ? J’ai lu il y a 2-3 semaines un livre du même auteur (Sors de ce corps, William ! dont je vous parlais ICI), et j’ai énormément aimé. J’ai donc eu envie d’en découvrir encore !




Voilà les bouquins qui feront mon été ! Au fur et à mesure de mes lectures, et si le temps libre me le permet (je compte profiter comme il se doit de mes 2 semaines à Biarritz et de ma semaine à Sigean), je vous posterai des chroniques.

Et vous, quels bouquins allez-vous apporter en vacances ?

mercredi 26 juin 2013

Muse, The 2nd Law Tour - Live at Stade de France (21 juin 2013)

Alexandre Simonet pour "United States of Paris"
Evènement très attendu à Paris : le groupe Muse se produisait deux soirs consécutifs au Stade de France. Pour ma part, j’y suis allée le premier soir, le 21 juin. Excellente façon de passer la nuit de la Fête de la Musique. Au programme : frissons, émotions et show à couper le souffle !

Pour cette soirée du solstice d'été, Muse accueillait en premières parties les groupes Fun et Paramore.
Concernant Fun, les Américains ont fait leur boulot comme ils se le devaient, en offrant aux spectateurs du Stade de France une bonne demi-heure de bon temps, j’en garde un bon souvenir. Mais pour le second groupe, Paramore, je dois avouer que je n’ai pas du tout accroché. Mais à en voir la façon dont certaines personnes s’éclater, j’en déduis que, lorsque vous appréciez ce groupe, le show devait être bien !

Jean-Lionel Parot pour Concert live
Et là, vient le tour de Muse… ! Je vais faire court, puisqu’une chronique en détail de tout le live serait ennuyeuse à mourir, mais autant vous dire que le trio anglais a offert plus de 2h de show au Stade de France, dans une superbe ambiance.
Mention spéciale pour le son qui, pour un live en stade, était d’une qualité honorable, mais surtout, aux effets de lumière et aux animations sur scène.
Muse a été parfait sur toute la ligne, tout le long du live, et le chanteur Matthew Bellamy s’est même offert un bain de foule en allant saluer de nombreux fans dans la fosse.
Comme le dit Alexandre Simonet du blog United States of Paris (ICI), ce live était  « un vrai feu d’artifice sonore ». (je vous dirige d’ailleurs vers son blog pour un live-report complet à retrouver ICI).

Jean-Lionel Parot pour Concert live.
En bref, je garde un souvenir incroyable de ce concert ! Muse a su faire plaisir à tous les amateurs du groupe en adaptant sur scène des morceaux récents, pour les fans « sur le tard », mais aussi d’anciens morceaux sortis des cartons, pour les fans de la première heure.

Les animations visuelles et pyrotechniques étaient à couper le souffle, et Muse signe ici un live d’une maîtrise impressionnante, en prouvant, comme si c’était encore nécessaire, qu’ils sont bel et bien un des meilleurs groupes de rock de la planète.

La setlist du 21 juin :

The 2nd Law : Unsustainable (intro uniquement)
Supremacy
Supermassive Black Hole
Panic Station
Bliss
Resistance
Animals
Knights of Cydonia
Dracula Mountain
Sunburn
Interlude
Hysteria
Monty Jam
Feeling Good
Follow Me
Liquid State
Madness
Time Is Running Out
Stockholm Syndrome
B-Stage
Unintended
Blackout
Guiding Light
Undisclosed Desires

1er rappel :
The 2nd Law : Unsustainable
Plug In Baby
Survival

2ème rappel :
The 2nd Law: Isolated System
Uprising
Starlight

Jean-Lionel Parot pour Concert live.
C'était la première fois que je voyais Muse en concert, et vous pouvez me croire : j’ai passé une soirée de folie et je suis quasi sûre de revenir les voir lors de leur prochain passage à Paris.


Avez-vous déjà vu Muse ?

dimanche 23 juin 2013

XV de France : une Tournée d’Été à oublier ?


Déception pour les Bleus (crédit photo : Rugbyrama).
La Tournée d’Été des Bleus s’est achevée samedi 22.
Bilan : 3 matches joués, 3 défaites. Sur le net, dans les journaux ou sur les plateaux télé, les débats fusent, et même si les joueurs du XV de France n’ont pas un bilan favorable, certains mots sont partis plus vite les uns que les autres, impliquant de sévères critiques, à la limite de l’humanité.
Alors finalement, cette Tournée d’Été 2013 est-elle à oublier et à effacer de l’Histoire du XV de France ?

Sur cette dernière année rugbystique (Tournoi des VI Nations 2013 + cette Tournée d’Été 2013), l’Equipe de France dresse un bilan à la limite du tolérable : seulement une victoire.
Lors du départ de Marc Lièvremont, après le mondial de 2011, les supporters français, malgré un bilan plus que favorable de la RWC 2011, avaient hâte de découvrir les travaux du nouveau sélectionneur, Philippe Saint-André. Oui, mais… L’ère PSA n’a rien d’exceptionnel. Pire, depuis 2011, jamais les résultats n’ont été aussi mauvais, malgré des matches relativement corrects en automne 2012.

Que dire ? Les résultats déplorables de cette Tournée, mais aussi de toute cette « ère PSA », sont-ils uniquement dus à l’ancien entraineur du RCT ? Les joueurs étaient-ils vraiment prêts à jouer les uns avec les autres ? Faire jouer des joueurs complètement « cuits » par la saison 2012/2013 était-il réellement judicieux ?
Beaucoup de facteurs ont joué en la défaveur de cette Equipe de France, et tous les acteurs (joueurs compris, évidemment) y sont sûrement pour quelque chose : il serait fortement pitoyable de mettre tous ces mauvais résultats sur les seules épaules de Philippe Saint-André.

Mais… N’oublions pas que l’unique adversaire des Bleus durant cette Tournée d’Été était la Nouvelle-Zélande, nation vainqueur de la Coupe du Monde 2011 qui, comme le prouve la légende, s’avère d’une excellence à couper le souffle.
Le visage de l’Equipe de France évolue très souvent ces 2 dernières années. Trop souvent ? Sûrement, oui ! Car si une Tournée est faite pour tester des joueurs, il faut noter qu’il est déstabilisant pour la plupart des joueurs de changer toutes les semaines de partenaires de jeu. Sans oublier les sélections de joueurs qui ont certes brillé il y a quelques années mais qui, actuellement, ne parviennent plus à rallumer la flamme de la réussite.
C’est cruel, mais le temps de certain est passé, et PSA devrait en prendre conscience. Place aux jeunes, place aux découvertes, et place aux nouveaux talents qui, malgré leur excellence dans leur club, ne sont jamais sélectionnés !

Philippe Sain-André en conférence de presse en Nouvelle-Zélande. (crédit photo :  Rugbyrama).
Justement, à propos de ces (non)-sélections… Que penser d’un sélectionneur qui, il y a plusieurs mois, implorait presque les journalistes de lui trouver des ouvreurs français ? Cette année, PSA a innové en laissant François Trinh-Duc en vacances (ce qui n’a pas été une erreur) et en sélectionnant, en plus de Fred Michalak, les jeunes Camille Lopez et Rémi Talès qui, durant cette saison, ont rendu des copies parfaites.
Premier pas vers les bonnes idées. Mais après ? On attend de voir quelle équipe PSA alignera pour les test-matches d’automne et, évidemment, le Tournoi des VI Nations 2014. Sans oublier la Coupe du Monde 2015 qui est l’enjeu majeur de cette préparation.

Monsieur Philippe Saint-André, il serait temps de remettre des joueurs « finis » au placard et d’accepter de convoquer, et donc de tester, de nouveaux joueurs.
Paradoxe ? Oui, car à force de tester trop de différents joueurs, le XV de France est devenu une équipe instable, incertaine, dont les résultats sont faibles.

Choix peu compréhensibles, résultats décevants, jeu peu ambitieux… Si on tente de résumer les années de PSA, le constat est mauvais.
Mais il a encore le temps, en 2 ans, de prouver ce dont il est capable et de faire fermer leur bouche à certains journalistes trop bavards qui aiment l’asticoter.
Actuellement, le XV de France n’a plus qu’à aller de l’avant et à prouver que les matchs époustouflants faits au cours des tests-matches l’automne 2012 n’étaient pas dus au hasard.
Car cette Equipe de France est pleine de potentiel. Un potentiel malheureusement non exploité
Ce pays regorge de talents qui ne demandent qu’à être sélectionnés.

Certaines critiques, ces dernières semaines, ont été à la limite de l’acceptable, et même si les Bleus en ont déçu plus d’un, n’oublions pas qu’ils restent humains, et qu’après une saison 2012/2013 bien remplie, il est difficile d’exceller en bout de course.


On ne peut pas effacer une Tournée de l’Histoire d’une nation, certes, mais une chose est sûre, les amoureux du rugby ont envie de dire « Plus jamais ça ! ».

Et vous, votre bilan de la Tournée d’Été 2013 ?

jeudi 20 juin 2013

Help-me ! #6 : Make-up : j'emmène quoi en vacances ?


 Pour (re)lire les premiers Help-me !, cliquez ICI.

Aujourd’hui, je reviens avec un nouveau Help-me !
Samedi, j’ai passé la journée, avec, entre autres, ma copine Laura que je n’avais vu depuis pas mal de temps. Entre deux discutions rugby, nous avons vaguement parlé fringues, bijoux, mais surtout maquillage (oui, on ne change pas une équipe qui gagne). Nous nous sommes alors demandées ce que l’une et l’autre nous allions emmener avec nous en vacances.
J’en ai ensuite parlé avec quelques poulettes sur Twitter, et elles m’ont toutes dit que ce serait une bonne idée de Help-me !
Alors j’écoute le peuple, et voici, après 6 mois de pause, le #6 de la saga : « Make-up : j’emmène quoi en vacances ? ».

Pour répondre à cette question, il faut prendre en compte 2 écoles : il y a d’abord celle de la fille qui, quel que soit le temps, la température et la circonstance, ne sort pas sans une couche de 3cm de maquillage ; et il y a celle de la fille qui, comme Laura et moi, par exemple, se maquille beaucoup moins l’été, tout d’abord parce qu’il fait chaud (le fond de teint et le liner qui dégoulinent, c’est dégueu), mais aussi par manque de temps (je préfère profiter d’une demi-heure de visite au centre-ville plutôt que de passer ce temps à me maquiller).
Bref, pour ce Help-me !, j’ai choisi de prendre en compte la deuxième école, celle de la fille qui se maquille moins. Pour les autres, que voulez-vous que je vous dise… Emportez tout !

Il y a encore peu, j’emportais la masse de choses et, finalement, au moment de défaire les valises lors de mon retour à Paris, je me rendais compte que je n’avais utilisé que le quart des produits make-up que j’avais apporté.
Alors maintenant, compte tenu du peu de produits que j’utilise, j’applique la règle du « 2-3 ». Mais qu’est-ce donc ? Je m’explique. Le « 2-3 » consiste à n’apporter avec vous que 2 ou 3 produits maximum par catégorie (joues, lèvres, mascara, teint, etc).
Ainsi, vous êtes sûres de ne pas accumuler trop de choses à emmener. Bien sûr, vous pouvez vous faire plaisir pour une ou deux catégories en emmenant un ou deux produits supplémentaires, mais pas plus !
Autre astuce, au moment de faire votre trousse beauté, pour chaque produit que vous êtes tentée de glisser dedans, posez-vous la question « A quelle occasion vais-je pouvoir l’utiliser ? ». Si vous butez sur la question, ne vous posez pas de question, et zappez.

Pour les ongles je vous conseille de ne pas emmener avec vous plus d’une dizaine de vernis, car avec la chaleur, les matières s’abîment vite, avec le transport, vos vernis risquent d’être choqués entre eux, et enfin, avec les vacances, nous sommes toutes tentées d’acheter par-ci par-là des produits coup de cœur, alors prévoyez !
Sinon, pensez à apporter quelques produits soins, car avec le sable et le sel, les ongles sont sensibles.

Bien sûr, en fonction des goûts et du lieu où vous allez, tout le monde ne va pas emmener la même chose. Cet été, je pars à Biarritz et à Narbonne, des lieux où vous pouvez aussi bien allier moments plages et moments balades/sorties.

Pour ces lieux, je compte emmener :
- Mes deux palettes Naked d'Urban Decay afin de réaliser tous les maquillages possibles
- Deux mascaras noirs (dont un waterproof)
- La base à paupière de chez Urban Decay
- Un crayon khôl noir
- La BB Crème peaux mixtes de chez Garnier
- Le fond de teint 1.2.3 Perfect de Bourjois (au cas où)
- La poudre Eclat Minéral de Bourjois
- Les blushs 103 (un pèche légèrement corail) et 109 (un rose candy classique) de Kiko
- Quelques rouges à lèvres ou gloss à couleurs variables (du rose le plus neutre au rouge diva, en cas de sortie)
- Quelques vernis (dont une base, un top-coat, un soin, un rouge, un corail, un taupe, et pour le reste, on verra sur le moment)
- Quelques pinceaux (les classiques : un biseauté pour le liner et les sourcils, un rond, un pinceau peintre, un pinceau boule, à pinceau à blush et un kabuki).


Et vous les filles, quelle est votre sélection ?

Crédit photos : WeHeartIt.

mardi 18 juin 2013

"Sors de ce corps, William !", David Siefer (2010)

Je viens seulement de me rendre compte, après près de 2 ans d’existence de ce blog (oui oui, en septembre, Ariane-Padawan fêtera ses 2 ans), que malgré mon goût prononcé pour les bouquins en tout genre, je ne vous parle jamais de mes lectures !

Pourtant, j’en lis pas mal, des bouquins, par an : au moins 1 par mois, et beaucoup plus en été, puisque le temps libre est beaucoup plus important.
Bref, je vous promets de venir vous parler plus souvent des livres lus !

Aujourd’hui je viens vous parler d’un roman que j’ai littéralement dévoré en 4-5 jours. Pour la petite histoire, je traînais sur Amazon pour acheter les bouquins qui vont m’accompagner durant tout l’été (autant vous dire que j’ai fait un sacré stock dont je vous reparlerai très prochainement). De suggestions en suggestions, je suis tombée sur le résumé (et les avis très favorables) de Sors de ce corps, William !.
Ce roman a été écrit par l’écrivain et scénariste à succès allemand David Safier, très connu dans son pays.

Voici le résumé proposé par l’éditeur : 
« Afin de réparer ses erreurs et reconquérir l'homme de sa vie, Rosa décide d'avoir recours aux services de Prospero, un magicien soi-disant capable de faire voyager les gens dans le passé. Et voilà comment la jeune femme se réveille dans la peau du génial William Shakespeare ! Lequel, "oh dear", n'apprécie pas vraiment cette cohabitation forcée…
Loufoque, rythmée et profondément humaine, la nouvelle comédie de David Safier offre un grand moment de divertissement. »

Bien sûr, ne vous attendez pas à un roman-fiction historique car ce n’est pas du tout le sujet, et l’auteur n’en a pas la prétention et le précise, puisque la mention « Ce livre est dénué de fondements historiques » figure dans les premières pages précédant le début du roman.
Au début, j’ai acheté et commencé à lire ce bouquin sans réel conviction, me disant qu’au pire, j’allais un peu rire pendant 350 pages.

Grande surprise, dès les premières pages, vous êtes déjà « dedans » ! Tout y est : description sympa, personnages attachants, humour, et tout ce qui s’en suit. Autre plus : le fait que ce roman ait été écrit par un homme. Car oui, avouons-le nous : très peu des comédies romantico-dramatiques sont écrites par des hommes, et ce vent nouveau fait du bien.
David Safier nous embarque dès le début dans son délire historico-littéraire, et on se prête volontiers au jeu (fantasme ?) d’être dans la peau d’un autre.
Bref, c’est un livre drôle et tendre à la fois durant lequel on ne s’ennuie jamais !
La plume est légère, drôle et bien pensée : quelques passages abordent les psychologies différentes, mais pourtant relativement proches, féminine et masculine.

Voyage dans le temps, humour décalant et complètement barré, émotion, péripéties… David Safier signe ici une pure réussite.
Mention spéciale pour la couverture proposée par l’éditeur (qui est la même pour la version poche) qui donne le ton de ce roman hilarant, absurde et décalé.
Une bonne idée de bouquin à glisser dans sa valise pour les vacances !

Mais une question me trotte dans l'esprit : à quand une adaptation cinématographique de ce roman ?

Sors de ce corps, Williams ! (2010)
De David Safier, traduit de l’Allemand par Catherine Barret.

De 6€ (édition Pocket) à 19€ (édition Les Presses De La Cité)

dimanche 16 juin 2013

Mamá (2013)

Un film d’Andres Muschietti.
Avec Jessica Chastain, Nikolaj Coster-Waldau, Megan Charpentier, Isabelle Nelisse, Daniel Kash, etc.
Genres : Fantastique, Epouvante, Horreur, Fable.

Synopsis : Il y a cinq ans, deux sœurs, Victoria et Lily, ont mystérieusement disparu, le jour où leurs parents ont été tués. Depuis, leur oncle Lucas et sa petite amie Annabel les recherchent désespérément. Tandis que les petites filles sont retrouvées dans une cabane délabrée et partent habiter chez Lucas, Annabel tente de leur réapprendre à mener une vie normale. Mais elle est de plus en plus convaincue que les deux sœurs sont suivies par une présence maléfique…

Bande annonce : ICI.

Ma note : 17/20

Mon avis : Mamá est le premier long métrage d’Andres Muschietti, mais en 2008, le cinéaste espagnol avait tourné un court-métrage du même nom. Ce film est une pure réussite !
Le réalisateur met en place les principaux codes du film d’horreur, mais y ajoute également quelques petites touches persos qui font de ce film un petit bijou unique. Très rare dans le genre, Mamá flirte avec la poésie et la psychologie.
Le côté macabre poétique fait de ce film une véritable fable fantastique dont certains procédés techniques (plans, jeux d’ombres, couleurs, musique) rappellent de nombreuses œuvres du très doué Tim Burton.

Bien plus qu’un film horrifique, Mamá est avant tout un conte fantastique dont certains passages s’inspirent des films d’horreur les plus courants et les plus connus.
Rarement un film sur les fantômes aura suscité chez moi une telle passion et un tel intérêt. L’ambiance est lourde, pesante, parfois effrayante, mais surtout, elle est d’une poésie rare pour un film s’auto-qualifiant horrifique. La séquence de fin est d’une beauté à couper le souffle.

Le thème concernant les enfants s’étant auto-éduquées durant 5 ans est un sujet extrêmement passionnant, mais malheureusement, à certains moments, il faut l’admettre, le réalisateur aurait pu creuser un peu plus afin d’aborder un côté philosophique et psychologique : comment des personnes isolées si longtemps peuvent-elles vivre sans s’inventer des compagnons imaginaires ? Après un tel état d’isolement, est-il possible de revenir à un état normal de la vie ?
C’est pour ces raisons que je n’ai mis « que » 17/20 au film : à certains moment, Andres Muschietti aurait gagné à approfondir certains thèmes, à s’arrêter sur certaines scènes.
A part cela, je pense que Mamá est une des plus grandes réussites horrifiques de ces 10 dernières années !

Un film prouvant une nouvelle fois que les Espagnols sont extrêmement doués (les plus doués ?) avec le genre !

Crédit photos : AlloCiné.

jeudi 13 juin 2013

1000 jours plus tard

Source photo : AFP
Une pensée émue pour les proches de Marc Féret, Thierry Dol, Daniel Larribe et Pierre Legrand, enlevés au Niger le 16 septembre 2010 et détenus par Al-Quaida au Sahel.
Si pendant 2 ans, les familles se devaient de respecter une certaine discrétion à propos des otages, depuis septembre 2012, les proches ont le droit à la parole et se rassemblent, contactent les médias, mettent en place des banderoles afin d'entretenir l'espoir. Pascale Robert, la maman de Pierre Legrand déclare d'ailleurs "on est devenus une famille".

Aujourd'hui, jeudi 13 juin 2013, les familles des 4 otages viennent de vivre le 1000ème jour avec l'absence de leur proche. 1000 jours, une des captivités les plus importantes d'otages français.
En ce jour, nous n'oublions évidemment pas les autres otages retenus dans le monde.

mardi 11 juin 2013

Bensimon s'invite chez Monoprix !

Le magasin Monoprix fait tous les ans appel à des créateurs plus ou moins connus afin de mettre ces invités en lumière, ou tout simplement, de proposer aux clients des articles inédits à des prix abordables.
Cet été, c'est Bensimon, entre autres, qui s'invite dans les rayons de Monoprix. La marque est surtout connue pour ces fameuses tennis, de véritables basiques au large choix de couleurs qui peuvent s’accorder avec n’importe quelle pièce de votre garde-robe.

Ces chaussures cultes ont été créées dans les années 80, quand Serge Bensimon et son frère, Yves, ouvrent la toute première boutique du quartier du Marais. Quartier qui, à l’heure actuelle, est connu de tous les parisiens !
 Mais ce que le « peuple » sait moins, c’est que la marque propose également de nombreux autres articles, notamment des éléments de déco, surtout du linge de maison.

Cet été, Monoprix vous fait (re)découvrir Bensimon à travers une quarantaine de produits allant, évidemment, de la fameuse tennis aux torchons, pochettes, ou petits hauts légers pour l’été.

Voici mes pièces coups de cœur, mais n’hésitez pas à découvrir la collection entière ICI. Mais faîtes vite, cette collection est une édition limitée !

 Blouse, 35€
 Robe col V, 45€
 Etole en coton, 25€
 Tennis imprimées, 29€
Sac en toile, 25€
Top, 17€

Et sinon, la boutique Bensimon :
12 rue des Francs Bourgeois
75003 Paris
Infos ICI.

mercredi 5 juin 2013

Les addictions du mois #2 - mai 2013

On continue les Additions du mois avec le mois de mai !

#1 : Hatufim
La nouvelle série d’Arte m’a immédiatement séduite. Les deux derniers épisodes de cette série israélienne (par le même créateur qu’Homeland) sont diffusés ce jeudi 6 juin sur Arte (canal numéro 7 de la TNT).
Une énorme réussite !

#2 : Ma lime à ongles
Ce mois-ci, j’ai porté très peu de vernis : j’ai dû en mettre 2 ou 3 fois en 31 jours. Chose très rare, puisque, si vous me connaissez personnellement, vous savez que j’en change environ 2 fois par semaine. Durant tout le mois de mai, mes seuls accessoires étaient ma lime à ongles et, de temps en temps, un soin (et encore).
Bref, j’ai mis mes ongles en jachère plusieurs semaines et ils me disent actuellement merci : actuellement, ils sont beaux, bien brillants et résistants.


#3 : Mon parapluie
Et oui !  Mois de mai pourri oblige : mon parapluie est devenu mon indispensable du mois.
« En avril, ne te découvre pas d’un fil, en mai… non plus ! »


#4 : Grey’s Anatomy
La saison 8 est enfin arrivée en France ! Une chose est sûre : la série n’innove pas spécialement, mais tous les fans retrouvent les personnages et les thèmes qu’ils aimaient dans les saisons précédentes.
Alors le mercredi, c’est Grey’s Anatomy !


#5 : Le site internet streamcomplet.com
Les programmes que proposent les chaînes étant de plus en plus moisis, je passe quasiment la totalité de mes soirées (sauf le mercredi pour Grey’s Anatomy et le jeudi pour Hatufim) sur ce site qui propose un large choix de films en VF, dans de très nombreux genres.


#6 : Les phases finales de rugby
Tout est dit, et vous me connaissez : le rugby représente un paquet de choses pour moi, et si ces phases finales (Top 14 et Pro D2) m’enchantent pour les enjeux, je suis un peu attristée à l’idée de devoir attendre mi-août pour que le Top 14 recommence.


Et vous, ce mois-ci, quelles ont été vos addictions ?

dimanche 2 juin 2013

Castres... le rêve devenu réalité !

Source photo : Rugby365
Castres, petite ville aux 42.000 habitants, est aujourd’hui à la fête ! 
20 ans après leur dernier titre en tant que Champion de France, le Castres Olympique a battu le grand favori de cette saison : Toulon. Au terme de 80 belles minutes (surtout la seconde mi-temps), les Castrais ont eu l’honneur de soulever pour la quatrième fois le tant désiré Bouclier de Brennus !

La magnifique saison de Castres a été récompensée au terme de cette belle finale 2013 qui, contrairement à celle de l’année passée (qui opposait Toulon à Toulouse), a offert un jeu assez plaisant et intense.
Malgré une nette domination des Toulonnais en première partie du jeu, les Tarnais ont su résister à la pression, et la machine était lancée avec le superbe essai du numéro 9, Rory Kockott en extrême fin de première mi-temps. Le pied droit du jeune Talès (appelé en Equipe de France pour la Tournée d’Eté) a aussi eu son petit effet.
Les derniers espoirs du RCT auraient pu être portés par Sir Jonny Wilkinson, mais malheureusement, l’Anglais aux pieds d’or était en petite forme, hier soir.

Source photo : Rugbyrama
Les Castrais se sont finalement imposés 19 à 14 sous les applaudissements d’un Stade de France plein comme un œuf (80.033 spectateurs) et les quelques 5,7 millions de téléspectateurs (4,5 millions sur France 2 et 1,2 sur Canal+) !

Rappelons que le budget du Castres Olympique est 9ème budget de Top 14… Belle victoire qui prouve que non, le rugby n’est pas encore (que) une affaire de gros sous !
Félicitations aux Castrais pour cette superbe saison et pour ce titre.

Maintenant, il va falloir attendre fin août pour pouvoir profiter à nouveau du Top 14.

Quel serait votre bilan de cette saison 2013/2013 ?
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