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mercredi 27 février 2013

Urban Decay a tout compris !



Celles (mais aussi ceux !) qui sont actives sur la blogosphère n’ont pas pu passer à côté du succès des deux palettes Naked sorties par Urban Decay. Impossible de parcourir un blog ou une chaîne Youtube ‘beauté’ sans lire un billet sur ces palettes qui, admettons-le, valent le succès qu’elles ont eu. J’en avais parlé il y a un peu plus d’un an (que le temps passe vite… !) ICI.

Pour ceux qui auraient raté quelque chose, Naked est une gamme de chez Urban Decay qui propose des produits make-up ayant un fini naturel et neutre : fonds de teint, gloss, blushes, mais surtout, deux palettes devenus de véritables best-sellers de la marque, voire même du maquillage global.
Les deux palettes Naked proposent chacune 12 fards pour 43€ environ la palette. Lorsque la première (aperçu) est sortie, ce fût un véritable succès, et tout juste 2 ans après, Urban Decay a sorti une nouvelle version, la Naked 2 (aperçu) qui est, à mon humble avis, encore plus belle que la première. Est ensuite venue la palette Naked Basics (aperçu) qui n’a pas connu de véritables louanges, puisqu’elle propose des fards soit disponibles dans une des deux palettes, soit inédits, certes, mais quasi des dupes d’autres de la marque.


Bref, les succès s’enchainent chez Urban Decay, et la marque a bien compris l’engouement qu’ont provoqué les produits de cette gamme. La preuve, il y a peu de temps, Urban Decay a  ajouté un nouveau produit à cette gamme, les vernis Naked !
Encore peu connu du public (chose qui ne devrait tarder), ce coffret qui sera commercialisé en France courant mars 2013 propose pour 26$ (soit environ 20€) une sélection de 6 vernis dont les noms reprennent certains fards de la Naked 1 :
* Naked
* Sidecar
* Toasted
* Smog
* Hustle
* Creep


Ces vernis sont tous plus beaux les uns que les autres, et j’avoue avoir un faible pour le Smog !
Autant vous dire que ce coffret me fait de l’oeil, et si elle devient mienne, promis, je vous en fais une revue détaillée.

Alors les filles, que dites-vous de ce nouveau produit de la gamme Naked de chez Urban Decay ?

mardi 26 février 2013

Parce que le Stade de France vend du rêve !

Ceux et celles qui sont sur Twitter le savent, lors de tous les évènements qui ont lieu au Stade de France, le compte Twitter officiel du Stade organise un concours afin de permettre à des Twittos de venir en loges assister à l'évènement (rugby, foot, athlé, concerts, etc).

Le prochain évènement aura lieu samedi, pour le match de Top 14, le Stade Français Paris affrontera l'ASM Clermont. Une belle affiche à laquelle j'ai été invité à assister.... en loges !
Je n'ai pas énormément concouru, mais de gentilles Twittos (Lucie et Laura, pour ne pas les nommer) ont un peu (beaucoup) encouragé le compte Twitter du Stade de France à me sélectionner, et résultat... j'ai été prise !

L'annonce des sélectionnés

Nous serons 5 Twittos à porter haut et fort les couleurs du Stade Français, et nous comptons bien les amener jusqu'à la victoire !
Alors à travers ces quelques lignes, je remercie mille fois le Stade de France (à quelques semaines de mon anniversaire, cette invitation me va droit au coeur), et les deux meilleures Twittos : Lucie et Laura.

Bien sûr, dès dimanche, je vous raconte tout ça !

dimanche 24 février 2013

Tournoi des VI Nations 2013 - Angleterre / France : 23-13


Angleterre / France
23 – 13
Jamais 2 sans 3

Le XV de France de départ : Huget, Clerc, Bastareaud, Fofana, Fall, Trinh-Duc, Parra, Dusautoir (cap), Picamoles, Nyanga, Maestri, Samson, Mas, Kayser, Domingo.
Les remplaçants : Szarzewski, Debaty, Ducalcon, Suta, Claassen, Machenaud, Michalak, Fritz.

Le XV de la Rose de départ : Goode, Ashton, Barritt, M.Tuilagi, Brown, Farrell, B.Youngs, Robshaw (cap), Wood, Lawes, Parling, Lauchbury, Cole, Hartley, Marler.
Les remplaçants : T. Youngs, Wilson, M. Vunipola, Haskell, Waldrom, Care, Flood, Twelvetrees.

Jamais 2 défaites sans 3, oui, mais le jeu était bien meilleur qu’il y a deux semaines et, entre nous, il n’y a pas de mal. Les quelques changements opérés par Philippe Saint-André ont, à priori, été bénéfiques à l’Equipe de France qui, malgré la défaite, ont su montrer que les nombreux commentaires de la presse les avaient rendu plus forts.

Cependant, l’envie ne fait pas tout. En effet, même si la première mi-temps était plus que satisfaisante, certains joueurs étaient méconnaissables, les Bleus ont fait preuve de beaucoup d’indiscipline et, finalement, ont souffert de leurs erreurs.
Mais dans tout ce fouillis, oui, il faut quand même retenir ce qu’il y a eu de bon : les Français ont fait preuve d’une réelle agressivité, une réelle envie de marquer des points, que ce soit sur le terrain ou dans le cœur des supporters qui, il y a deux semaines, avaient la victoire franchement amère (voir ICI).
On a vu de belles actions, notamment ce magnifique essai de 60 mètres de Wesley Fofana, en première période.

En moyenne, les joueurs ont tous fait un match relativement correct, mais la charnière Parra-Trinh Duc n’aura pas brillé. En revanche, la performance personnelle de Morgan Parra a été très bonne, malgré deux pénalités manquées. Le jeune buteur clermontois a su faire preuve d’une bonne vision du jeu, de vitesse lors des éjections de balle et est même allé plusieurs fois au contact, avec succès.
Yoann Huget, qui avait fait un match désastreux face au Pays de Galles, a hier rendu une bonne copie. Idem pour Fall qui a été bien meilleur.
Les performances de Picamoles, Maestri et Nyanga sont également notables. Et je dois avouer que lors de son temps de jeu, Machenaud a été bien meilleur que la dernière fois, et est beaucoup plus rapide, même s’il n’a pas énormément pesé sur le jeu.

Alors finalement, les Bleus ne sont pas passés si loin que ça, et s’ils continuent de cette manière, la victoire contre l’Irlande lors du prochain match n’est plus du domaine de l’utopique.

Crédit photos : L'Equipe, Rugbyrama.

mercredi 20 février 2013

Parlons peu, parlons poils !


Parlons peu, parlons poils !
Vous allez sûrement lire le billet le plus glam’ de ce blog. Oui, aujourd’hui, je viens vous parler poils. Enfin, pas de poils à proprement dit, mais d’épilation.

Pour vous raconter ma vie et être totalement honnête avec vous, depuis que je m’épile, ou plutôt que je débroussaille mes jambes (hum que c’est sexy !), j’utilise un rasoir, un Vénus, pour ne pas citer de marque. Oui, un rasoir, cette chose qui est, avouons-le, très pratique car ultra-rapide, mais dont les résultats ne sont qu’éphémères, puisque les poils réapparaissent dès le surlendemain. Sans parler de la repousse qui, entre nous, est franchement dégueulasse, aussi bien visuellement (oh, les jolis troncs d’arbres !) que sensuellement (ça pique au toucher).
Alors pour faire court, ma mère et moi avons préféré investir (enfin… c’est plutôt ma mère qui l’a fait) dans un rasoir électrique, ou plutôt, pour être plus exacte, un épilateur électrique.

Nous nous sommes dirigées vers le O’Liss de chez Babyliss qui est utilisable sous l’eau (chose qui, selon nous, était primordiale). Ce produit comporte un épilateur double tête, pour l’épilation, et une tête de rasage à lames rotatives (3 lames fournies), pour le rasage.
Avant de vous dire ce que j’en pense, je partage avec vous la description du produit faite par la marque Babyliss :
«  Antidouleur, antibactérien, sans fil, rechargeable. Accessoire d’épilation zones sensibles pour une épilation douce et précise des aisselles et du bikini. Unique et brevetée, la technologie des 2 têtes à rotations opposées et décalées offre une épilation tout en douceur effectuée en un tour de main. Peau lisse et nette jusqu’à 4 semaines.
La tête de rasage à lames rotative élimine les poils au plus près de la peau, dans le bain ou sous la douche. Système de lames remplaçables pour un maximum d’hygiène et d’efficacité. »

Maintenant, je vais vous dire ce que je pense. Personnellement, le O’Liss me laisse perplexe. Vous savez, c’est le genre d’objet avec lequel vous entretenez une relation d’amour-haine, car vous ne savez pas réellement si vous le détestez ou si vous l’appréciez.

Pour commencer, je vais aborder les points négatifs car, malheureusement, il y en a pas mal. J’ai en premier testé l’option épilateur double tête, car c’est la chose qui m’a séduite en premier. Et là… c’est le drame ! Déjà, la mention antidouleur est à rayer, ou du moins, à mettre entre parenthèses. J’ai testé les jambes, un peu les aisselles et… j’ai douillé. Alors le bikini, je n’essaie même pas, si vous voyez ce que je veux dire. Ensuite, le résultat est loin d’être parfait : il reste des petits points sur la peau disgracieux. Alors peut-être n’ai-je pas attendu que mes poils soient assez longs pour les épiler, je ne sais pas… Mais toujours est-il qu’avoir (un peu) mal pour un résultat moyen, c’est pas tip-top. Ensuite, « la peau lisse et nette jusqu’à 4 semaines », euh… Non, je dis non et re-non ! J’ai dû faire des « retouches » au bout de 8-10 jours (pour info, 4 semaines, ça fait 28 jours, hein).
Ensuite, petit détail minime mais qui peut avoir son importance, l’autonomie du O’Liss n’est pas énorme : la batterie, que j’avais chargé à fond avant la première utilisation, était déjà à plat après une seule épilation. Mais bon, ce n’est que du détail, car le temps de charge n’est pas très long.

Mais il ne faut pas croire que tout est à jeter : quand même ! Tout d’abord j’ai beaucoup aimé le design, que je trouve très sympa : ni trop girly, ni trop classique. Ensuite, la prise en main est facile et stable. Car oui, il faut prendre cela en compte lorsque l’on utilise un objet sous la douche : avec l’eau et le savon, il ne faut pas que le truc vous tombe des mains toutes les 30 secondes.
Enfin, j’ai bien aimé l’option lames de rasoir qui est efficace. En revanche, les principes sont les mêmes que pour les rasoirs manuels : repousse rapide. Mais sinon, cette option est largement plus efficace qu’un rasoir manuel  et même que l’option épilateur double tête contenu dans ce coffret.

Alors finalement ? Eh bien finalement, je trouve que le O’Liss ne vaut pas du tout les 110€ que nous avons déboursés. Après, je dois avouer que je n’avais jamais utilisé d’épilateur électrique, donc je n’ai pas d’outil de comparaison, mais j’ai entendu dire, ou plutôt, j’ai lu sur Internet, que ceux de chez Braun sont d’une qualité quasi irréprochables mais dont le coût est relativement élevé.

Et vous les filles, quel moyen d’épilation utilisez-vous ? Avez-vous des marques et des produits à conseiller ?

Crédit photos : Darty, Ariane P.

dimanche 17 février 2013

Stade Français / Union Bordeaux Bègles : 30 - 14

Stade Français / Union Bordeaux Bègles
30 – 14
C’est Paris qui régale !

Du côté du SF : Wright, De Malmanche, Attoub, Van Zyl, Mostret, Lyons, Parisse (cap), Missoup, Dupuy, Warwick, Sinzelle, Turinui, Doumayrou, Williams, Bonneval.
Remplaçants : Bonfils, Slimani, Lavalla, Burban, Fillol, Plisson, Camara, Becasseau.

Du côté de l’UBB :
XV de départ : Poirot, Avei, Florea, Treloar, Tisseau, Gibouin, Chalmers, Clarkin (cap), Adams, Sanchez, Connor, Le Bourhis, Rey, Talebula, Munro.
Remplaçants : Forbes, Delbloulbes, Jauhac, Madaule, Seron, Lopez, Carballo, Leupolu.

Je dois l’avouer, malgré le fait que je sois une immense fan du Stade Français Paris, je n’avais jamais mis les pieds à Charléty ! Oui, oui, étonnant, je sais. Mais en fait, j’ai toujours préféré voir les matches se jouant au Stade de France. Mais ça, c’était avant ! C’était avant car hier, j’ai découvert à quel point le Stade Charléty (dans le XIVème arrondissement de Paris) était synonyme de bonne humeur et de convivialité. Malgré le peu de supporters présents (le stade n’était même pas plein à la moitié), nous avons donné de la voix, et bien plus que lorsque nous sommes 65.000 au Stade de France. Comme quoi, quelque chose de plus familial, de plus petit et de plus convivial est parfois à préférer aux gros stades un peu plus « guindés ».

Assez parlé de mon amour récent pour Charléty, parlons maintenant du match. Car oui, un stade sympa, c’est bien, mais du beau jeu, c’est mieux !
Cela faisait longtemps que le Stade Français n’avait pas joué de cette manière. On a senti une réelle solidarité entre les joueurs, de l’enthousiasme et surtout, cette envie de montrer qu’après tant de défaites à l’extérieur, le club est toujours aussi bon lorsqu’il joue « à la maison ». Dès les premiers instants, Sergio Parisse a profité d’une belle opportunité pour s’élancer et inscrire le premier des 3 essais parisiens de la soirée. Malheureusement, le joueur italien, s’est vu attribué un carton rouge dans les dernières minutes de la première période pour insulte envers l’arbitre, chose qu’il a démenti par la suite. En effet, sur son compte Twitter (@SergioParisse), le capitaine du SF a affirmé : « Désole à mes coéquipiers et supporters pour ce carton rouge, que je trouve trop sévère ! Je n’ai jamais insulté M.Cardona… ». Peu importe, la sanction est là, et Parisse devra, dans les jours à venir, passer en Commission de Discipline, et la sanction risque d’être sévère.

Outre ce carton rouge, la rencontre s’est déroulée dans les règles de l’art, malgré quelques fautes non sifflées (que ce soit pour le SF ou l’UBB) par Monsieur Cardona, l’arbitre de ce match. Alors concernant hier soir, on pourra remarquer cet orgueil, propre aux Parisiens, qui, après plusieurs défaites, se relèvent toujours et prouvent que oui, le Rugby a bien sa place en Île-de-France. On notera également le fair-play des supporters bordelais et parisiens, chose qui devient de plus en plus rare, même au Rugby, il faut l’avouer.
Alors oui, saluons la très belle performance du Stade Français, mais félicitons également celle des Bordelais qui, malgré un niveau moins élevé, ont tout de même fait un beau match en moyenne, hier soir, à Charléty.

Hier soir, bien que tous les joueurs, ou presque, aient rendu une bonne copie, propre, intelligente et bien organisée (car  jouer à 14 contre 15 pendant toute une période n’est pas chose facile), certains Parisiens  ont parfois été meilleurs que d’autres. Notamment, entre autres, Sergio Parisse, fidèle à lui-même, toujours aussi bon, rapide et réactif, Julien Dupuy, dont l’excellence n’est plus à prouver (à quand une nouvelle convocation au sein du XV de France ?), Hugo Bonneval qui prouve que, malgré l’arrivée en début de saison de Jérôme Porical, a sa place de titulaire dans le XV type de l’équipe parisienne (pareillement concernant l’Equipe de France…), Aled de Malmanche, « au four et au moulin », comme a pu le dire le site de Rugbyrama et les ailiers, Jérémy Sinzelle et Paul Williams, pas forcément beaucoup sollicités, mais qui ont fait leur boulot. Et des félicitations ‘personnelles’ à Morgan Turinui qui, à l’instar de ses coéquipiers, a salué, en fin de match, la tribune Est du stade qui  a totalement été délaissée lors du « Tour d’Honneur », si l’on peut l’appeler comme tel.

Alors les gars, il va falloir continuer comme ça pour prouver que les grandes années du Stade Français ne sont plus derrière vous, mais devant vous.

* Essais : Parisse (4ème), De Malmanche (21ème) et Attoub (39ème) pour le Stade Français – Rey (48ème) pour l’Union Bordeaux Bègles.
* Transformations : Dupuy (6ème, 23ème, 40ème) pour le SF.
* Pénalités : Dupuy (26ème, 47ème, 53ème) pour le SF – Munro (31ème, 38ème, 60ème) pour l’UBB.



Crédit photos : Ariane P. 
Pour tout éventuel emprunt, merci de me contacter par mail ou par commentaire.

mardi 12 février 2013

Lincoln (2013)


Un film de Steven Spielberg.
Avec Daniel Day-Lewis, Sally Field, David Strathairn, etc.
Genre : Biopic, Historique, Drame.

Synopsis : Les derniers mois tumultueux du mandat du 16e Président des États-Unis. Dans une nation déchirée par la guerre civile et secouée par le vent du changement, Abraham Lincoln met tout en œuvre pour résoudre le conflit, unifier le pays et abolir l'esclavage. Cet homme doté d'une détermination et d'un courage moral exceptionnels va devoir faire des choix qui bouleverseront le destin des générations à venir.

Bande annonce : ICI.

Ma note : 16/20

Mon avis : (Film vu en VO) Spielberg signe ici encore un très beau film. Le réalisateur américain prouve qu’outre les films de Science-Fiction pour lesquels il est très réputé (E.T. l’extraterrestre, Rencontre du Troisième Type, etc), il est également très agile avec les films historiques (La Liste de Schindler, Munich, Frères d’Armes, etc).

Lincoln est une pure réussite menée par l’excellent Daniel Day-Lewis dont le talent n’est plus à prouver. Un film qui a tout de bon, malgré quelques négociations politiques parfois difficiles à suivre mais très intéressantes à découvrir.
On regrette cependant la longueur du film (plus de 2h30) mais on applaudit cette démonstration de maîtrise, de poésie et de beauté, tant dans les dialogues que dans les images.
A voir, mais je le conseille, comme d’habitude, en VO.

Crédit photos : Allociné.

dimanche 10 février 2013

Tournoi des VI Nations 2013 - France / Pays de Galles : 6-16


FrancePays de Galles
6 – 16
PSA, pourquoi de tels choix ?

XV de départ : Huget, Fofana, Bastareaud, Mermoz, Fall, Michalak, Machenaud, Dusautoir (cap), Picamoles, Ouedraogo, Maestri, Suta, Mas, Szarzewski, Forestier.

Remplaçants : Kayser, Debaty, Ducalcon, Taofifenua, Chouly, Parra, Trinh-Duc, Fritz.


On peut dire que nous avons eu (très) froid pour pas grand-chose ! Hier, le XV de France s’est humilié, chez lui, au Stade de France. Imprécision, aucun dynamisme, aucun enthousiasme, aucun élément de jeu, aucune tactique, aucune attaque, aucune défense, rienRien pour relever le niveau, rien pour tenter de conquérir le cœur de presque 80.000 personnes présentes (en effet, le Stade de France affichait presque complet, chose qui se faisait rare dans le Rugby français depuis quelques temps) et de plusieurs milliers (millions ?) de téléspectateurs.

Ceux qui nous avaient tant charmés lors du fameux France-Australie du 10 novembre (voir ICI) nous ont profondément déçu. Où sont passés nos Bleus, nos grands, nos exemples, nos fiertés ? Michalak, Fofana, Mermoz, Mas, Szarzewski, Machenaud, Dusautoir… Mais où êtes-vous ?!
Et quand on lit les réactions de certains joueurs dans la presse de ce matin, il y a de quoi s’insurger : je pense notamment au  « je n’ai rien à me reprocher » (sur Rugby365) de Maxime Machenaud qui est juste hors de propos ! Comment osent-ils dire des choses pareilles après un match tel que celui d’hier ? Les garçons, il serait temps de ravaler votre égo et de bosser vos lacunes.
Hier, aucun joueur n’était là pour relever le niveau. Aucun joueur n’était meilleur que l’autre : ils ont tous été moins bons les uns que les autres.
Alors « merci » à Michalak dont le pied a réussi à nous éviter l’humiliation des 0 points : l’ouvreur a passé 2 pénalités dont les supporters ont dû se contenter pour s’enflammer.

Face à une telle impuissance, les supporters tricolores affichaient tous une mine défaite. Pire ! Hécatombe au Stade de France : les tribunes se vident avant même la fin du match.
On lisait sur leur visage une déception immense. Pleurer aurait peut-être pu soulager nos cœurs, mais non. Ces milliers de supporters bleus sont rentrés chez eux en silence, partagés entre la colère, la déception, voire le dégoût. On en attendait tellement plus. Pas forcément des merveilles, mais au moins plus que le jeu fait en Italie, la semaine dernière (voir ICI).
Hier, les Bleus ont fait pire qu’en Italie et certains supporters parlent même de Cuillère en Bois.

PSA, il est temps de faire bouger les choses. A ce stade, il faudrait changer la moitié de l’équipe et faire venir de jeunes joueurs ayant la rage de vaincre. Car oui, hier, on a pu douter quant aux envies et à la passion des 23 joueurs présents. Et ce doute est légitime. Faisons appel à de jeunes joueurs qui n’attendent qu’une chose, qu’on leur donne une chance. Car ne l’oublions pas, la France regorge de talents cachées malheureusement inexploités par le sélectionneur français qui s’accroche à une équipe passée qui ne fait plus ses preuves.
La moitié de l’effectif est à changer. La France va rentrer dans une nouvelle ère de son Histoire, celle du changement quasi complet.

* Pénalités : Michalak (x2) pour la France – Halfpenny (x3) pour le Pays de Galles
* Essais : North pour le Pays de Galles.
* Transformation : Halfpenny pour le Pays de Galles.

Crédit photo : Rugby365, L'Equipe.
(Pas de photos personnelles cette semaine : je n'avais pas pris mon appareil photo avec moi).
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