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jeudi 31 mai 2012

Dans le dressing de... Yoann Huget (par RugbyNews.fr)

Alors que le futur ex-Avironnais (il jouera avec Toulouse dès la saison 2012/2013) fête sa re-sélection avec le XV de France (voir ICI), la journaliste Krystel Roche a réalisé pour RugbyNews une interview bien sympa, publiée le 31 mai sur le site internet. Krystel Roche s'invite dans le dressing de l'ailier Yoann Huget, qui fêtera ses 25 ans le 2 juin. Une interview bien sympa : la mode n'est pas (qu')une affaire de femme !
(Retrouvez l'article orginal ICI)

>> Article publié par Krystel Roche le 31 mai 2012 à 11h20

 

Dans le dressing de... Huget

Dans le dressing de... Huget
Yoann, quel type d'acheteur êtes-vous ?
Je fais attention. Mais je peux craquer sur un article s'il me fait plaisir et que je le trouve beau. Dans ce cas-là, je ne suis pas raisonnable (sourire).

Avez-vous plutôt tendance à conserver longtemps les mêmes pièces ou à renouveler régulièrement votre garde-robe ?
Nous sommes dans une société de consommation... je suis donc obligé de suivre la mode ! (rires)

Si vous deviez donner votre définition du style, quelle serait-elle ?
Pour moi, quelqu'un qui a du style, c'est quelqu'un qui n'en fait pas trop et qui se remarque alors qu'il porte quelque chose de sobre, classe, raffiné.

Comment décrire votre style ?
A la fois décontract' et un peu british. Classe et sport à la fois. Je peux parfaitement porter un costard avec des baskets. J'aime bien !

Quels sont vos basiques ?
Des baskets (sneakers) un peu sympas, portées avec tout ce qui est sarouels ou baggys, et une chemise.

Vous pourriez sans problème vous ruiner en…
… chaussures.

Combien de paires en possédez-vous ?
Une trentaine.

La plus belle pièce de votre dressing ?
Une paire de chaussures Dior, noires, vernies et pointues.

La plus grosse folie shopping que vous vous soyez autorisé ?
Peut-être un baggy que j'ai pu acheter sur un coup de tête. Je n'étais pas du tout parti pour acheter ça ! C'était dans une boutique rue Etienne Marcel, à Paris. Je ne sais pas si tu te souviens, mais une fois, Djibril Cissé avait mis une jupe longue. Et bien c'est ce magasin qui lui avait fait porter. Ils ont des habits décalés, très sympas... et assez chers ! (Jean-Paul Gaultier, ndlr).

Quelle est votre tenue qui remporte le plus franc succès ?
Je change beaucoup, donc difficile à dire... Et j'aime tous mes habits ! Même ceux que je ne porte plus, j'ai du mal à m'en séparer.

Celle que vous affectionnez particulièrement mais qui n’a aucun succès ?
Un pull en laine - type poncho - fait par un créateur pour un sponsor (Serge Blanco, pour « la sélection » : une nouvelle ligne, très discrète et très épurée. Très sympa). Ce pull, ils ne l'ont finalement pas commercialisé. Moi, Je l'aime beaucoup, même s'il n'a pas beaucoup de succès !

La pièce de votre dressing qui traverse les saisons sans prendre une ride ?
Un t-shirt col V, qui est toujours là, année après année.

Avez-vous une référence en matière de style ?
Thierry Henry.

Plutôt adepte du shopping en boutique ou sur le net ?
J'aime bien voir les habits, donc boutique.

Quelle est, selon vous, la faute de goût par excellence ?
Les t-shirts avec des strass pour les mecs.

Votre pire faux-pas vestimentaire ?
Une salopette en jean (sourire)...

La tendance à laquelle vous avez cédé ?
J'aime bien avoir une petite touche extravagante dans ma tenue.

La tendance à laquelle vous n’accrochez absolument pas et à laquelle il est juste inimaginable que vous cédiez ?
Les nouvelles chaussures pour mecs. On dirait des chaussures de bowling... avec un pompon sur le dessus ! Il y a des trucs qui ne me vont pas, et il faut l'admettre (rires). Les slims également: pour les rugbymen, c'est très compliqué...

L’accessoire qui booste vraiment une tenue ?
Une belle montre.

A contrario, l’accessoire has been par excellence ?
Un collier ras du cou.

Le look qui vous plaît le plus chez une femme ?
Sobre, et classe.

Celui qui vous rebute ?
La vulgarité. Même si la femme est très belle, si elle est vulgaire, c'est rédhibitoire !

Le caprice mode typiquement féminin qui reste un mystère pour vous ?
Le sac... ou plutôt leS sacS : c'est incompréhensible ! (rires)

Qui est le joueur le plus stylé de l'Aviron ?
Julien Audy.

Et le moins stylé de l’équipe ?
Tout le monde le dira... les Sud Afs ! Ils ont un total look running-jean redoutable ! (rires)

De manière générale, les rugbymen ont-ils bon goût en matière de style ?
Non. On est encore assez terre à terre et l'on n'ose pas trop. On reste très classique et l'on ne suit pas forcément la mode, mais on y jette tout de même un petit coup d'oeil (sourire)... Par rapport au foot, il nous reste encore de la marge ! Dès qu'un mec est original, ça ne pardonne pas. Si tu décides de l'être, il faut s'assumer. Par exemple, quand tout un vestiaire nous tombe dessus pour un jean vert ou rouge... Il faut assumer ! Mais comme on ne vit pas avec eux, ça va (sourire). On fait le dos rond, et on attend que ça passe ! (rires)

Si vous pouviez piquer la garde-robe d'un autre joueur...
Celle de Max Médard est pas mal. Il a un bon style.

Votre boutique QG ?
« East Side », à Toulouse. Sur Paris, j'aime bien les boutiques rue Etienne Marcel et dans le Marais.

Y a-t-il une mode dont vous soyez nostalgique ?
J'aimais bien les pattes d'eph' style années 70. Ils avaient un petit look hippie sympa à voir. J'aurais aimé connaître cette époque.

Ce que vous ne ressortiriez pour rien au monde de votre placard ?
Les chemises froissées qui étaient à la mode il y a quelques temps.

Ce que vous avez pu vous offrir avec votre tout premier salaire de joueur pro ?
Je n'ai pas changé mes habitudes. Je me souviens avoir fait les boutiques avec ma mère, mais pas de folie.

Quelle pièce aimeriez-vous vous acheter pour compléter votre dressing ?
Lorsque je fais les boutiques, je vois sur le moment. Je n'ai pas forcément besoin de quelque chose en particulier.

Vous disposez d'un budget illimité. Dans quelle ville partez-vous faire la razzia dans les boutiques ?
A Florence, en Italie.

Si vous pouviez jouer les mannequins d’un jour, ce serait pour...
… Jean-Paul Gaultier.

Paris, New York, Londres ou Milan : à quelle fashion week souhaiteriez-vous le plus assister ?
Celle de New York. Les Américains sont très extravagants, ça peut être sympa.

Enfin, si l’on vous donnait l’opportunité de créer vous propre ligne de vêtements, dans quel esprit serait-elle ?
« Sport & chic ». Et je ferais une ligne qui toucherait tout le monde.

PSA a fait son choix !

Notre "Goret" national a annoncé ce jeudi 31 mai 2012, à midi, les 28 chanceux qui feront honneur au maillot bleu en juin.

Après avoir fait passer deux jours de stage à Marcoussis (tests physiques + bilans médicaux) aux joueurs issus des clubs éliminés de Top 14 et de Pro D2, le sélectionneur du XV de France, Philippe Saint-André (PSA), a annoncé la liste des 28 joueurs retenus pour la tournée estivale en Argentine.
Prochains matches du XV de France, les 16 et 23 juin.

Voici les élus :

Avants (15) : David Attoub (Stade Français), Vincent Debaty (Clermont), Antoine Guillamon (Lyon OU), Yvan Watremez (Biarritz), Christopher Tolofua (Stade Toulousain), Dimitri Szarzewski (Stade Français), Yoann Maestri (Stade Toulousain), Christophe Samson (Toulon), Pascal Papé (Stade Français, capitaine), Romain Taofifenua (Perpignan), Alexandre Lapandry (Clermont), Wenceslas Lauret (Biarritz), Fulgence Ouedraogo (Montpellier), Louis Picamoles (Stade Toulousain), Raphaël Lakafia (Biarritz)

Arrières (13) : Maxime Machenaud (Agen), Morgan Parra (Clermont), Frédéric Michalak (Sharks/AFS), François Trinh-Duc (Montpellier), Geoffrey Doumayrou (Montpellier), Florian Fritz (Stade Toulousain), Wesley Fofana (Clermont), Maxime Mermoz (Perpignan), Benjamin Fall (Racing-Métro), Romain Martial (Castres), Yoann Huget (Bayonne), Jean-Marcellin Buttin (Clermont), Brice Dulin (Agen).

La jeunesse prend donc le "pouvoir" du XV de France ! On notera donc l'arrivée de quelques nouveaux (9 nouveaux au total !), le grand (espérons le !) retour de Fred Michalak et... le capitanat de Pascal Papé. Bravo au Parisien !
Félicitations à tous les retenus et bon courage pour cette Tournée (à la vot' !).

Calendrier du XV de France pour l'année à venir :

Tournée de juin:
16 juin : Argentine - France, à Cordoba
23 juin : Argentine - France, à Tucuman

Tournée de novembre:
10 novembre : France - Australie, au Stade de France
17 novembre : France - Argentine, au Grand Stade Lille Métropole
24 novembre : France - Îles Samoa, au Stade de France

Tournoi des VI Nations 2013 :
3 février : Italie - France, à Rome
9 février : France - Pays de Galles, au Stade de France
23 février : Angleterre - France, à Twickenham
9 mars : Irlande - France, à Dublin
16 mars : France - Ecosse, au Stade de France

Tournée de juin 2013:
En Nouvelle-Zélande (trois test-matches, dates et lieux à déterminer)

Crédit photo : L'Express.

mardi 29 mai 2012

Girls just wanna have fun in Paris (2)

Voici la suite de la "saga" que j'écris pour le blog coopératif Likemarshmallows : les bons plans parisiens. Retrouvez l'article original ICI et n'hésitez pas à passer faire un petit coucou à Loobee !
Retrouvez la première partie ICI.

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Deuxième partie de la visite parisienne,
Paris autrement, le Paris des bons plans !


> Café, Monaco & Coca à gogo !


* O'Duo. Il aurait été condamnable de peine de mort que je ne parle pas du Duo. Le Duo, c'est un peu ma deuxième maison (il est à 5 minutes de mon lycée : ceci explique cela), celle où je suis à l'aise et où les cafés paraissent meilleurs qu'ailleurs. Le Duo fait également brasserie. Le café y est à 1.50€ (un des moins chers du coin) et Dominique est toujours super sympa (et patient, il faut l'admettre !).
J'y suis plusieurs fois par semaine avec des amies alors si vous y passez, jetez un coup d'oeil en terrasse : il y a de fortes chances pour que j'y sois !

80 rue de Maubeuge, Xème


* Ô Béret Basque. Comme O'Duo, le Béret Basque fait brasserie mais je n'ai testé que leurs boissons. Le Béret Basque est LA brasserie des basques exilés à Paris. Ambiance : déco verte et rouge, photos rugbystiques aux murs (jusque dans les toilettes !). L'ambiance y est très sympa et petit plus pour les rugbyphiles, lors des déplacements de Biarritz à Paris, les joueurs aiment se restaurer et descendre quelques bières là-bas... ! Des matches sont d'ailleurs régulièrement diffusés.
Pour les traditions basques, leur gastronomie et la chaleur du coeur des sudistes, le Béret Basque est vraiment un lieu à découvrir. Seule ombre au tableau : la terrasse est pas mal mais la brasserie étant située à côté de la Gare du Nord, le quartier est relativement bruyant.

4 boulevard de Denain, Xème. 01.48.78.33.51

A suivre sur Likemarshmallows mais aussi ici...

dimanche 27 mai 2012

"Rome", une série incroyable

Depuis 2-3 ans, la chaîne Canal+ a diffusé de grandes séries dites historiques (Les Piliers de la Terre, Les Tudors, etc.). N'ayant pas Canal+, deux choix s'offrent à moi : attendre la diffusion de ces séries sur des chaînes non payantes ou acheter les DVD. Mais malheureusement, la série Rome n'a pas encore été diffusée par une autre chaîne. Dommage ? Oui et non.
Oui car Rome est selon moi une série incroyable, dotée de très bons acteurs dont les costumes et les décors sont tous plus beaux les uns que les autres. Et non, car il faut l'avouer, Rome est une série osée qui pourrait en choquer plus d'un. "Choquante" par certaines images, évidemment (scènes de sexe et de batailles) mais aussi par certaines idées.

Je suis passionnée depuis quelques années par l'Antiquité gréco-romaine. De plus, l'année dernière, la Rome Antique était à mon programme d'Histoire. Un jour où je discutais avec mon prof, il m'a conseillé cette série. 4-5 mois après, ma mère a loué les DVD, et nous avons regardé la série. Malheureusement, la série ne comporte que 2 saisons. En effet, Rome fût la série au budget le plus élevé de l'histoire ! Rome a connu un vif succès, elle a même été plusieurs fois nommée aux Emmy Awards et aux Golden Globes, remportant au total 7 Emmy Awards. Cependant, le nombre de saisons a être réduit à 2 (et non pas 5, comme initialement prévu) : les coûts très importants des épisodes ont eu raison de la série.

D'après les critiques, cette série est proche des faits historiques. Cependant, certains historiens disent que certaines exactitudes peuplent la série. Jonathan Stamp, le consultant historique de Rome, explique que la série recherche plus "l'authenticité" que la "fidélité historique". Pourtant, la série est considérée par les spécialistes comme étant très crédible (description de la ville de Rome, moeurs des Romains, etc.) et, en moyenne, fidèle à la réalité historique (psychologie de Jules César, grandes batailles, etc.).

Pullo et Vorenus.

D'un point de vue strictement personnel, je tiens à vanter les mérites de cette série par la musique (créée par Jeff Beal), sa qualité photographique à couper le souffle, la justesse des acteurs, les décors (Anthony Pratt) et les costumes (April Ferry). Je conseille cette série à tous les férus d'Histoire, aux passionnés de l'Antiquité (surtout de la Rome Antique), mais je déconseille tout de même cette séries aux enfants de moins de 12 ans. Selon moi, Rome nécessite un accord parental.
Cette série est, selon moi, une des plus belles réussites des 15 dernières années. Rome rend complètement accro : vous êtes, dès les deux premiers épisodes, complètement happé par l'histoire. Je pense revoir la série, mais cette fois-ci, en VOST !

Synopsis (Wikipédia) :

!! EVIDEMMENT, ce résumé ne contient aucune révélation puisqu'il s'agit de faits historiques. Pour ceux qui ne connaissent pas réellement l'Histoire mais qui veulent voir la série, je vous déconseille de lire les lignes suivantes (résumé non spoilé ICI (premières lignes)) !!

Cette série relate à la fois les événements ayant entraîné la chute de la République romaine et la naissance de l'Empire romain, vus à travers les yeux de leurs principaux protagonistes, et la vie et les aventures de deux soldats de la 13ème légion, le légionnaire Titus Pullo et le centurion Lucius Vorenus, qui sont témoins de ces événements, et parfois même les influencent.

La première saison débute lorsque Jules César revient de Gaule à la fin de son mandat de proconsul, refuse de libérer ses légions selon l'ordre du Sénat, et s'apprête à franchir le Rubicon à la tête de ses légions et à marcher sur Rome. Dès lors, l'action retrace les luttes de pouvoir entre Pompée et César, jusqu'au triomphe de César et à l’assassinat de ce dernier aux Ides de Mars en 44 av. J.-C.. Lucius Vorenus, sous la protection de César et de Marc Antoine, y entreprend son ascension sociale qui va le conduire jusqu'au Sénat avant d'être victime d'un drame familial, alors que Titus Pullo noue des liens avec le jeune Octave tout en éprouvant des difficultés à réintégrer la vie civile.

La deuxième saison reprend le thème de la lutte de pouvoir, mais cette fois-ci entre Marc Antoine et Octave, après l'assassinat de César. Elle se termine sur la mort de Marc Antoine et de Cléopâtre en Égypte et le triomphe final d'Octave qui devient le premier empereur romain sous le nom d'Auguste. Lucius Vorenus connait une brutale descente aux enfers et devient le chef d'une bande de brigands de l'Aventin avant d'attacher son destin à celui de Marc Antoine, et Titus Pullo, récemment marié, aide son ami à sortir de sa mauvaise passe avant de devenir son second, puis de le remplacer quand Vorenus part pour l'Égypte. Quand Octave part lui-même pour l'Égypte, il emmène Pullo avec lui, permettant ainsi aux deux vieux amis d'être réunis une dernière fois.

Distribution principale :
- Lucius Vorenus : Kevin McKidd
- Titus Pullo : Ray Stevenson
- Marc Antoine : James Purefoy
- Jules César : Ciarán Hinds
- Cléopâtre : Lyndsey Marshal
- Pompée : Kenneth Cranham
- Octave : Max Pirkis (saison 1 + début saison 2), puis Simon Woods
- Lépide : Ronan Vibert
- Atia : Polly Walker
- Servilia : Lindsay Duncan
- Brutus : Tobias Menzies
- Octavia : Kerry Condon
- Cicéron : David Bamber
- Caton : Karl Johnson
- Timon : Lee Boardman
- Eirene : Chiara Mastalli
- Agrippa : Allen Leech
- Livie : Alice Henley
- Crieur public : Ian McNeice

J'ai déjà rendu 2 amis accros... Le serez-vous aussi ?

Crédit photos : Allociné.

samedi 26 mai 2012

La mobilisation des rugbymen

La Semaine du Sport à l'Hôpital a eu lieu cette semaine (du 21 au 25 mai). Cette opération a été organisée par l'association Premiers de Cordée. Quelques rugbymen ont participé à cette semaine du sport et ont rendu visite à des enfants hospitalisés.

Pour la 9ème édition de la Semaine du Sport à l’Hôpital, c'est Maxime Médard, parrain de l'assoc', qui a eu pour mission de faire (re)découvrir le sport aux jeunes gens hospitalisés. Les rugbymen "réquisitionnés" étaient Maxime Médard (Stade Toulousain), évidemment, qui est intervenu à l'hôpital des enfants Paule-De-Viguier (Toulouse) ; et Julien Dupuy et Pierre Rabadan (Stade Français) qui ont rendu visite à la clinique Edouard Rist (Paris).

Retour en images sur une semaine qui restera gravée dans la tête des enfants, mais aussi des sportifs eux-mêmes ! Une magnifique cause pour laquelle ces trois rugbymen ce sont battus : redonner le sourire aux enfants malades.

Site officiel de l'association : ICI.

Avez-vous déjà fait du bénévolat ?

Crédit photos : Rugby365.

AlphaRugby #C

C comme Crunch

(Retrouvez les premières parties ICI).

Mais... qu'est-ce qu'elle nous raconte elle ? Quel est le rapport entre du chocolat et le Rugby ?
Mouahaha, évidemment, je ne suis pas ici pour vous parler chocolat, mais plutôt du Crunch. Qu'est-ce que le Crunch ? En fait, le Crunch est la rencontre entre le XV de France et le XV de la Rose (la France et l'Angleterre, pour les novices).

Au Rugby, on peut le dire, l'Angleterre est l'ennemie suprême de la France ! Oui, d'accord, mais pourquoi le Crunch et non pas le Nesquik (ah ah, humoooour) ?
Je vous explique !

Le Crunch est une expression anglaise qui signifie « moment crucial ». Dans le cadre du Tournoi des VI Nations (nous y reviendrons dans quelques lettres) cette confrontation donne lieu chaque année à la remise du Trophée Eurostar au vainqueur.
Le Crunch, c'est LE match de l'année à ne surtout pas rater tant pour les spectateurs que pour les joueurs. Car un Angleterre / France, ou un France / Angleterre dépasse largement les frontières du sport : ce match illustre clairement la fameuse rivalité historique entre les deux pays. D'où ce nom mystérieux de Crunch : moment crucial en Anglais.

Saviez-vous d'où venait cette appellation ?

jeudi 24 mai 2012

Entre Mavala et moi, c'est fini !

En "bonne bloggueuse", je connais la célèbre marque suisse créée il y a plus de 50 ans : Mavala. Mieux, j'ai testé la marque. Je n'ai testé "que" 2 vernis, et je dois avouer que ça m'a suffit pour me faire une opinion.
En tout cas, je peux vous dire que je ne possède que 2 vernis, et qu'ils n'auront aucun petit frère dans le placard de la salle de bain !
Pourquoi ? Parce qu'ils s'écaillent vite. Très vite même. Mais c'est dommage, puisqu'ils ont un éventail de couleur assez vaste.


Tiens, par exemple, l'autre jour, j'ai mis le Platinium Marble (n°175), une couleur MA-GNI-FIQUE, assez indescriptible. Je l'ai appliqué un jour à 17h30, le lendemain, à 14h, il était déjà écaillé de partout et, mieux, des bouts étaient carrément barrés ! Pourtant, je n'avais pas fait de bricolage, de jardinage ou de sport.
Sans rire, ce vernis n'a même pas tenu 24h ! Non, mais franchement, qu'un vernis ne tiennent pas une semaine, ok, mais même pas 24h, sérieux... Enfin bref !


Sinon, il y a aussi le Berlin (n°12), un joli gris "doudou", très lumineux. Bon, lui, il a tenu plus longtemps (environ 2 jours), mais on ne peut pas dire que ce soit véritablement glorieux. De plus, celui ci a fait... des bulles quand je l'ai appliqué (oui, oui !). Encore une fois, c'est dommage.

Alors pour la défense de Mavala, on pourrait dire que la chaleur ne flatte pas la tenue des vernis, ok, mais bon, le Platinium Marble, je l'avais testé la première fois en février, et il m'avait fait le même coup.
Et, il faut l'avouer, la tenue des vernis est très subjective : on voit que selon les personnes, tous les vernis ne tiennent pas de la même manière. Certaines trouvent que les O.P.I. ne tiennent pas très bien, alors que très personnellement, ils durent au moins 4 jours sur mes ongles.
Tout dépend de la "nature" de vos ongles mais aussi de vos éventuelles carences. Car oui, une carence en calcium, par exemple, est mauvaise pour les ongles (vous vous coucherez moins bêtes ce soir !).

Pour résumer, je n'achèterai plus aucun Mavala. Je préfère mettre un peu plus cher et avoir une meilleure qualité. Ou mieux, des vernis moins chers MAIS de meilleure qualité (genre Kiko - allez voir ICI). Car les Mavala sont entre 5 et 6€, selon les points de vente, pour une contenance de 5 ml). Les Kiko en contiennent plus du double (11 ml), mais coûtent 2 à 3€ moins chers. Alors... moi, je reste chez Kiko !

Et vous, que pensez-vous de Mavala ? Avez-vous déjà été déçue par une marque de vernis ?

Crédit photos : sous les photos.

Si j'osais, et si je faisais une taille de moins...

Entre nous, les filles, qui n'a jamais dit, en faisant du shopping : "C'est mimi, ça, mais ça ne m'ira jamais...". Non, toi, jeune fille qui fait du 36, tu n'as jamais ressenti ça ! Mais toi, keupine qui fait un pitit 40 (ou un 40 tout court quand tu as forcé sur les Kinder Bueno partagés avec Tsonga), tu l'as déjà pensé . Il suffit de lire les magazines féminins (Elle, Grazia, Cosmo, Glamour, etc.) pour complexer un max et culpabiliser suite au carré de chocolat avalé devant un épisode de Friends.
Bref, très souvent, quand je shoppe, je me sens ENORME. Je sais, le 40 est la taille standard des femmes françaises (source : INED (Institut National d'Etudes Démographies) publiée en avril 2012), mais pourtant, j'ai bien l'impression que la mode n'est créée que pour les 34/36. Dommage, vraiment dommage !

On ne peut pas dire que je suis grosse. Mais... j'ai des formes, voilà.

Et c'est là que toutes les bloggueuses mode rondes vont me tomber dessus genre "Mais tu peux porter ce que tu veux !" , "Le but c'est que ça te plaise" , "Mais oooooose, Ariane, ooooose". Oui, ok, mais quand vous fréquentez un lycée où la taille moyenne est le 36, euh... voilà quoi !

Bref, tout ça pour dire que si je faisais une taille de moins (soit un 38), j'oserais beaucoup plus de choses. Quoi ? Voici un petit "échantillon" :

Si je faisais un 38, je porterais un slim gris. Parce que c'est moins classique que la couleur "denim", mais ça reste classe, simple, élégant, et ça va avec presque tout.
Forever 21

Si je faisais un 38, je porterais un pantalon coloré. Pour l'été, c'est super mignon !
Bershka

Si je faisais un 38, je porterais des bikinis super sexyyy.
Etam

Si je faisais un 38, je porterais des (petits) shorts en denim.
H&M

Si je faisais un 38, je porterais une robe bustier pour cet été.
Zara

Et tant d'autres choses.... !

Et vous, êtes-vous complexée ? Qu'est-ce qui vous fait envie ?

Crédit photos : We Heart It, Forever 21, Bershka, Etam, H&M, Zara.

mercredi 23 mai 2012

La tendance qui monte, qui monte : les baskets compensées !

Source photo : AfroSomething.

Les baskets compensées ? Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Oui, à priori, les termes "baskets" et "compensées" sont parfaitement antonymes, mais... Mais la majestueuse Isabel Marant (je suis fan) a placé au rang de "must-have", et ce, depuis déjà 2 saisons, ces baskets hors du commun !

Elles sont juste PARFAITES : elles allongent élégamment la jambe et offrent un confort formidable. En journée, pour un style casual, on les porte avec un slim ou un Jeans piqué au boyfriend ou encore un short. Et pour casser le côté fifille d'une jupe romantique, on enfile ces sneakers compensées.
Malgré le côté sportswear, ces chaussures assurent aux modeuses, aguerries ou non, un style qui ne passera pas inaperçu.

Mais voilà, le GROS problème reste le fait que bon, entre vous et moi, on réfléchit à deux fois avant de s'offrir des chaussures Isabel Marant (à partir de 450€, tout de même). Du coup, j'ai arpenté telle une épileptique en pleine crise les sites de godasses et j'ai sélectionné pour vous différents modèles, de toutes les couleurs, mais aussi pour toutes les bourses.
>> "Willow" noire et beige, Isabel Marant. Collection Printemps-Eté 2012. 450 €
 >> "Dunk Sky High" rouge et liberty, Nike. Collection Printemps 2012 (uniquement aux Champs-Élysée, au Marais et sur le site de Nike). 130€.
>> "Béa" en cuir bicolore, Ash (chez spartoo.com). 195€.
>>  "Bowie" (de nombreux coloris disponibles) à lacets et une lanière à scratch. Ash (chez asos.com). 195€.

 >> "Sneakers Isabel Marant". Isabel Marant. 450€.
 >> "Sneakers Isabel Marant". Isabel Marant. 450€.
>> "Chrissie" (existent aussi en violettes). Jeffrey Campbell (sur sarenza.com). 118€.

>> "Basket compensée", en synthétique. Best (chez Tatie). 25€.
>> "Basket compensée", Texto. 90€.
>> "Basket compensée", Texto. 90€.


Bref, je suis complètement fan ! J'en ai vu chez André qui sont juste sublimes, mais malheureusement, elles ne sont pas dispos sur le site de la marque, donc si vous pouvez les voir en boutique, n'hésitez surtout pas.

Alors, vous aimez ?

Crédit photos : Sites des marques citées.

lundi 21 mai 2012

Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi

Je n’ai pas l’habitude de parler de ma vie personnelle sur Internet, encore moins sur mon blog, mais je pense que ce billet était « nécessaire ». Nécessaire par respect, mais aussi pour montrer que je n’oublie pas. Car oui, ce n’est pas parce qu’on ne parle pas de quelque chose qu’on n’y pense pas.
6 mois, c’est long, mais c’est aussi très court. Il y a 6 mois, le temps emportait une des personnes les plus importantes de ma vie : mon meilleur ami Morgan. Je sais que parler de ce genre de choses va peut-être vous mettre mal à l’aise, et j’en suis navrée, mais je sais que la famille de Mo’ passe de temps en temps ici, et je voulais lui rendre hommage, ce 21 mai 2012, 6 mois jour pour jour après sa disparition.

Avant toute chose, j’envoie tout mon amour aux parents de Morgan, Stéphane et Léa, à sa grande sœur, Hélène, et au petit frère, Thomas. Je suis souvent en contact avec eux, car ce sont des personnes humainement formidables.

Je n’ai jamais été très douée pour mettre des mots sur mes sentiments, encore moins à l’oral, et c’est pour cette raison que je ne parle pas souvent de Morgan. Certains doivent se dire « oh, elle ne parle jamais de lui, elle se console vite ». Oui, c’est vrai, mais je ne l’oublie pas pour autant. Au contraire. 6 mois après, le deuil n'est pas fait. Comme le disait je ne sais trop quelle chanteuse de variété : « On n’oublie jamais rien on vit avec ». Je n’ai pas oublié.
Je dois avouer que les premiers jours, je me suis demandée comment la vie pouvait continuer, avec un tel coup de massue sur la tête. Je n’avais jamais perdu quelqu’un auparavant. Perdre son meilleur ami, son frère de cœur, d’un cancer, c’est dur, très dur. Surtout qu’à ce moment, j’avais déjà quelques soucis. Quand le lundi 21 novembre, en sortant du cours de biologie, Léa m’a appelé, j’ai vraiment cru que je faisais un cauchemar.

La perte d’un être cher est certainement la pire chose qu’il puisse arriver, surtout quand cet être cher était un jeune homme de 16 ans, plein d’ambition, de rêves et d’avenir ; surtout quand cet être cher était habité depuis quelques mois (années ?) d’une putain de tumeur, surtout quand vous n’avez pas pu dire au revoir à cet être cher. Morgan, c'était le Basque qui en un battement de cils pouvait avoir toutes les gonzesses à ses pieds (facile quand on ressemble à Dan Carter et qu'on a le coeur de l'Abbé Pierre !).
J’en ai voulu à la terre entière, mais aussi à moi. A la terre entière car je suis comme mon père qui gueule quand il ne trouve pas le sucre : il faut trouver un coupable. Pour moi, et avec du recul, c’est complètement idiot, les responsables étaient les médecins. Ils n’y sont pour rien, ils ont fait le plus possible pour lui, je le sais, mais pendant 3-4 mois, je leur en ai voulu. J’en ai voulu à ces médecins, qui lui ont demandé qu’il se rase ses si beaux cheveux, avant l’opé, j’en ai voulu à celui qui l’a laissé mourir sur la table froide du bloc opératoire. Mais ils n’y étaient pour rien ! Le père d’Elodie, neurologue, a eu accès, quelques semaines après le décès de Morgan, à son dossier. Et il nous a confirmé qu’avec une évolution si rapide de la tumeur, rien n’était possible. Au mieux, il vivait 1 an. Mais lui, je ne lui en veux pas.
Je m’en suis voulue, et je m’en veux toujours, car je n’étais pas là à l’annonce de sa maladie. Le 22 octobre, après quelques années passées à Paris, Morgan est reparti chez lui, à Biarritz, là où il était réellement à l’aise. L’année prochaine, il serait entré au Sport-Etude Rugby de Bayonne. Ambition, rêve, courage… Le 9 novembre, son cancer a été découvert. Le 21, il en est décédé. J’ai été à ses côtés, grâce au téléphone, aux SMS, aux mails, etc. Mais actuellement, je m’en veux de ne pas avoir été là physiquement. Je l’ai vu la dernière fois le 6 octobre, le jour de mon ‘accident de voiture’.

Actuellement, je m’en veux toujours. Je m’en veux de ne pas avoir été là, certes, mais surtout, je m’en veux de ne pas l’avoir poussé à passer des examens. Parce que Morgan avait des vertiges, des malaises, des moments d’égarement et des maux de têtes depuis déjà quelques mois. Mais selon son généraliste, Morgan était « migraineux ».
Physiquement, Morgan n’est plus là. Mais en fait, si, il est toujours là. Cette présence, parfois, le soir, lorsque je lis quelques pages avant de dormir. Cette présence, à côté de moi, quand je suis seule. Cette présence, constamment. Je sais que c’est lui. Il m’arrive d’être persuadée de le voir, mais je sais que c’est pourtant impossible. Je sais qu’il est encore là. Il m’arrive de me réveiller en pleine nuit, de penser voir une ombre dans ma chambre. J’allume la lumière, mais il n’y a plus personne. Peut-être que finalement, moi aussi, je suis malade

« Le but du jeu pour moi, c’est de rester vivant malgré la mort »
(Mathias Malzieu)

En premier lieu, je me suis refermée sur moi-même, pensant que tout garder pour moi serait le mieux. J’ai vécu comme cela pendant 2 mois. J’ai passé les « fêtes » de fin d’année les plus douloureuses de ma vie. Mais je n’ai rien dit. J’ai encaissé. Silencieusement. Comme un boxeur qui veut terminer son match. J’ai voulu terminer mon match. Sauf que ce match, c’est ma vie. Et je me suis vite rendue compte que vivre toute ma vie de cette manière serait invivable, étouffant et oppressant.

En 6 mois, j’ai changé. J’ai appris à relativiser, à apprécier les bonheurs simples de la vie. C’est très cliché de dire cela, mais quand la réalité du temps qui passe vous rattrape, vous faites un arrêt sur image de votre vie, et vous faites le bilan. Maintenant, j’apprécie chaque instant, chaque plaisir simple qui, pour certaines personnes, peut passer comme ‘banal’. La convivialité d’un café après les cours avec les amis, la sensation de liberté, de puissance et de pouvoir lorsqu’on tape des coups de pénalité avec un ami, le plaisir d’un resto, l’euphorie d’un évènement sportif, le soleil qui cogne sur la fenêtre,…

En 6 mois, j’ai fait un sacré bilan. J’ai « retapé » mon programme d’avenir. Je me suis éloignée de certaines personnes, rapprochée d’autres (notamment au lycée), et j’ai aussi rencontré de nouveaux visages qui ont donné un sens à ma vie. Je me suis fondée une deuxième famille avec qui je partage actuellement tout. Je ne cite personne, mais je sais que vous savez qui vous êtes.
Avant, je regardais Friends en me disant « Tu ne trouveras jamais des personnes pareilles, tu ne vivras jamais un truc pareil ». Je me suis trompée. J’ai trouvé mes friends, (même si vous êtes plus nombreux que dans la série) j’ai trouvé ma joie de vivre, j’ai trouvé ma deuxième famille.
Vous êtes ma bulle d’oxygène, mon ‘moment-plaisir’, ceux qui me font rire, sourire. Vous êtes ma seconde famille. Je vous l’ai dit, j’ai du mal à mettre des mots sur ce que je ressens, et malheureusement, j’aimerais vous dire plus souvent combien vous comptez, combien je vous aime, mais je n’y arrive pas. J’espère que vous vous rendez compte à quel point vous êtes indispensables à ma vie. Je revis à travers vos sourires, à travers vos encouragements, à travers votre soutien, mais aussi votre réussite, car je suis fière de vous, fière de ce que vous faîtes, fière de ce(ux) que vous devenez.

Je clos ce long et personnel billet sur un mot d’amour dédié aux personnes qui, de toute façon, se reconnaîtront : merci pour tout, je vous aime.
Morgan, jamais nous ne t’oublierons.
Tout mon amour va vers Stéphane, Léa, Hélène et Thomas.

Vivez vos rêves, et ne rêvez pas votre vie. Votre vie, c'est vous qui la faites, pas les autres, vous. Alors foncez, ignorez les critique, faites VOS choix. Visez la Lune, au pire, vous décrocherez une étoile.

Je vous remercie d'avance de ne pas me parler "face à face" (dans la vraie vie comme dirait Elo) de ce billet, car je n'aime pas (je ne peux pas) affronter le regard des autres lorsque je parle de cela. Merci.

PS : le titre de cet article est le titre d’un roman de grand Mathias Malzieu, un des plus doués de sa génération.

dimanche 20 mai 2012

Leinster, champions d'Europe !

Si la Finale d’Amlin Cup Challenge était 100% française (voir ICI), la Finale d’H.Cup était 100% irlandaise ! Hier, samedi 19 mai 2012, le Leinster s’est imposé face à l’Ulster à Twickenham, 42 à 14.
Les  Dublinois ont réalisé un match de folie et ont imposé à l’Ulster une véritable une démonstration de Rugby et de force (pour vous dire : ce fût plus gros écart jamais enregistré en finale !).

Le Leinster règne donc sur l’Europe et valide sa place d’ « intouchables » du Rugby européen. Le match d’hier fût un match magnifique qui, malgré l’allégeance de l’arbitre pour les Dublinois (appelons un chat un chat). Du beau jeu, digne d’une Finale d’une compétition aussi belle et noble qu’est la H.Cup !
Félicitation au Leinster et bravo à l’Ulster qui malgré cette fessée cul-nu a réalisé un match correct.

Les faits du match :
* Essais : O’Brien (13ème), Healy (31ème), Essai de pénalité (45ème), Van der Merwe (76ème) et Cronin (80ème) pour le Leinster - Tuohy (61ème) pour l’Ulster.
* Transformations : Sexton (14ème, 32ème et 46ème) et McFadden (80ème+1) pour le Leinster.
* Pénalités : Sexton (51ème, 68ème et 74ème) pour le Leinster - R.Pienaar (7ème, 40ème+1 et 49ème) pour l’Ulster.
* Carton jaune : Terblanche (73ème) pour l’Ulster.

Crédit photos : Espnscrum

samedi 19 mai 2012

Biarritz, champions !

Après plusieurs mois de galère en Top 14, le Biarritz Olympique s’offre un titre pour clore leur saison, mais aussi une place pour la H.Cup 2012/2013. Les Biarrots affrontaient dans le cadre de l’Amlin Challenge Cup le Rugby Club de Toulon, qu’ils ont battu 21-18. Cette finale franco-française ne s’est jouée qu’au pied grâce aux buteurs des deux équipes : Jonny Wilkinson (RCT) et Dimitri Yachvili (BO). L’Anglais du RCT n’était malheureusement pas dans un bon jour. Le Yach’, quant à lui, s’est illustré grâce à un 100% au pied. Il n’est pas dans le XV de France pour rien !

Toulon avait déjà sa place en H.Cup (une victoire de leur part garantissait une place en H.Cup pour le Stade Français… en vain !), mais hier, le BO jouait gros ! Cependant, cette finale 100% française était très lente. Les deux équipes n’ont pas offert de beau jeu, et beaucoup, beaucoup de fautes ont été sifflées. Dommage !

Même si, à titre personnel, je suis déçue pour Toulon (car comme je l’ai dit, grâce à eux, le SF auraient pu être en H.Cup), je tiens à féliciter les Biarrots qui, malgré un (très) mauvais début de saison, ont su se relever et s’imposer. Félicitations à eux, bravo à tous !
Toutes mes pensées vont à Sylvain Marconnet qui jouait hier le tout dernier match de sa carrière… Merci, cher ‘Marcochon’, pour tout ce que vous avez apporté au rugby français !

Bravo à toutes les équipes participantes, on se retrouve l'année prochaine !

Les faits du match :
* Pénalités : Yachvili (5ème, 17ème, 24ème, 35ème, 47ème, 53ème, 75ème) pour le BO - Wilkinson (12ème, 22ème, 31ème, 44ème, 60ème) pour le RCT.
* Drop : Wilkinson (67ème) pour le RCT.
* Cartons jaunes : Hayman (46ème) et Armitage (53ème) pour le RCT.

Crédit photos : Espnscrum.

vendredi 18 mai 2012

Dark Shadows (2012)

Un film de Tim Burton.
Avec Johnny Depp, Michelle Pfeiffer, Elizabeth Collins Stoddard, Helena Bonham Carter, Eva Green, Jackie Earle Haley, Jonny Lee Miller, Bella Heathcote, Chloe Moretz,…
Genre : Comédie, Fantastique.

Synopsis : En 1752, Joshua et Naomi Collins quittent Liverpool, en Angleterre, pour prendre la mer avec leur jeune fils Barnabas, et commencer une nouvelle vie en Amérique. Mais même un océan ne parvient pas à les éloigner de la terrible malédiction qui s’est abattue sur leur famille. Vingt années passent et Barnabas a le monde à ses pieds, ou du moins la ville de Collinsport, dans le Maine. Riche et puissant, c’est un séducteur invétéré… jusqu’à ce qu’il commette la grave erreur de briser le cœur d’Angélique Bouchard. C’est une sorcière, dans tous les sens du terme, qui lui jette un sort bien plus maléfique que la mort : celui d’être transformé en vampire et enterré vivant.
Deux siècles plus tard, Barnabas est libéré de sa tombe par inadvertance et débarque en 1972 dans un monde totalement transformé…

Bande annonce : ICI.

Ma note : 18/20

Mon avis : (Film vu en VO) Dans la case « genre » de la présentation, j’ai pensé écrire « déjanté »… Car Tim Burton signe ici un film de taré. Sans pour autant se séparer de son univers goth/torturé/maudit, le grand Tim Burton flirte, pour une fois, avec un humour potache et décalé. Car oui, il faut l’admettre : les films de Tim Burton sont tous, ou presque, de grand chefs-d’œuvre, mais on ne peut pas dire qu’aller voir un Burton est une pure poilade.
Très honnêtement, en voyant l’affiche et la bande-annonce, j’ai eu peur d’aller voir une mauvaise adaptation de la Famille Adams. Que nenni mes amis !

Pour la première fois, ou presque, Tim Burton s’amuse en jouant à retourner dans les années 70 des Etats-Unis (une allusion au « Grand M jaune » est à se faire pipi dessus), avec ses hippies, sa musique et sa décoration loufoque. On salue d’ailleurs la figuration d’Alice Cooper qui joue son propre rôle !
Bref, j’ai été surprise par Tim Burton, et dans le bon sens. Je suis vraiment très heureuse de voir que le réalisateur touche à de nouveaux éléments tout en restant dans son univers qui lui est propre et qui fait de lui un des réalisateurs les plus doués.
On est loin d’Edward aux Mains d’Argent, certes, mais Dark Shadows a le mérite de nous offrir presque 2h d’humour (parfois très noir), de jeux de mots, mais aussi 2h de bon jeu. Oui, il faut vraiment saluer les prestations de certains acteurs. Johnny Depp, acteur « porte-bonheur » de Tim Burton, est toujours aussi excellent, et on constate que les rôles d’homme amoureux torturé lui vont à ravir. Michelle Pfeiffer est toujours aussi belle et classe. Quant à Eva Green, qui avait joué aux côtés d’Orlando Bloom dans Kingdom of Heaven (2005) ou de Daniel Craig dans Casino Royale (2006), elle, m’a littéralement bluffée.

On saluera aussi l’excellente bande-son et la photographie du film, absolument magnifique (qui n’a cependant rien d’original dans un Burton). Les décors sont eux aussi typiques du réalisateur, mais il faut préciser que pour les besoins de la production, c'est quasiment un vrai manoir qui a été bâti : une façade, un mur de près de 100m de long, une cour et une fontaine. Sans compter une maquette à l'échelle 1/3 mesurant 10m (oui, oui) de haut ! Bref, un travail colossal !

Alors oui, ce film n’a rien de réellement exceptionnel ou d’intellectuel, mais vous passerez 2h divertissantes et agréables. L’univers gothique et sombre de Burton transporte totalement le spectateur qui, malgré quelques passages légèrement ‘too-much’ (réels faux-pas ou parodie des films fantastiques ?), se laisse emporter. L’art de la mise en scène est toujours aussi bien maîtrisé, et la beauté photographique n’est pas laissée de côté.

Crédit photos : Allociné.

mardi 15 mai 2012

Girls just wanna have fun in Paris (1)

Vous le savez certainement, je suis chroniqueuse sur le blog beauty-coopératif Likemarshmallows. Je dois avouer que cela faisait quelques temps que je n'avais pas écrit pour le blog, mais comme Loobee, la Webmiss, va bientôt passer par Paris, j'ai eu l'idée de cet article.
Et vous me connaissez, dès qu'il s'agit d'aider une amie blogueuse, je n'y réfléchis pas à deux fois !
Vous pouvez découvrir l'article original ICI. Suivez-moi !

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Girls just wanna haaaaaave fun ! Les girls mais aussi les boys (boys, boys, boys, I'm looking for a goooood tiiiime !). Bref, tout le monde cherche du bon temps, encore plus avec les beaux jours qui vont arriver. Et en bonne Parisienne que je suis, je vais vous parler de quelques lieux que j'aime et qui, j'en suis sûre, vous plairont aussi. Shopping, cafés, détente...suivez-moi !

> Petites et grandes gourmandises
* Bread & Roses. Il en existe deux à Paris : un du côté de Saint Germain-des-Prés et l'autre du côté de la Madeleine. Bread & Roses est un peu ce que sont les chaussures à Louboutin ou ce que sont les macarons à Ladurée... Bread & Roses est LE palace de la bonne gastronomie : restaurant, salon de thé, boulangerie, pâtisserie...
Une petite faim ou une grosse faim...Peu importe, les produits de chez Bread & Roses sont bons, à n'importe quelle heure, par n'importe quel temps, avec n'importe qui, mais surtout avec une bande de copines. Et vous le valez bien, of course !

25 rue Boissy d'Anglas, VIIIème. 01 47 42 40 00
7 rue Fleurus, VIème. 01 42 22 06 06

* Baxo. Je ne suis allée qu'une fois au Baxo, avec Hélène, Jules, Marc et Elodie et nous avons vraiment très bien mangé. Le Baxo, c'est tout d'abord une déco sympa, cosy (presque "bobo" sur les bords, il faut l'avouer) et un cadre agréable. La carte est très hétéroclite puisqu'elle propose de grands classiques français mais aussi quelques recettes aux noms surprenants !
Si vous ne devez goûter qu'une chose, ce serait leur entrée "Camembert pané et ses pommes caramélisées" à 9€. Personnellement, j'étais déjà calée après cette entrée qui, malgré l'intitulé, n'est pas si forte en goût et peut convenir à tout le monde. Le midi, le plat du jour est proposé à 9.50€, soit un prix raisonnable pour un restaurant parisien.
21 rue Juliette Dodu, Xème. 01 42 02 99 71

* Café Salé. En apparence, le Café Salé est un café simple, ne se détachant aucunement des autres cafés du quartier... et pourtant ! Une fois entré, l'ambiance bistrot français vous gagnera le coeur et la bonne humeur du personnel ne pourra que vous mettre à l'aise : ils sont juste adorables ! Et si l'ambiance ne fait pas tout, la carte proposée est aussi très intéressante : le Café Salé propose des mets très variés qui plairont forcément.
Leur tiramisu à la framboise (environ 5€ si mes souvenirs sont bons) est à tomber par terre ! Petit plus : la Wi-Fi et les journaux sont à disposition.
Le Café Salé est la belle illustration du dicton "Il ne faut pas se fier aux apparences". Entrez et succombez !

66 rue de Clichy, IXème. 09 81 34 99 22

* Le Moulin de la Galette. Magnifique restaurant découvert grâce à ma "deuxième famille" qui m'a offert un bon repas pour mon anniversaire et que je remercie une fois encore au passage. L'ambiance est très cosy, très chic et ce lieu m'a rappelé les salons de thé des années 20... le charme parisien quoi !
La gastronomie repose sur des plats typiquement français mais souvent relevés d'une touche exotique. J'adore!

83 rue Lepic, XVIIIème. 01 46 06 84 77

A suivre sur Likemarshmallows mais aussi ici...
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